|
| T.P.E | |
|
+41élla soleil Cerine toronfol adilla richy05 TISSA19 black-angel05 mari anna narcissique_manel salam sich viérge Hadilla fifi samontha Nor.el.yakine LORA Paradis Rose sally zahou kouza eclipse bouji jakarta Nivertiti rubi liza lady jasmin28 sarra papinate GRACIELLA salsabil lolitta morjana orkedia.ph princesse Massyl JAKAL 45 participants | |
Auteur | Message |
---|
JAKAL Admin
Nombre de messages : 518 Age : 35 Localisation : HUECO MUNDO Emploi/loisirs : étudiant Date d'inscription : 12/02/2008
| Sujet: T.P.E Mer 21 Mai - 1:32 | |
| bonsoir à tous A cause d'une regrettable erreur je vous demande tous d'essayer de reposer vos T.P.E dans ce topique cordialement JAKAL | |
| | | Massyl
Nombre de messages : 1 Date d'inscription : 10/05/2008
| Sujet: Re: T.P.E Mer 21 Mai - 8:23 | |
| - Spoiler:
FICHE DE LECTURE DJEMINA de Nassira Belloula. -récits-
Biographie | Bibliographie | Nassira Belloula native des Aures, journaliste, poursuit en parallèle une carrière d'écrivaine, expérimentant plusieurs formes d'écriture allant de l'essai au roman en passant par le récit et la poésie. Son écriture polyvalente et fraîche lui donne un cachet de particulier. | Algérie,le massacre des innocents. Fayard 2000 -La revanche de may EnaG 2003 -Conversations à Alger chihab 2005 -Les belles Algériennes media plus 2006 -Djemina ed media plus Alger 2008 |
La vièrge de Tifelfel
Résumé
-On est dans les Aures, en l'an115. Au temps des conquérants romains,ces légionnaires qui passaient par ce pays des Chaouias construisant Thamugadi ,Théveste et Mascula ,un bel homme fier dans son allure, arborant armes et armures, avait pris pied un jour à Tifelfel, établissant un fortin à l'entrée du défilé afin de surveiller son passage et les villages qui chevauchaient:Mchouneh, Tamrit, Banian, Tighanimine. Il faisait doux et bon ce matin, la destinée d'une jeune se dessinait. La vieille l'avait prévenue:"sur ton chemin aujourd'hui, ô belle d'entre les les belles, tu enchaîneras ta vie"_"quatre fois la terre aura tourné, juste quatre fois et ton sang de vierge aura coulé", la belle pensa à un mariage, elle reprit la marche sur le sentier qui montait péniblement jusqu'au sommet, la source convoitée, le seul point d'eau ou les filles venaient puiser l'essentiel de leurs besoins.Pour se soulager de cette corvée harassante, la belle se mit à chanter avec sa voix mélodieuse qui s'éleva dans les airs, le bel homme l'entendit, ses yeux se posèrent sur elle, il venait de rencontrer sa defaite.Le centurion se mit à la courtiser avec des présents et fleurs, elle se tenait à distance .Dans sa tête cheminaient de drôles idées,elle savait qu'elle pouvait aider les siens en exploitant l'amour du romain;il est puissant et riche, c'est un colonisateur qui a vaincu mon peuple en s'établissant dans la terre de mes ancêtres, il est à mes pieds aujourd'hui, disait-elle, elle lui demanda s'il pouvait apporter de l'eau à son village, le romain encouragé par les caresses et les regards de sa belle, se mit à l'œuvre, embaucha de la main d'œuvre, s'initia aux savoirs des architectes, pendant quatre années, il réussit à tracer un cour d'eau dans la roche venant de la fontaine, tout au sommet de la colline jusqu'au village, il gagna son pari, l'eau arriva à Tifelfel .Le jour du rendez-vous , elle se faisa belle est rejoigna le centirion, il rêvait de cet instant depuis des siècles elle s'allongea sur la couche satinée du romain, il s'éloigna pour se débarrasser des armes, quand sa tête se tourna vers elle, son regard s'assombrit, sur le sol, la main encore sur le manche de la drague enfoncée dans sa poitrine, la belle dormait d'un sommeil éternel.
| |
| | | princesse Actif
Nombre de messages : 654 Age : 36 Localisation : with me Date d'inscription : 02/03/2008
| Sujet: Re: T.P.E Mer 21 Mai - 17:30 | |
| La Peau de chagrin : oeuvre de Honoré de Balzac (1799-1850), publiée en 1831 par C.Gosselin (Paris). Biographie da BALZAC Écrivain français (1799-1850), il est considéré comme le créateur du roman réaliste moderne. Ses premiers ouvrages, des romans écrits à la manière de Walter Scott et de médiocres comédies, ne lui valurent guère de succès. Il collabore à de nombreux journaux. Il entreprend la publication de ses romans par feuilletons dans les revues. Avide de gloire et de richesse, il se lance en 1825 dans l'édition, aventure dont il sortira ruiné à tout jamais. Ses relations amoureuses avec Mme de Berny, qui lui ouvre les portes des salons fermés de l'aristocratie, sont le prélude à une carrière d'écrivain à la mode. Les Chouans et la Physiologie du mariage lui assurent la célébrité à partir de 1829, que confirme la parution en 1831 de Peau de chagrin. Il conçoit vers 1833 le projet de la Comédie humaine, un grand cycle de romans qui relaterent les aventures d'une série de personnages unis par les liens du sang ou de l'amitié. Espérant trouver fortune et gloire au théâtre, ses rares incursions dans le domaine se soldèrent par des échecs. Prodigieux travailleur, l'ambition et la nécessité le contraignaient selon ses dires à une condition de forçat. «Homme de de désordre, il passa sa vie à essayer en vain de se mettre en ordre» (Remy de Gourmont). Deux mois après son retour de Russie, où il avait épousé Mme Hanska, il mourut le 18 août 1850, dans l'indifférence générale, des suites de l'hypertrophie du cœur qui le minait.
