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| TEO | |
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orkedia.ph Actif
Nombre de messages : 338 Age : 41 Localisation : la lune Date d'inscription : 02/03/2008
| Sujet: TEO Sam 29 Mar - 21:57 | |
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LA COMMUNICATION
DEFINITIONS Proposition de définitionBien communiquer à l’oral, c’est faire passer des messages à l’aide d’un langage choisi, en utilisant une voix bien placée, en jouant de ses émotions, en utilisant intelligemment son corps pour que son public, respecté et pris en compte, accepte le message émis et y adhère.COMMUNIQUER, C’EST METTRE EN COMMUNDans un monde qui se veut être celui de la communication, nous sommes loin d’être performants; pourtant la diversité des approches et les ouvrages sur le sujet ne manquent pas. Nous avons souhaité créer un site convivial et évolutif mettant l’information à la portée de tous grâce à l’utilisation de l’Internet.Communiquer vient du latin communicare qui signifie « être en relation avec ». La relation est-elle alors de la communication ? Dans « relier », n’entendons-nous pas « lier par deux fois » ? « Je me suis lié d’amitié » : suis-je libre d’être ami ou suis-je asservi ? « Ce n’est pas un ami, c’est une relation… » : n’avons-nous pas un certain nombre de coordonnées de «relations» dans nos répertoires ? Il y a fréquemment dans la notion de relation à l’autre une notion d’intérêt et c’est souvent la raison des échanges en entreprises. Dans une relation, l’information n’est pas forcément partagée, elle peut être imposée par l’émetteur et subie par le récepteur. Le passage de l’information compte alors plus que les individus présentsLa communicationCommuniquer, c’est aller au-delà, c’est mettre en commun. C’est partager. La notion d’intérêt disparaît au profit de la notion du respect de l’autre. L’information est proposée par l’émetteur et reçue par le récepteur qui l’accepte (ou non). L’individu devient plus important que l’information : voilà un vaste programme. | |
| | | orkedia.ph Actif
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| Sujet: Re: TEO Sam 29 Mar - 22:09 | |
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MODELES DE LA COMMUNICATION
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MODÈLE DE SHANNON ET WEAVER (1949)
Shannon était un ingénieur,Weaver, un philosophe. Leur préoccupation essentielle était de régler les problèmes de transmission télégraphique : le signal devait arriver au niveau de la cible dans l'état le plus proche de ce qu'il était au niveau de la source. Ce signal peut être affecté ou brouillé, voir déformé par un phénomène de bruit. La communication est réduite à la transmission d'une information. SOURCE - MESSAGE -(bruit)- CODAGE - DÉCODAGE - MESSAGE - DESTINATAIRE AVANTAGES : ce modèle va mettre en lumière les facteurs qui vont perturber la transmission de l'information (bruit). INCONVÉNIENT: c'est un schéma simpliste qui ne peut s'appliquer à toute les situations de communications. Il ignore la pluralité des récepteurs. Il laisse de coté les éléments psychologiques et sociologiques. Il y a absence de boucle de rétroaction.
LE MODÈLE DE HAROLD D.LASSWELL
Il fut l'un des premiers à s'intéresser à la communication de masse. Selon lui, on peut décrire "convenablement une action de communication en répondant aux questions suivantes " : Qui, dit quoi, par quel canal, a qui et avec quel effet ? " - QUI : correspond à l'étude sociologique des milieux et organismes émetteurs (motivation de communiquer). - DIT QUOI : se rapporte au message, à l'analyse de son contenu. - PAR QUEL CANAL : désigne l'ensemble des techniques qui à un moment donné et pour une société déterminée, diffusent à la fois l'information et la culture. - A QUI : vise l'audience, les publics avec des analyses selon des variables (âges, sexe...) - AVEC QUEL EFFET : suppose une analyse des problèmes d'influence du message sur l'auditoire. Le modèle de Lasswell conçoit la communication comme un processus d'influence et de persuasion. AVANTAGES : L'intérêt essentiel de ce modèle est de dépasser la simple problématique de la transmission d'un message et d'envisager la communication comme un processus dynamique avec une suite d'étapes ayant chacune leur importance, leur spécificité et leur problématique. Il met aussi l'accent sur la finalité et les effets de la communication. LES LIMITES : Il s'agit d'un modèle assez simpliste. Le processus de communication est limité à la dimension persuasive. La communication est perçue comme une relation autoritaire. Il y a absence de toute forme de rétroaction, et le contexte sociologique et psychologique n'est pas pris en compte . Avec ces 2 modèles, la communication est vue comme un processus linéaire centré sur le transfert d'informations. De plus, ils présentent des situations de communication dégagées de tout contexte. Ces modèles sont tirés des héritiers d'une tradition psychologique (Béhavioristes). Le rôle de l'émetteur et du récepteur sont totalement différenciés. Le récepteur est considéré comme passif, ce qui est tronqué car il existe une inter-influence entre l'émetteur et le récepteur. DE NOUVEAUX CONCEPTS En introduisant le notion de contexte et de Feedback, certains chercheurs ont tenté de corriger les défauts de ces premiers modèles.
