maladies chroniques

Qu’est ce que l’arthrose par rapport aux autres rhumatisme ?
L’arthrose est une maladie du cartilage qui peut être due à une maladie propre du cartilage (arthrose primitive) ou bien à une atteinte du cartilage secondaire à une anomalie des structure avoisinantes (arthrose secondaire).

LE DIABETE

Le diabète est une maladie qui touche de plus en plus de citoyens gaspésiens, québécois et canadiens. La prévalence de cette maladie sur la population mondiale atteint actuellement 7% et pourrait facilement augmenter dans les 10 prochaines années à 10%.

Le diabète peut se définir comme une perte de contrôle à la hausse de la glycémie (sucre dans le sang). Chez l'être humain, une hormone est responsable d'empêcher la glycémie de s'élever dans le sang. Cette hormone s'appelle l'insuline...
remarque:
j'ai pris cette introduction de l'article de papinate pour que je puisse continuer et car le diabete est une maladie chronique.

Traiter correctement votre diabète dès aujourd'hui, c'est mettre toutes les chances de votre côté pour prévenir les complications redoutables de cette maladie.
Ce traitement repose sur trois éléments fondamentaux.

1. L'alimentation qui visera à réduire votre poids.
2. La reprise d'une activité physique régulière.
3. La prescription éventuelle de médicaments.
...a suivre

cancer
prolifération importante et anarchique de cellules anormales qui ont la capacité d’envahir et de détruire les tissus sains et de se disséminer dans l’organisme.
Cancer au microscope Ce cliché de microscopie électronique à balayage d'un ovaire montre, à gauche, des cellules normales et, à droite, une tumeur maligne.Oxford Scientific Films/Manfred Kage

CLASSIFICATION DES CANCERS

Le cancer, qui peut survenir sur tout tissu ou cellule, est une maladie dont les formes multiples sont classées en fonction du tissu d’origine.
La prolifération appelée sarcome se développe à partir d’un tissu mésenchymateux, dérivé de l’un des tissus primitifs que l’on trouve chez l’embryon. Il peut s’agir d’un tissu conjonctif tel que le tissu osseux, cartilagineux ou adipeux, ou de tissus constituant la paroi des vaisseaux sanguins ou les muscles.
Les carcinomes correspondent à la forme la plus courante des cancers. Ils dérivent soit des tissus épithéliaux de revêtement (épiderme, couche superficielle de certaines muqueuses qui tapissent la paroi des cavités de l’organisme), soit des tissus épithéliaux glandulaires (partie glandulaire des seins et de la prostate, par exemple). Les carcinomes provenant d’un revêtement sont appelés carcinomes épidermoïdes, mais l’ancien terme d’épithélioma est encore en usage pour certains carcinomes de la peau. Les carcinomes qui ressemblent aux tissus glandulaires sont les adénocarcinomes.

merci chére princesse.le cancer represente maitenant la premiére cause de mortalité dans le monde et notament en Algérie ou les statistiques montre une augmentation considérable du cancer du sein .prostate.....

sale maladie!

Demandez lui pourquoi il a tué ma mere,
je parle de ce satané cancer,
celui qu'on ne voit pas mes qui fait mal.
A cause de lui,il nous a fait orpheline,
le manque d'une mere connait il?!
Egoisme de maladie qui tue et ne s'arrete plus,
te rend tu comptes de ce que tu fais,des ravages que tu commais?!
Sale maladie je te jure qu'un jour je t'aurai.

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1-L'alimentation
Votre glycémie n'est pas liée à la teneur en sucres de votre alimentation, mais à l'importance de votre excès de poids : pour équilibrer votre diabète, vous devrez maigrir, et pour maigrir vous ne devrez pas ouvrir la chasse aux sucres mais bien la chasse aux graisses.

Le pain ne fait pas grossir, c'est ce que vous mettrez dessus (beurre, margarine, fromage, pâtés), qui favorise et entretient le surpoids.

Les pommes de terre et les pâtes sont d'excellents aliments pour un diabétique, à condition que les premières ne soient pas enrichies en huile, sous forme de frites ou de pommes de terre sautées, et que les secondes ne soient pas associées, à parties égales, avec du beurre, du fromage râpé, ou des sauces du commerce préparées à base de corps gras.