Bibliographie 1831 La Peau de chagrin 1833 Eugénie Grandet 1835 Le Père Goriot 1837-1843 César Birotteau, Illusions perdues 1838-1847 Splendeurs et misères des courtisanes 1844 Les Paysans 1846 La Cousine Bette 1847 Le Cousin PonsNiveaux de genre : Prose / Fiction / Roman. Thèmes abordés : ambition, amitié, amour impossible, argent, corruption, désir, écrivain, égoïsme, fantastique, fatalité, femme, jeu, misère, mort, passion, suicide, vie mondaine. personnages : Le heros de la PEAU DE CHAGRIN est un exemple édifiant, Jeune homme pauvre , étudiant en droit et clerc dans une étude, Raphaël de Valentin habite une mansarde et se consacre à ses études : "le plus beau thème , la plus heureuse solution d'une vie humaine "La logeuse , Madame Gaudin et sa fille Pauline entretiennent laborieusement un paisible intérieur, "Il y avait de la résignation dans ces travaux ,mais une résignation religieuse et pleine de sentiments élevés.Puis une indéfinissable harmonie existait entre les choses et les personnes"Foedora : belle , riche et sans amant résumé La triste enfance de Raphael,. A peine sorti du collège, il entama des études de Droit.. La Restauration avait ruiné les de Valentine et depuis dix ans, le père de Raphael se battait contre les tribunaux afin de se maintenir dans la possession de quelques malheureuses dotations. Une fois le procès perdu, ils se virent condamnés à restituer une somme énorme. Raphael dut céder toute la fortune qu'il avait héritée de sa mère afin de combler les dettes de son père qui en mourut de chagrin quelques mois plus tard.. Il calcula qu'en consommant le strict minimum, il pouvait vivre trois ans. Raphael loua une misérable mansarde et diogénisa sa vie, fondant tous ses espoirs sur un ouvrage qu'il passait ses journées à rédiger et qui, une fois achevé, devait lui permettre d'adopter un style de vie normal. Par malheur, durant cette période de misère, un ami le présenta à Foedora, une richissime femme des hautes sphères de Paris dont il tomba amoureux. Mais cette femme pour qui il s'escrimait à cacher sa pauvreté, brisa le cœur de Raphael. Ayant épuisé tout son pécule, il ne trouva que le suicide pour échapper à cette vie de malheur, de pauvreté et de soucis. En chemin vers la Seine, il décida de rendre un dernier hommage à ce monde en visitant un antiquaire, véritable témoin de toutes les sociétés passées. Là, Raphael découvrit la Peau de chagrin, un talisman qui avait le pouvoir d'exaucer tous les souhaits de son propriétaire Les paroles mystérieuses étaient disposées de la manière suivante : SI TU ME POSSEDES, TU POSSEDERAS TOUT. MAIS TA VIE M'APPARTIENDRA. DIEU L'A VOULU AINSI. DESIRE, ET TES DESIRS SERONT ACCOMPLIS. MAIS REGLE TES SOUHAITS SUR TA VIE. ELLE EST LA. A CHAQUE VOULOIR JE DECROITRAI COMME TES JOURS. ME VEUX-TU ? PRENDS. DIEU T'EXAUCERA. SOIT ! . La peau représenterait le nombre de jour qu'il restait à vivre à son possesseur mais chaque désir exaucé entrainait son rétrécissement. Ne pensant plus à mourir, Raphael demanda un immense banquet et une soirée pleine de joie et de richesse. En sortant de la boutique, deux anciens amis l'invitèrent au diner d'ouverture d'un nouveau journal en compagnie de riches parisiens et de plus de courtisanes qu'il n'en avait jamais vues. Enthousiasmé par l'efficacité de la Peau, le nouveau millionnaire mena une vie de richesse et de débauche jusqu'au jour où il prit brutalement conscience de la taille du talisman. Si la légende de l'antiquaire s'avérait réelle, il ne lui resterait plus longtemps à vivre. Raphael consulta des médecins qui diagnostiquèrent une maladie pulmonaire mortelle. Paniqué, le malade visita des scientifiques renommés, des techniciens, des chimistes, des physiciens afin d'élargir, d'étendre ou de détruire la Peau, mais rien n'y fit ; ses jours continuèrent inexorablement à diminuer. Nouvellement marié, il s'évertua à bannir tout vœu de son esprit. Mais un jour que la Peau de chagrin était à peine aussi large qu'un ongle, il céda devant sa femme, la désira et la prit dans ses bras. Les mots d'amour qu'il voulut lui murmurer restèrent coincés dans sa gorge d'où sortit le râle de la mort conclusion Derrière le conte fantastique, se retrouve le thème classique du pacte avec le Diable : je t’offre du bonheur contre ta vie ou ton âme. Il rappelle au lecteur que toute chose a un prix et que le bonheur perpétuel n’existe pas. Un choix est indispensable entre vivre plus intensément moins longtemps et moins intensément plus longtemps. C’est d’ailleurs l’objet de la discussion entre Raphaël de Valentin et l’antiquaire sans âge qui lui offre la peau.