MODÈLE DE RILEY& RILEY
Dans ce modèle, les auteurs nous rappellent que nous sommes des individus qui appartiennent à des groupes. Le communicateur et le récepteur sont donc restitués dans des groupes primaires (familles, communauté, petits groupes...). Ces groupes primaires sont des groupes d'appartenance, ils influent la façon de voir et de juger. Ces groupes évoluent eux-mêmes dans un contexte social dont ils dépendent. L'avantage de ce modèle, c'est l'apparition d'une boucle de rétroaction entre l'émetteur et le récepteur qui montre l'existence d'un phénomène de réciprocité, d'une inter-influence entre les individus en présence. LE FEED-BACK (les travaux de Wiener sur la cybernétique) Le feed-back désigne le réaction du récepteur au message émit et son retour vers l'émetteur. Cette notion de Feed-Back a permis aux chercheurs en sciences-sociales, de franchir un pas en passant d'une vision linéaire de la communication, à la conception d'un processus circulaire. On distingue 2 formes de Feed-Back : le Feed-Back positif et le Feed-Back négatif. Le Feed-back positif est celui qui conduit à accentuer un phénomène avec un effet boule de neige (énervement entre 2 personnes). Le Feed-back négatif peut être considéré comme un phénomène de régulation qui tend à maintenir la relation dans un état de stabilité et d'équilibre. L'ÉCHANGE LANGAGIER L'intérêt essentiel des linguistes, c'est d'avoir rompu avec le perception mécaniste. Ils ont montré que la communication impliquée de nombreux facteurs remplissant des fonctions diversifiées qui concourent tous à la signification du message. L'APPORT DE JAKOBSON
Le modèle de Jakobson développe une réflexion sur le message dans le communication verbale. Ce modèle est composé de 6 facteurs : le destinateur; le message; le destinataire; le contexte; le code; le contact.
Le message suppose un codage et un décodage, d'où l'introduction du facteur code. Le contact est la liaison physique et psychologique entre l'émetteur et le récepteur. Le contexte est l'ensemble des conditions sociales. La principale originalité de ce modèle, c'est qu'a ces 6 facteurs correspond 6 fonctions: La fonction expressive : Consiste à informer l'émetteur sur la personnalité de celui qui transmet le message : volonté d'exprimer les pensées, les critiques à leur égard (communication de crise). La fonction conative : cette fonction va efforcer le destinateur à agir sur le destinataire (inciter à écouter, à agir, à émouvoir). Cette fonction apparaît clairement dans les situations ou la finalité de la communication est de faire agir le destinataire, dans le sens souhaité par le destinateur.(Avec Carrefour, je positive) La fonction phatique : cette fonction est relative au contact. Elle permet de provoquer et de maintenir le contact. ( Utilisée dans la publicité, elle est souvent visuelle, couleurs flashy. Il peut s'agir aussi des figures de rhétoriques.) La fonction métalinguistique : Cette fonction s'exerce lorsque l'échange porte sur le code lui-même et que les partenaires vérifient qu'ils utilisent bien le même code. Cette fonction consiste donc à utiliser un langage pour expliquer un autre langage. Fonction de traduction. (est-ce que vous me suivez ?) (Dans une publicité, un slogan écrit en anglais dans une pub française, rappel l'origine de la marque.) La fonction référentielle : Cette fonction est orientée vers le contexte dans la mesure ou c'est de lui que va dépendre le message. La fonction poétique : Ne se limite pas à la seule poésie, car tous message est expressif. Cette fonction se rapporte à la forme du message dans la mesure ou elle a une valeur expressive propre.(Puis-je me permettre d'emprunter votre crayon ? - File moi ton crayon - peux tu me passer ton crayon?) En analysant ces 6 fonctions du langage, dont Jakobson dit qu'elles "ne s'excluent pas les unes les autres, mais que souvent elles se superposent" on peut remarquer que : - 3 d'entre elles ( expressive - conatif - phatique ) sont du domaine du langage analogique, c'est à dire de la relation. - Les 3 autres (référentielle - métalinguistique - poétique ) sont du domaine du langage digital, c'est à dire du contenu.