À la fin du repas, un fruit frais est le dessert idéal.

Vous devrez d'abord et avant tout réduire au maximum les graisses (qui ont le pouvoir calorique le plus élevé), c'est-à-dire la charcuterie, le beurre, le fromage, les huiles, la crème, la mayonnaise, etc.

Les viandes et les poissons doivent être consommés grillés et non frits. Le poivre, les herbes de Provence amélioreront leur saveur.

Les pâtes fraîches avec un coulis de tomate et une noisette de margarine sont agréables à consommer.

Les pommes de terre, en robe des champs, en purée, sont appréciées. Une vinaigrette peut être confectionnée avec plus ou moins d'huile. Les fromages allégés en matières grasses peuvent être tolérés en quantité limitée.

Salades, légumes verts, fruits frais doivent être consommés pour remplir l'estomac et éviter la sensation de faim, etc.

Une prise en charge nutritionnelle complète, parfaitement détaillée et personnalisée, peut vous être proposée, qui permettra de concilier plaisirs de la table et réduction du poids.

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L'activité physique
Pratiquer régulièrement une activité physique entraînera :

une meilleure qualité de vie

une perte de poids et un équilibre glycémique améliorés

un risque réduit de complications cardiovasculaires.

Vous devrez, bien évidemment, éviter les compétitions sportives, mais pourrez, selon vos goûts et vos possibilités, jouer au tennis en double, faire des promenades à bicyclette, nager, jouer au golf.
Si vous n'avez jamais fait de sport, une excellente activité physique peut être représentée par la gymnastique (15 minutes tous les matins) et la marche : une à deux heures par jour. La montée et la descente des escaliers, sans utiliser l'ascenseur, le jardinage sont également efficaces.
Pour être bénéfique, cette activité physique doit être soutenue quatre à cinq jours par semaine, et doit durer au minimum 45 minutes par jour.

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dépistage du diabète de type 2

· Un dépistage opportuniste
Il sera ciblé sur des patients de plus de 45 ans ayant (en plus de l’âge) au moins un des marqueurs de risque de diabète suivants :

· - origine non caucasienne et/ou migrant ;

· - marqueurs du syndrome métabolique :

· · excès pondéral mesuré à partir de l’IMC, défini comme > 28 kg/m²,

· · hypertension artérielle (pression artérielle systolique > 140 mmHg et/ou pression artérielle diastolique > 90 mmHg et/ou hypertension artérielle traitée) ;

· - HDL-cholestérol < 0,35 g/L (0,9 mmol/L) et/ou triglycérides > 2 g/L (2,3 mmol/L) et/ou dyslipidémie traitée ;

· - antécédents :

o · diabète familial (du premier degré),

o · diabète gestationnel ou enfants de poids de naissance de plus de 4 kg,

o · diabète temporairement induit (consensus d’experts).
Le dépistage doit être réalisé par un test de glycémie veineuse à jeun, effectué au laboratoire. En cas de positivité, ce test se substitue au premier test du diagnostic. Un nouveau contact avec le médecin doit être réalisé et conduire à la prescription d’un deuxième test destiné à confirmer le diagnostic.

En cas de résultat négatif, le test devra être répété tous les 3 ans (ou tous les ans pour les sujets hyperglycémiques modérés à jeun).
Un suivi plus rapproché (entre 1 et 3 ans) doit être effectué chez les sujets ayant plusieurs marqueurs de risque.

En dépit des pratiques de prescriptions de glycémies très fréquentes en France dans les tranches d’âge concernées et dans la population ayant recours aux soins, l’intérêt pour le dépistage opportuniste a été maintenu en insistant sur la nécessité d’améliorer et renforcer le suivi et la prise en charge des glycémies positives. L’absence de confirmation du diagnostic est en effet identifiée comme une cause possible de diabète méconnu.

· Un dépistage communautaire associé
Il sera ciblé sur les sujets de plus de 45 ans en situation de précarité (avec ou sans autre marqueur de risque associé).

Suivant les modalités de contact définies, le test pratiqué pour le dépistage sera un test de glycémie veineuse à jeun au laboratoire ou une mesure de la glycémie par prélèvement capillaire.