| |
| | | orkedia.ph Actif
Nombre de messages : 338 Age : 41 Localisation : la lune Date d'inscription : 02/03/2008
| Sujet: Re: T.P.E Mer 21 Mai - 17:41 | |
| L'Alchimiste(O alquimista) est le roman de Paulo Coelho paru en 1994 qui l'a fait connaître du grand public. BiographiePaulo Coelho est né le 24 août1947 à Rio de Janeiro. Avant d'être auteur de best-sellers, il a été dramaturge, metteur en scène, hippie, et compositeur populaire pour quelques-unes des plus célèbres stars de pop-music brésilienne : Elis Règina et Raul Seixas. Il a également travaillé comme journaliste et comme scénariste pour la télévision. En 1986, Paulo Coelho prend la route de Saint-Jacques de Compostelle. Il décrira plus tard cette expérience dans Le Pèlerin de Compostelle, son premier livre, publié en France en 1996. Avec L'Alchimiste paru en France en 1994, un authentique phénomène, best-seller numéro 1 dans 29 pays, Paulo Coelho est devenu l'un des auteurs contemporains les plus lus. Les livres de Coelho sont des romans à tendance philosophique abordant la spiritualité, à la manière d'un vaste conte. Les récits de Coelho abordent des thèmes proches à chacun, notamment ceux concernant les rêves, les projets, les faiblesses, les doutes, et le sens de la vie... Ces thèmes concis ne s'embarrassent guère d'un décor somptueux : l'essentiel étant l'histoire des deux ou trois personnages bien ciblés qui se mesurent au destin.L’Alchimiste occupe une place particulière dans son œuvre. Ce conte initiatique au succès phénoménal est considéré comme un ouvrage culte et souvent comparé au Petit Prince d’Antoine de Saint-Exupéry ou au Prophète de Khalil Gibran. En moins de vingt ans, l’auteur a séduit des millions de lecteurs d’origine, d’éducation et de mode de vie fort différents. Son œuvre développe les thèmes de son propre apprentissage et restitue une spiritualité complexe dans les termes les plus simples et les formes les plus diverses. Aujourd’hui, Paulo Coelho est un homme honoré et une figure internationale de la scène littéraire. Au Brésil, il s’est vu récemment décerner une place à l’Académie des Lettres (l’équivalent de notre Académie française). Paulo Coelho a également créé une fondation pour le soutien des défavorisés au Brésil et s’investit dans de nombreux programmes humanitaires dans le monde, notamment pour l’Unesco.Du même auteur :
- Sur les bords de la rivière Piedra, je me suis assise et j'ai pleuré - 1995
- Le Pélerin de Compostelle - 1996
- La Cinquième Montagne - 1998
- Manuel du guerrier de la lumière - 1998
- Véronika décide de mourir, 2001
- Le Démon et mademoiselle Prym - 2002
- Onze minutes - 2003
- Maktub - 2004
- Le Zahir - Mai 2005
Les thèmes
Les récits de Coelho abordent des thèmes proches à chacun, notamment ceux concernant les rêves, les projets, les faiblesses, les doutes, et le sens de la vie... Ces thèmes concis ne s'embarrassent guère d'un décor somptueux : l'essentiel étant l'histoire des deux ou trois personnages bien ciblés qui se mesurent au destin.
La légende personnelleLa légende personnelle est une expression utilisée par l’écrivain Paulo Coelho dans son livre l’alchimiste. Selon lui, nous serions tous porteurs d'un destin particulier et favorable qu’il nomme Légende Personnelle. L'accomplissement de ce destin dépendrait de notre capacité à retrouver nos envies profondes.« Si vous écoutez votre cœur, vous savez précisément ce que vous avez à faire sur terre. Enfant, nous avons tous su. Mais parce que nous avons peur d’être désappointé, peur de ne pas réussir à réaliser notre rêve, nous n’écoutons plus notre cœur. Ceci dit, il est normal de nous éloigner à un moment ou à un autre de notre Légende Personnelle. Ce n’est pas grave car, à plusieurs reprises, la vie nous donne la possibilité de recoller à cette trajectoire idéale » "C'est justement la possibilité de réaliser un rêve qui rend la vie intéressante"
RESUME
Santiago grandit au sein d''une pauvre famille, avec un père qui lui laissa trois anciennes pièces espagnoles afin qu''il s''achète un troupeau de mouton comme il avait la passion de voyager autour du monde. Devenu berger, il vit sa vie pour plusieurs années sans soucis en tant que voyageur, passant ses nuits dans une vieille église où pousse un arbre de sycomore où le sacristie exista jadis. Ainsi, il fit la connaissance de multiples personnes telle que la belle fille du marchant qu''il rencontra dans une ville qu''il a l''intention de revisiter. Les quelques heures qu''il passa à communiquer avec elle lui étaient suffisante pour qu''il sache qu''elle était la femme de sa vie. C''est alors qu''il commença à considerer les bénéfices d''une vie stable. Une fois à Tarifa, il visita une voyante Gitane afin qu''elle l''aide à décoder un rêve qu''il voit chaque jour, qui inclus les Pyramides d''Egypte, un trésor et un petit enfant. La gitane conclut qu''il lui fallait visiter les pyramides et trouver le trésor comme les enfants disent la vérité. Ceci ne le motiva point au départ, mais une fois qu''il rencontra un vieil homme nommé le "Melchizedeck" (Roi de Salem), il décida d''aller à la conquête du trésor comme il lui était nécessaire de suivre sa légendre personelle pour trouver le bonheur. Il lui donna deux pierres, L''Ourim et le Thoumim, une qui voulait dire oui et l''autre non, pour l''aider dans ses prises de décisions. Santiago vend ses moutons et voyagea en Afrique en commençant par Tanger, où on lui vola son argent. Commençant à perdre espoir, il chercha du travail afin de pourvoir se racheter son troupeau. Il fût engagé à nettoyer les marchandises dans une boutique de Crystal, où il decouvra que notre destin nous est écrit (Maktub) et qu''il existe dans l''univers un language qu''il apprit à parler à travers ses moutons. Au bout d''un an, il quitte la boutique non pas pour s''acheter un troupeau mais pour rejoindre une caravanne qui voyage vers les Pyramides. Là-bas, il fit la connaissance d''un Anglais intéréssé par les Alchimistes, et ainsi Santiago en appris plus à propos de l''Ame du monde. Arrivant à l''Oasis, on interdit à la caravanne d''aller plus loin à cause de la guerre des tribus. L''alchimiste présent à l''Oasis croyait fortement que son disciple lui venait dans cette caravanne et n''etait nul autre que Santiago. Alors ce dernier lui annonce une prochaine attaque sur l''oasis, une vision qu''il reçu en méditant le vol de deux faucons. L''Alchimiste lui annonça alors qu''il ne trouvera le bonheur que s''il poursuit sa légende personelle. Il quitta alors avec ce dernier, après avoir appris à écouter avec son coeur, tombant amoureux d''une femme du desert. Au milieu