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| | | orkedia.ph Actif
Nombre de messages : 338 Age : 41 Localisation : la lune Date d'inscription : 02/03/2008
| Sujet: Re: TEO Sam 29 Mar - 22:27 | |
| LES TECHNIQUES
La respiration Elle détermine la bonne émission de la voix. Elle permet la détente musculaire et nerveuse. Elle est nécessaire pour vivre… Et faire vivre son discours ! Il y a trois grands types de respirations : 1/ Claviculaire : Gonflement de la cage thoracique et élévation des épaules. C'est la respiration dite "haute", celle que nous utilisons quand on nous dit de respirer « à fond » chez le médecin. Elle peut bloquer la voix et générer du stress. 2/ Thoracique : Ouverture de la cage thoracique par l’élargissement des côtes et le gonflement de la poitrine. C'est la respiration la plus connue, utilisée par la plupart des sportifs amateurs. 3/ Abdominale : Entraînez-vous, c 'est la bonne ! Abaisser le diaphragme et détendre les muscles abdominaux. Cette respiration se découvre facilement si l'on s’allonge sur le dos en plaçant une main sur le ventre. Lors de l’inspiration : la main est soulevée, le ventre se gonfle, puis se creuse à l’expiration. C'est la respiration idéale pour la voix chantée et parlée. Elle permet en plus de gérer le stress.
La voix Le timbre Selon les individus, le timbre de voix sera très différent. Le timbre, tout comme les empreintes digitales, est propre à chacun et ne varie pas. Il est très utile à un orateur de bien placer sa voix, c'est-à-dire, entre autres, de bien la timbrer. Au-delà du timbre, la voix se caractérise aussi par : 1/ L'intensité : C'est le niveau sonore de la voix. Il faut adapter ce niveau à la taille de l'espace, à la disposition du public, et au nombre de personnes présentes. 2/ L'intonation : C'est le mouvement mélodique de la voix, caractérisé par des variations de hauteur. Comme en musique, il faut trouver sa partition et jouer sur des notes différentes. Il est nécessaire de varier ses intonations afin de capter l'attention de l'auditoire. Personne n'imagine un morceau musical sur une seule et même note. 3/ Le débit : C'est le nombre de mots à la minute. Attention, la plupart des orateurs parlent trop vite. Entraînez-vous à étirer le temps de votre intervention : 20 % en plus et vous allez gagner en impact. Pour cela :
- Il faut respirer entre les phrases, dans les phrases et faire des pauses pour reprendre votre souffle
- ... Et laisser le public respirer lui aussi.
- Comme en musique, le silence s'inscrit dans la partition.
- Attention, le trac provoque souvent une accélération du débit, il faut être vigilant sur ce point.
Le phrasé LA DICTION C'est la prononciation correcte des consonnes, des syllabes et des diphtongues. Chaque phrase doit exister du début à la fin : de son attaque à sa finale, en passant par toutes les syllabes intermédiaires. L'entraînement régulier avec des phrases adéquates permet de muscler la langue et les lèvres et de renforcer son impact grâce à une diction précise. LE RYTHME Les changements de rythme donnent à la prise de parole sa musicalité et évitent la monotonie. Il faut varier les rythmes pour donner de la vie à sa prestation. Plusieurs leviers existent pour influer sur le rythme : 1/ La ponctuation : La ponctuation du langage parlé n'a rien à voir avec la ponctuation de l'écrit. Vous pouvez vous arrêter où vous voulez dans une phrase. Cela permet de renforcer l'écoute et de donner du poids à certains mots ou à certaines idées. Prendre du temps avant un mot, après un mot, ou avant et après un mot, permet de lui donner plus de force. 2/ La modulation : Le ton de la voix varie en prenant appui sur certaines syllabes, certaines diphtongues, et sur certains mots. Un autre moyen de mettre en valeur certains mots, c'est la scansion : renforcer vocalement un mot (ou une idée). 3/ L'utilisation du silence : Il souligne les changements de rythmes. Il permet à vous, comme au public, de respirer. Il vous permet de regarder l'auditoire et de vous appuyer sur lui, ce qui à pour effet de renforcer encore votre impact. Le silence paraît toujours plus long à l'orateur qu'à celui qui l'écoute. Prenez votre temps. LA REPETITION Voilà encore un moyen de renforcer l'impact d'un mot ou d'une phrase. Répéter un mot, ou un bloc de mots, c'est le mettre en avant, pour le souligner. La répétition met en évidence l'importance de ce qu'il représente, c'est un moyen de préciser votre intention. De plus, la répétition favorise la mémorisation.