Dans ce cas de dépistage par prélèvement capillaire, l’utilisation des lecteurs de glycémie devra suivre impérativement les règles établies par l’AFFSAPS pour éviter le risque de transmission de maladies infectieuses.
En l’absence de données, les valeurs seuils de 1,20 g/L (6,7 mmol/L) si le prélèvement a été fait plus de 2 heures après le dernier repas et 1,50 g/L (8,4 mmol/L) s’il a été fait moins de 2 heures après ont été proposées de manière arbitraire et devront être révisées en fonction des nouvelles données.

En cas de positivité, un contact avec un médecin doit être réalisé, pour permettre de confirmer le diagnostic, par un test de glycémie veineuse à jeun au laboratoire lorsque le test de dépistage aura été réalisé à partir d’un prélèvement veineux à jeun, et par deux tests de glycémie veineuse à jeun au laboratoire, lorsque le test de dépistage aura été réalisé à partir d’un prélèvement capillaire.

En cas de résultat négatif, le test devra être répété tous les 3 ans (ou tous les ans pour les sujets hyperglycémiques modérés à jeun). Un suivi plus rapproché (entre 1 et 3 ans) chez les sujets ayant plusieurs marqueurs de risque peut être envisagé.

· Un dépistage simultané du diabète et des facteurs de risque cardio-vasculaire devrait être recommandé.

· Compte tenu des incertitudes d’ordre économique et clinique existant autour de ces recommandations, il paraît souhaitable que la mise en place de celles-ci soit encadrée par un certain nombre d’études visant à vérifier en particulier la prévalence du diabète méconnu, la faisabilité des programmes de dépistage recommandés, et leur évaluation à court terme, incluant l’évaluation du suivi du dépistage.

Nombre de messages : 48 Date d'inscription : 04/03/2008

Lèpre
Lèpre ou maladie de Hansen, maladie infectieuse chronique chez l'homme qui touche principalement la peau, les muqueuses et les nerfs. La maladie est causée par un bacille en forme de bâtonnet, Mycobacterium leprae, semblable au bacille de la tuberculose. Le bacille de la lèpre a été identifié en 1874 par le Norvégien Gerhard Henrik Armauer Hansen.

3. SYMPTÔMES
Le symptôme le plus précoce est souvent une perte des sensations d'une région de la peau. Dans la forme lépromateuse, presque toute la peau est atteinte. Les muqueuses du nez, de la bouche, de la gorge peuvent être contaminées. En raison des atteintes nerveuses, certains muscles peuvent être paralysés. La perte des sensations qui accompagne l'atteinte des terminaisons nerveuses peut avoir pour conséquence une infection des blessures, le remplacement des tissus sains par des tissus cicatriciels et la destruction des os. La défiguration, classique chez les lépreux, ainsi que les amputations dues aux dommages osseux — ou faciès léonin, en raison de la présence de nodules épais sur le visage qui rappelle le faciès du lion —, sont des signes d'une maladie évoluée que l'on peut éviter de nos jours avec un traitement précoce.
4. TRAITEMENT
L'huile de chaulmougra a servi de traitement contre la lèpre pendant de nombreuses années. Actuellement, le traitement comporte l'utilisation de médicaments tels que la dapsone et la rifampicine ainsi qu'une alimentation adaptée.
Si un grand nombre de bacilles sont tués trop rapidement, l'organisme développe un érythème noueux qui peut provoquer une atteinte progressive des nerfs. Les corticostéroïdes permettent de contrôler de telles réactions.
La lèpre est sans doute la pire des maladies contagieuses. Si, au Moyen Âge, les lépreux étaient frappés d'isolement et considérés comme des parias, les patients ne sont plus, aujourd'hui, que rarement isolés. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) s’est fixé comme objectif l’éradication de la lèpre à l’horizon 2005. La découverte, publiée début 2003 par une équipe de l’Inserm associée à des chercheurs vietnamiens et canadiens, d’un gène de prédisposition situé sur le chromosome 6, devrait permettre d’améliorer les systèmes de prévention contre la maladie et, peut-être, de développer de nouvelles thérapeutiques.