du chemin, les deux hommes sont capturés par une tribu et l''Alchimiste leur annonça que Santiago est un puissant Alchimiste ayant la force de détruire le camp militaire s''il le voulait, demandant un délai de trois jours pour justifier cela, contre la mort en cas d''echec. Santiago conduit la tribu vers une colline et utilisa sa connaissance du langage universel pour parler avec le desert et utiliser son sable, puis au Paradis (le soleil), puis au vent qui souffla fort. Le "Simum" presque détruit le camp, que le chef laissa les deux hommes quitter directement, qu''ils continuèrent leur voyage et s''arreterent dans un monastère où on apprit à Santiago le secret de la transformation du métal en or avant de lui donner une part de sa portion de l''or. Arrivant aux pyramides, il tomba à genoux en pleurant et creusa là où ses larmes se sont posés, voyant un scarabé creuser. Des voleurs arrivèrent et le pillèrent de son or. Perdant espoir, il leur raconta à propos du trésor caché, et l''un des a alors à Santiago un rêve qu''il vit chaque nuit, à propos d''un trésor caché dans une vieille église souns un arbre de sycomore poussant là où le sacristie exista jadis, où un berger dormait avec ses moutons. Santiago comprit alors sa légende personelle. Il se dirigea à nouveau vers le monastère pour prendre la portion restante de son or, pour retourner à l''église et trouver le trésor (un coffre de pièces en or). Il admira cette étrange façon utilisée par Dieu, juste avant de sentir un baiser de Fatima se poser sur ses lèvres emporté par le vent. | |
| | | morjana
Nombre de messages : 52 Age : 37 Date d'inscription : 29/02/2008
| Sujet: T.P.E Mer 21 Mai - 19:37 | |
| *Etudiante:morjana *Groupe:2 *Titre de l'ouvrage:« QUE FAIRE ? » *Auteur de l'ouvrage:Tchernychevski *Edition:DES SYRTES *Année:23/06/2000
* Biographie : Nikolaï TchernychevskyNikolaï Gavrilovitch Tchernychevsky [en russe : Николай Гаврилович Чернышевский] (12 juillet 1828, Saratov, Russie - 17 octobre 1889, Saratov) est un écrivain révolutionnaire et philosophe russe. Le père de Tchernychevsky était prêtre orthodoxe à Saratov. Nikolaï commence des études au séminaire de Saratov avant de partir faire ses études à l'Université de Saint-Pétersbourg en 1846. Il sort diplômé en 1850 et revient enseigner la littérature dans un lycée de Saratov. Il retourne à Pétersbourg en 1852 pour prendre le poste d'éditeur en chef de la revue Sovremennik (Le Contemporain). Cette revue lui sert à publier ses premiers essais politiques et philosophiques ainsi que ses critiques littéraires.
En juillet 1862, il est arrêté et enfermé à la forteresse Saints-Pierre-et-Paul de Pétersbourg. Il y écrit son roman le plus connu Que faire ? qui marquera quantité de révolutionnaires dans l'histoire de la Russie, de Lénine à Emma Goldman. Le roman paraît dans les pages du Contemporain en 1864. Après deux ans d'emprisonnement, il est jugé, reconnu coupable et condamné au bagne à vie en mai 1864. Jusqu'en 1872 il est emprisonné en travaillant dans une mine et de 1872 à 1883, il est exilé à Viliouïsk en Sibérie puis à Astrakhan, une ville plus clémente sur les bords de la mer Caspienne. Tchernychevsky obtient le droit de revenir à Saratov en 1889 et il y meurt le 17 octobre 1889.
*RESUME DU ROMAN :« QUE FAIRE ? »
*Le roman Que faire ? débute par la description de la vie de Véra Pavlovna dans la maison paternelle. Véra grandit entre une mère qui lui porte peu d’affection, Maria, et un père soumis à sa femme, Pavel, gérant d’une maison. Maria, femme aigrie par les difficultés de sa vie passée, est devenue manipulatrice pour se sortir de sa condition misérable.
À l’adolescence, la beauté de Véra s’épanouissant, sa mère met tout en œuvre pour lui faire faire un bon mariage qui lui assurera une vieillesse aisée. Mais Véra est une jeune fille qui a d'autres aspirations que les ambitions de confort bourgeois de sa mère. Elle est intègre et sensible, déteste les valeurs de la société dans laquelle elle vit qui lui paraissent totalement injustes.
Véra refuse donc le prétendant qu’encourage sa mère, Mikhaïl, le fils de leur propriétaire. Jeune homme lâche et prétentieux, il s’intéresse à Véra comme à un bel objet qui lui permettrait de se valoriser dans le « beau monde ». C’est aussi un moyen pour lui de se rebeller contre sa mère, Anna, qui désapprouve un mariage en dessous de leur condition. Véra, encore naïve, croit que Mikhaïl l'aime sincèrement. Elle a pitié de lui, elle a également peur de sa mère, mais parvient à repousser le moment où il lui faudra donner sa réponse. Prise au piège entre une vie de famille détestable et un mariage redouté, Véra ne voit aucune issue possible, sinon la mort.
C’est dans ces circonstances qu’un jeune étudiant en médecine, Lopoukhov, vient donner des leçons à son petit frère Fédia. Lopoukhov est un jeune homme sérieux qui s'investit entièrement dans un idéal politique révolutionnaire, suivant la philosophie matérialiste. À l’occasion de la soirée d'anniversaire de Véra, ils apprennent à se connaître et Lopoukhov lui apparaît comme un homme différent des autres. Il lui montre qu'elle n'est pas seule à avoir ces pensées sur la société qui l'entoure. Leur complicité est immédiate, et Lopoukhov promet à Véra de l’aider à quitter sa famille. Il tente de lui trouver un emploi, mais cette tâche s’avère beaucoup plus difficile qu’ils ne l’avaient pensé tous deux.
L’attente est de plus en plus dure pour Véra, et le mariage avec Mikhaïl de plus en plus difficile à éviter. Face à l’urgence, Lopoukhov n’entrevoit pas d’autre solution que d’épouser Véra, même si il aurait préféré attendre de finir ses études de médecine. Véra et Lopoukhov se marient en cachette et Véra s’enfuit de chez ses parents. Ce mariage entraîne une rupture définitive entre Véra et ses parents.
Une nouvelle vie de liberté commence pour Véra. Elle clôt le chapitre de son passé en faisant un premier rêve où elle rencontre une jeune femme, symbole de la révolution, qui la délivre de sa cave et lui demande de libérer à son tour les autres femmes prisonnières. Le roman développe alors la façon de vivre novatrice du jeune couple, et l'évolution de Véra qui applique ses idées d'autonomie : elle crée un atelier de confection d'un genre nouveau, sur le modèle d'une coopérative. L’atelier progresse vers l'établissement d'une vie communautaire pour les ouvrières et leurs familles. Celles-ci mettent en place de nouvelles structures de travail, d'éducation et de biens partagés. Pendant ce temps, Lopoukhov se consacre à son travail et aux débats philosophiques qu'il a régulièrement avec d'autres étudiants et amis.