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| | | irisss
Nombre de messages : 249 Date d'inscription : 02/03/2008
| Sujet: Re: TEO Sam 29 Mar - 22:40 | |
| très intéressant orkedia merciiiiii | |
| | | JAKAL Admin
Nombre de messages : 518 Age : 35 Localisation : HUECO MUNDO Emploi/loisirs : étudiant Date d'inscription : 12/02/2008
| Sujet: Re: TEO Dim 30 Mar - 1:15 | |
| Merci beaucoup ORKEDIA-CHAN Ces informations auront pu m’être utile si vous aviez posté ça auparavant, mais quand même je trouve qu’il y a beaucoup de mots et notions que j’ai utilisé, je crois donc que j’ai bien exposé aujourd’hui | |
| | | orkedia.ph Actif
Nombre de messages : 338 Age : 41 Localisation : la lune Date d'inscription : 02/03/2008
| Sujet: Re: TEO Dim 30 Mar - 13:23 | |
| cher jacal e voulais juste diposer les cours de TEO et je te vise pas.oui je sais que avez bien exposé | |
| | | orkedia.ph Actif
Nombre de messages : 338 Age : 41 Localisation : la lune Date d'inscription : 02/03/2008
| Sujet: Re: TEO Dim 30 Mar - 13:31 | |
| <td align=middle>J'ai le trac* ! * ! Je respire |
J'ai le trac La grande majorité des personnes qui présentent un exposé ont le trac. On peut définir le trac comme une "peur ou angoisse irraisonnée que l'on ressent avant d'affronter le public" (OQLF). Les symptômes peuvent être physiques ou psychiques. Dans les deux cas, la liste est infinie.Symptômes physiques : bouche sèche, mal au ventre, crampes d'estomac, mains moites, tremblements nerveux, plaques rouges au visage/cou, vision embrouillée, genoux flageolants, etc.Symptômes psychiques : peur des trous de mémoire, peur de bafouiller, peur de ne pouvoir répondre aux questions, etc. Tu peux remédier à ces symptômes en préparent des fiches, transparents ou diaporama aide-mémoire et être prêt à admettre que tu ne pourras peut-être pas répondre à toutes les questions.Comment combattre ces symptômes le plus efficacement possible?· Connaissance du sujet : Prépare-toi consciencieusement. · Connaissance des lieux : Promène-toi dans la salle, touche aux meubles et aux accessoires que tu utiliseras durant ton exposé. · Connaissance de techniques de relaxation : Avant l'exposé, lorsque la « mise en place » est terminée, retire-toi, prends une marche si le temps le permet pour te décontracter (de préférence à l'extérieur), bois de l'eau, fais des exercices sur place, etc. Je respire Respire à fond avant de commencer ton exposé et commence à parler avec confiance. N'oublie pas que l'« expert », c'est toi ! Ton objectif est de faire partager tes connaissances avec les auditeurs.Pendant l'exposé, bouge, ne reste pas immobile, et respire !Ta voix peut trembloter légèrement au début, mais tu prendras de l'assurance au fil de l'exposé.Essaie de reprendre calmement ton souffle entre chaque phrase et n'aies pas peur des silences, qui paraissent interminables pour l'orateur, mais l'auditoire, au contraire, les apprécie.Évite les «euh..........», ces périodes pendant lesquelles tu réfléchis à haute voix. Réfléchis en silence et respire, au lieu d'émettre des sons indésirables dont tu as pu vérifier la présence lors de ta pratique avec un magnétophone ou une caméra vidéo. | |
| | | orkedia.ph Actif
Nombre de messages : 338 Age : 41 Localisation : la lune Date d'inscription : 02/03/2008
| Sujet: Re: TEO Dim 30 Mar - 13:47 | |
| Définition : L’exposé oral, c’est la présentation verbale du fruit d’un travail de recherche ou d’une réflexion sur un sujet donné. Puisque c’est une communication avec un auditoire qu’il faut instruire et convaincre tout en le charmant, l’exposé oral est nécessairement visuel et expressif, voire théâtral. Pour ce faire, il convient de bien préparer son exposé et de respecter les règles énoncées dans ce document. Préparez soigneusement votre exposé Le secret d’un bon exposé est la préparation. Plus vous serez préparé, plus vous maîtriserez le contenu, plus vous vous sentirez à l’aise de communiquer vos idées et meilleur sera l’exposé. Ayez un plan et tenez-vous-en à ce plan au cours de l’exposé. Employez la méthode des fiches documentaires pour noter les informations et construire le schéma de votre exposé. les exemples à la page suivante pour vous aider à visualiser ce que pourrait être un plan d’exposé oral et à quoi peuvent bien ressembler les fiches documentaires.
(1 Tiré et adapté de :
Bernard Dionne, Pour réussir, Guide méthodologique pour les études et la recherche, 3ième édition, ةditions
etudes Vivantes, Laval, 1998, pp. 253 à 264.)
Exemple de plan d'exposé orale Contenu Durée Suggestions de support matériel
Introduction
Sujet amené (problématique)
Sujet posé (hypothèse)
Sujet divisé (plan)
1 à 2 minutes
Transparent : hypothèse de travail
Développement
1ère idée principale
2ième idée principale
2ième idée principale
8 à 12 minutes
Exemples :
Transparent : tableau statistique
Transparent ; graphique
Extrait vidéo
Conclusion
Retour sur la démarche
Retour sur l'hypothèse
Autocrititque, prospective
2 à 3 minutes
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