Le jeune couple reçoit beaucoup, les amis sont nombreux à venir pour travailler, philosopher, jouer… En particulier Kirsanov, le meilleur ami de Lopoukhov. Tous les deux désirent transformer la société, mais si Lopoukhov est froid et solitaire, Kirsanov est de nature plus gaie et expansive. Ils ont les mêmes qualités de générosité, d'humanité et d'honnêteté, mais leurs caractères diffèrent dans leurs relations humaines.
Le caractère sociable de Kirsanov facilite un rapprochement avec Véra, d’une nature semblable, et Kirsanov se trouve rattaché de plus en plus aux activités de Véra, que ce soit pour l'aider à structurer l'atelier, ou pour l'accompagner à des spectacles. Mais si cette complicité ne perturbe pas tout de suite Véra, Kirsanov, lui, sent très rapidement qu'il tombe amoureux d'elle. Il se fait alors un devoir de se rendre odieux auprès du jeune couple pour s'éloigner progressivement jusqu'à disparaître de leur cercle d'amis. Cette première stratégie s'exécute assez facilement et lui permet d'endiguer les sentiments qu'il a pour Véra.
Pendant cette longue rupture, Kirsanov est demandé pour examiner le cas d'une jeune fille, Katia, que les différents médecins consultés n'arrivent pas à soigner. Katia est la fille unique et très aimée de Polozov, un homme d'affaires veuf. À l'âge de 17 ans, elle est déjà courtisée par une foule de prétendants attirés par la fortune de Polozov, dont elle comprend les basses intentions. Mais encore naïve et sincère, elle s'éprend d'un jeune coureur de dot, Solovtzov, qui lui paraît différent des autres car, plus rusé, il joue l'amoureux éperdu rejeté par son père. Polozov prévient sa fille du danger que Solovtzov représente. Katia sait que son père ne cherche que son bonheur, mais pensant qu'elle aime Solovtzov, et ne voulant pas contrarier son père, elle garde secret son amour et commence à dépérir lentement. Voyant sa fille malade, Polozov ne cesse de faire venir différents médecins qui ne savent diagnostiquer qu'une maladie nerveuse due à son mode de vie trépidant. Après avoir examiné Katia, Kirsanov reconnaît immédiatement les symptômes d'un amour contrarié. Il manipule subtilement le père et la fille, afin que chacun d'eux évolue. Polozov comprend qu’il ne doit pas s'obstiner à rejeter le pseudo amoureux afin que sa fille soit réellement confrontée à la sournoiserie et l'hypocrisie de celui qu'elle pense aimer. Katia découvre alors la vraie nature de Solovtzov, guérit de cet amour et donc de sa maladie.
Kirsanov reprend ses relations avec Véra et Lopoukhov lorsque celui-ci tombe malade et que Véra demande à leur ami de venir soigner son mari. Pour la première sortie de Lopoukhov après sa maladie, tous trois se rendent à l’atelier de couture. Kirsanov y retrouve avec surprise Kriova, une jeune femme qu’il a connu des années auparavant. À cette époque, Kriova était une jeune prostituée alcoolique et déjà tuberculeuse lorsqu'elle accoste Kirsanov en pleine rue. Il ne se soucie d'elle tout d'abord que d’un point de vue médical et humanitaire : il lui donne de l’argent et la convainc de ne plus boire. Elle change alors de vie, trouve un travail de couturière et ils finissent par tomber amoureux et vivre ensemble, jusqu'à ce que la maladie de Kriova ne les oblige à se séparer par mesure de prudence. Leurs retrouvailles à l'atelier de Véra sont émouvantes mais de courte durée. Kriova sait qu'elle est en train de mourir et Kirsanov reste auprès d'elle pour lui apporter tout le bonheur et la gaieté possible dans ses derniers jours. À sa mort, c'est Véra qui prendra ce rôle auprès de lui pour apaiser sa douleur.
Dans ces circonstances, Véra se rend compte de l'amour qu'elle porte à Kirsanov. Commence pour elle une lutte intérieure, dont elle parle rapidement à son mari, par le biais d’un autre rêve qu'elle fait : la lecture d’un journal intime imaginaire qui lui révèle que son attachement à Lopoukhov tient plus de la reconnaissance, alors que c’est de l'amour qu’elle ressent pour Kirsanov.
Lopoukhov réalise alors que son ami Kirsanov ne s’était éloigné que parce qu’il était amoureux de Véra et qu’il lui était très difficile de rester auprès du jeune couple sans souffrir et sans se trahir. Il comprend aussi les tourments dans lesquels se débat Véra : avant l’éloignement de Kirsanov, elle n’avait pas encore compris l’ampleur de ses sentiments à son égard puisqu’elle vivait sereinement auprès des deux hommes. Lopoukhov s’entretient à mots couverts avec Véra puis avec Kirsanov sur un nouveau mode de vie qu’ils pourraient établir en mettant en pratique leurs conceptions révolutionnaires sans blesser ou léser qui que ce soit. Mais autant Véra que Kirsanov refusent cette proposition. Véra parce qu’elle pense qu’elle serait là encore l’obligée de son mari à qui elle doit déjà en partie sa libération et son émancipation, Kirsanov parce qu’il pense que la société dans laquelle ils vivent n’est pas encore suffisamment transformée pour accepter un tel mode de vie.
Lopoukhov, ne voulant contraindre ni l’un ni l’autre, sachant également que désormais ils ne pourront plus vivre comme avant, élabore un stratagème pour faire croire à son suicide tandis que Véra et Kirsanov doivent apprendre rapidement que sa disparition est seulement factice et calculée pour qu’ils puissent vivre ensemble.
C’est par l’intermédiaire de Rakhmétov que Véra apprend la vérité sur la disparition de son mari. Lopoukhov lui a confié cette mission car il sait que Rakhmetov trouvera les mots justes auprès de Véra et qu’il la guidera. Surnommé le Rigoriste, Rakhmétov s’est voué tout entier à la révolution. Initié à la philosophie matérialiste par Kirsanov, il dépasse très vite son maître, et décide de consacrer sa vie à la cause révolutionnaire, adoptant pour cela des règles de vie parfois rigides pour rester conforme à ses principes intellectuels et philosophiques. C’est un homme à part, celui qui apprend à devenir une femme ou un homme nouveau. Après avoir accompli sa mission, Rakhmétov part à travers le monde continuer ses pérégrinations philosophiques et politiques.
Lopoukhov revient quelques années après sous les traits de Charles Beaumont, intermédiaire pour une société qui désire racheter l’usine de Polozov. À cette occasion, il se rapproche de Katia. Comme elle souhaite agir pour le bien de la société, il lui conseille de rencontrer Véra et Kirsanov, ce qui lui permet de se renseigner sur leur mode de vie. Il apprend alors qu’ils se sont mariés et vivent dans une parfaite harmonie. Véra a décidé de devenir médecin, et un deuxième atelier est en train d’être créé par certaines des ouvrières.
Lopoukhov et Katia annoncent rapidement leur mariage à Véra et Kirsanov, et ce sont des retrouvailles qui se fêtent avec tous leurs amis. Parmi eux se trouve la jeune femme en deuil, qui cache sa profonde tristesse sous une apparence exubérante. Elle a été la maîtresse de Rakhmétov pendant quelques jours et ne se résigne pas à la décision qu’ils ont prise ensemble, à savoir qu’il n’avait pas le droit de l’entraîner dans son mode de vie tant que la cause révolutionnaire représentait un parcours de difficultés et de dangers.
L’histoire se termine par le retour de Rakhmétov et ses retrouvailles avec la jeune femme en deuil comme un nouveau départ.
Dernière édition par morjana le Sam 31 Mai - 22:02, édité 1 fois | |
| | | lolitta Actif
Nombre de messages : 63 Age : 35 Date d'inscription : 26/02/2008
| Sujet: Mon T.P.E Mer 21 Mai - 23:17 | |
| Mlle Benzeroual Souhila Groupe 02
Fiche de lecture du Père Goriot
Le Père Goriot
Date d''édition : 1835 Auteur : Honoré de Balzac
Dates : 1799- 1850
Né à Tours le 20 mai 1799 et mort à Paris le 18 août 1850.
Métiers :
Romancier, critique littéraire, essayiste, journaliste, écrivain.
Oeuvres :
Comédie Humaine (ensemble de romans d''une même série) Le père Goriot, Le Colonel Chabert, Eugénie Grandet, Les Chouans, La Peau de chagrin ...
Note sur Balzac :
-Chaque personnage de Balzac renvoi à un autre Roman -Il trouve la société scélérate et qu''il faut la vaincre. -Il pense contre son siècle : il pense contre le Romantisme et l''amour fatal. -Il pense que l''amour est une source d''énergie et non une faiblesse.
Le genre:
Le genre du Père Goriot (1834-1835), est unique mais on l''associe à un roman réaliste, s''opposant au romantisme et au classicisme.
Le cadre:
L''action se déroule à paris, dans les quartiers riches de Paris, en 1819.
Le contexte historique : Restauration.
Le Père Goriot aborde différents thèmes tels: La séduction, le Paris sous la Restauration, la condition des femmes et le mariage, le drame de la paternité, l’ambition des jeunes loups, le pouvoir, la vengeance dans la société après avoir été rejeté (Vautrin), l'amour, l'argent, le sacrifice, le malheur, la misère, la peine.
Les personnages principaux :
4 personnages reviennent souvent chez Balzac : Nucingen, Bianchon, Marsay, et Rastignac
Chacun de ces personnages renvoie à un autre roman de Balzac.
Vautrin : ancien forçat très épris de revanche sociale. Il a l’art du transformisme et sait plier les faibles à sa volonté. Il est dénoncé et envoyé en prison.
Le père Goriot : Jean-Joachim Goriot, ancien négociant, ouvrier vermicellier, a fait fortune sous la Révolution. Profitant de la disette qui sévissait pendant cette période, il a pu vendre ses farines en décuplant leur prix. Resté veuf avec deux filles qu’il idolâtre, il dote chacune d’elles de la moitié de sa fortune. L’une deviendra comtesse de Restaud et l’autre baronne de Nucingen, mais comme aucun de ses nobles gendres n’accepte de l’accueillir, il se retire à la pension Vauquer. Il finit par y mourir de chagrin, en apprenant la situation financière de ses filles.
Victorine Taillefer : une fille que son père a déshéritée après la mort de sa mère, au profit de son frère. Elle vit pauvrement avec une parente, Mme Couture, mais elle récupérera son héritage après la mort du frère, causée par Vautrin.
Poiret : un homme qui contribue à une conversation en répétant toujours ce que les autres viennent de dire.
Bianchon, C''est un étudiant en médecine. Il fréquente la Pension Vauquer, mais seulement en tant que demi-pensionnaire; c''est à dire qu''il vient uniquement pour les repas. Ami d''Eugène,il veillera sur le père Goriot avant que celui-ci ne décède.
Eugène de Rastignac : fils du baron de Rastignac, venu de Charente pour étudier le droit à Paris.Il est tout d''abord seul, il piétine, mais il se trouve des alliés : Mme de Beauséant et Mme de Nucingen. À la maison Vauquer, il rencontre Jacques Collin, alias Vautrin, qui excite ses mauvais penchants. Toutefois Rastignac, ambitieux mais humain, ne suit pas jusqu’au bout les conseils criminels de Jacques Collin. Ami d’Horace Bianchon (médecin), il aime Delphine de Nucingen, fille du père Goriot. Rastignac est en fait un lion, un jeune né après Napoléon, mais freiné par les vieux aristocrates qui réinstaurent la monarchie (Réstauration). Il n''a pas de talent et cherche une riche maîtresse. Après chacune de ses bonnes actions, une mauvaise vient derrière :
-Il refuse les avances de Vautrin mais écrit à sa famille pour leur extorquer leurs économies.
-Il défend Goriot mais il se précipite chez sa fille après l''enterrement.(« A nous deux maintenant ! ») D’autres personnages de la Comédie humaine, animent la haute société dans le Père Goriot : La comtesse de Sérisy Le marquis de Ronquerolles La marquise de Listomère
Diane de Maufrigneuse, personnage se distinguant pour ses fastes et ses fantaisies. Il s’éprendra du sage Daniel d’Arthez. Après avoir sauvé de justesse le jeune Victurnien d'Esgrignon, elle finit sa vie en mariant son fils à une Cinq- Cygne. Puis s'éloignera des mondanités pour filer le parfait amour avec Daniel d'Arthez à Genève
Histoire
« Il mettait ses filles au rang des anges, et nécessairement au-dessus de lui, le pauvre homme! Il aimait jusqu'au mal qu'elles lui faisaient ».
Par sa cousine, la vicomtesse de Beauséant, qui l’initie aux mystères du grand monde, Rastignac perce le secret du père Goriot : il s’est quasiment ruiné pour ses filles, Anastasie de Restaud et Delphine de Nucingen. Mais celles-ci le tiennent à l’écart de leur train de vie de confort et d’aisance qu’elles mènent auprès de leurs maris aristocrates, car elles ont honte de la façon dont s’est enrichi leur père. Elles ne résistent toutefois pas à accepter son assistance lorsque les y forcent leurs problèmes financiers. Vautrin révèle à Rastignac les rouages de la société et les moyens de parvenir à la puissance. Il veut faire sa fortune et il le pousse à épouser Mademoiselle de Taillefer, dont il s’arrange pour faire tuer le frère en duel afin de lui rendre la disposition d’un riche héritage. Rastignac refuse de suivre Vautrin dans cette affaire criminelle. Il s’engage dans une relation amoureuse avec Delphine. Une enquête révèle que Vautrin est un ancien forçat, Jacques Collin, portant une marque qui n’apparaît que si l’on frappe la peau et que découvrent les agents venus l’arrêter. Le Père Goriot, qui croyait pouvoir quitter la pension avec Rastignac pour vivre auprès de sa fille Delphine, meurt en apprenant brutalement la situation familiale et financière désastreuse de ses filles, qui lui réclament son aide sans ménagement. Rastignac assiste à l’enterrement du vieillard, que ses filles n’accompagnent même pas au cimetière. Rastignac se laisse emporter par sa passion du pouvoir et de l’argent et se lance à la conquête de la capitale : « À nous deux, maintenant ! ». | |
| | | salsabil
Nombre de messages : 96 Age : 39 Localisation : batna Emploi/loisirs : étudiante Date d'inscription : 31/03/2008
| Sujet: Re: T.P.E Jeu 22 Mai - 2:41 | |
| Roman : Le Vieil Homme et la mer d’Ernest Hemingway qui remporta le prix Nobel de littérature en 1954. Biographie: Ernest Hemingway est l’un des plus grands romanciers américains du début du vingtième siècle. Né le 21 juillet 1899 à Oak Park (Illinois) près de Chicago un père médecin, chasseur et pêcheur, sa mère était musicienne. En 1899, délaissant les études universitaires, il devint reporter au Kansas City Star puis ambulancier en Italie pendant la Première Guerre mondiale, où il fut grièvement blessé. À la fin de la guerre, il devint correspondant à Paris du Star de Toronto. C'est là qu'il commença une carrière littéraire, encouragé par des écrivains américains expatriés. À partir de 1927, Hemingway s'installa successivement à Key West en Floride, en Espagne et en Afrique, mais, pendant la guerre civile espagnole, il retourna en Espagne comme correspondant de guerre,puis il s'installa près de Havana, puis à Ketchum dans l'Idaho. Les récits d'Hemingway sont nourris de ses expériences diverses : personnage excessif, bon vivant, buveur notoire, mais aussi sportif, pêcheur, chasseur et amateur de corrida, il mena une vie aventureuse, il dépeint avec un style elliptique, parfois laconique, marqué par son expérience du journalisme et par sa volonté d'exactitude et de « réalisme ».il a contribué à renouveler la littérature américaine, il a introduit un nouveau style, très réaliste, dans lequel le romancier adopte un point de vue extérieur au héros. il se suicida avec une arme à feu, à Ketchum, le 2 juillet 1961.
SES ŒUVRES :
1923 : Trois histoires et dix poèmes 1925 : De nos jours 1926 : Le Soleil se lève aussi 1927 : Hommes sans femmes, nouvelles, avec notamment Les Tueurs 1929 : L'Adieu aux armes 1932 : Mort dans l'après-midi 1933 : Le Gagnant ne gagne rien 1935 : Les Vertes Collines d'Afrique 1936 : Les Neiges du Kilimandjaro 1937 : En avoir ou pas 1938 : La Cinquième Colonne 1940 : Pour qui sonne le glas 1950 : Au-delà du fleuve et sous les arbres 1952 : Le Vieil Homme et la mer 1960 : L'Eté dangereux
Résumé :
Ce roman nous raconte la fabuleuse aventure d'un vieux pêcheur cubain, malchanceux qui vit dans la misère. Il recherche la dignité et n'a pour seul ami qu'un enfant, ses parents l'ayant défendu d'aller en mer avec lui et ils décident qu’il embarquera sur un autre bateau. Ce pauvre vieillard n'a que la pêche pour se nourrir, mais voilà cela fait quatre-vingt quatre jours exactement qu'il n’a rien pêché ; même Manolin, son jeune ami, attrape des poissons, Le quatre-vingt cinquième jour, au petit matin, le vieux cubain prend le large de la mer, comme son habitude, avec une bouteille d'eau et des sardines, comme seules provisions. Désespéré à l'idée de ne rien pêcher, le vieux tombe soudainement sur un espadon,un grand poisson qui lui donnera du fil à retordre : en tirant la ligne et la barque du vieux pendant trois jours et deux nuits. Le vieil homme n'aura, durant cette longue embardée, que son esprit et ses muscles pour résister. Enfin, le pêcheur parvient à tuer l'espadon de 6m avec son harpon! Mais, contraint par le nanisme de son esquif à attacher sa prise sur le côté, et ainsi laissant son sang couler dans la mer, le vieux attire un nombre de requins affamés. L'homme affrontera une demi-douzaine de requins, à la seule force de ses bras, épuisant toutes ses armes. Finalement, l'homme, rentrant au port, n'aura pu éviter que son trophée de pêche ne se fasse engloutir par les requins vicieux, ne lui laissant que la tête et la grande arête. Dans ce périple de trois jours, l'homme a fait preuve de patience, de courage, d'endurance surtout, même des sacrifices matériels exacerbés, tout en frôlant parfois le délire de cette course folle qui l'aura mené à une "défaite victorieuse".
Adaptation de l’œuvre au cinéma :
-Ce livre est à la base d'un film en USA intitulé The Old Man and the Sea.réalisé par John Sturges en 1958.
-Le vieil homme et la mer film réalisé par Alexandre Petrov en 1999 au Canada en langue française.
-Tommy lee Jones produira et jouera dans un film basé sur le roman d'Ernest Hemingway, Islands in the Stream.Le film bénéficie d'un budget de 30 millions de dollars et sera tourné à Porto Rico, en mars 2009. | |
| | | GRACIELLA
Nombre de messages : 3 Date d'inscription : 07/03/2008
| Sujet: Mon travail de recherche Jeu 22 Mai - 11:51 | |
| Titre de l’ouvrage : Le bourgeois gentilhomme Auteur de l’ouvrage : Molière
Biographie de Molière:
Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, baptisé le 15 janvier 1622 et mort le 17 février 1673.Fils aîné du marchand tapissier Jean Poquelin et de Marie Ceressé. Molière est un dramaturge et acteur de théâtre français.Considéré comme le « patron » de la Comédie-Française. Il fait des études de droit pour être avocat puis, contre l’avis de son père, décide de devenir comédien. Ses pièces les plus célèbres sont : l’École des femmes (1662), Tartuffe (1664), Dom Juan (1665), le Médecin malgré lui (1666), l’Avare (1668), le Bourgeois gentilhomme (1670), les Fourberies de Scapin (1671), les Femmes savantes (1672). Son but a d'abord été de « faire rire les honnêtes gens ».
Présentation de l’œuvre :
Le Bourgeois gentilhomme est une comédie-ballet (c’est-à-dire une pièce de théâtre où se succèdent des intermèdes dansés et des scènes de farce) en cinq actes et en prose ,sa création était le 14 octobre 1670. Elle est donnée pour la première fois devant la cour du roi Louis XIV au château de Chambord.
Les personnages :
Monsieur Jourdain: Bourgeois, Madame Jourdain: Sa femme, Lucile : Fille de Jourdain , Nicole : Servante ,Cléonte : Amoureux de Lucile, Covielle : Valet de Cléonte , Dorante : Comte,amant de Dorimène , Dorimène : Marquise,Maître de musique, Elève de maître de musique, Maître à danser , Maître d’armes, Maître de philosophie , Maître tailleur, Garçon tailleur, Deux laquais, Plusieurs musiciens, musiciennes , joueurs d’instruments , danseurs, cuisiniers , garçons tailleurs et autres personnages.
Le résumé de l’œuvre :
Riche bourgeois aspirant à la noblesse, M. Jourdain rêve de briller en société. Dans ce but, il commande un nouvel habit plus adapté à sa nouvelle condition de gentilhomme, prend des leçons de danse, de musique et de philosophie, et courtise secrètement une marquise. Mme Jourdain s’inquiète des extravagances de son époux, d’autant que celui-ci s’est lié d’amitié avec Dorante, un comte désargenté qui en profite pour lui soutirer de l’argent. Par ailleurs, elle lui reproche de négliger les préparatifs du mariage de leur fille Lucile avec Cléonte. Sous le seul prétexte que ce dernier n’est pas gentilhomme, M. Jourdain s’oppose finalement à cette union. Covielle, valet et confident de Cléonte, imagine alors une ruse ingénieuse. Se faisant passer pour le fils du Grand Turc en visite à Paris — il s’agit en fait de Cléonte, lui aussi déguisé —, il informe M. Jourdain que ce « seigneur d’importance » veut épouser sa fille. Flatté à l’idée d’accueillir dans la famille un gendre aussi prestigieux, M. Jourdain accepte sans hésiter. Élevé au rang de « mamamouchi » lors d’une fausse cérémonie burlesque, il croit enfin accéder à la noblesse, aveuglé par sa vanité, sans s’apercevoir que le fils du Grand Turc n’est autre que Cléonte.
*Le Bourgeois gentilhomme est considéré comme le chef-d’œuvre d’un genre, la comédie-ballet, inventé par Molière. | |
| | | papinate Débutante
Nombre de messages : 62 Date d'inscription : 26/02/2008
| Sujet: Mon T.P.E Jeu 22 Mai - 12:22 | |
| Titre de l’ouvrage : L’Odyssée. Auteur de l’ouvrage : Homère. Edition : Hachette. Année : 1997.Biographie d’Homère :
Homère Né en -800 ; Mort en -740 est le plus célèbre des poètes de la Grèce ancienne du VIII ème siècle avant J.-C. ; on le considère comme l'auteur de l'Iliade et de l'Odyssée. Toute l'Antiquité crut à son existence, mais on ne sait rien de précis sur sa vie. Homère est traditionnellement représenté comme un vieil aveugle récitant ses poèmes à travers la Grèce Antique. Il serait l'auteur de l'Iliade et l'Odyssée ainsi que de nombreuses aventures épiques. Bien que beaucoup de mystères et de légendes entourent sa vie, ses textes restent présents dans la mémoire collective et son génie inspirera au fil des siècles bon nombre d'écrivains, tels que Platon, Virgile, ou encore Dante.
Oeuvres d’Homère :
On lui attribue la paternité de l'Iliade et de l'Odyssée. L'œuvre épique comique Batrachomyomachia (littéralement « la bataille des grenouilles et des rats », parodie de l'Iliade) et les Hymnes homériques lui sont également attribués, quoiqu'il soit communément admis que ce sont des œuvres dérivées ultérieures.
Petit aperçu de l’Odyssée :
L'Odyssée est un poème épique en 24 chants attribués à Homère. L'histoire se passe dans la toute vieille antiquité. Elle raconte les aventures d'Ulysse revenant chez lui, à Ithaque, son royaume, après la prise de Troie alors que la Télémachie relate les circonstances dans lesquelles Télémaque, fils d'Ulysse, part à la recherche de son père. Les Récits chez Alcinoos sont une narration du périple d'Ulysse depuis son départ de Troie ; le Retour à Ithaque et le Massacre des prétendants (la Vengeance d'Ulysse) constituent la dernière partie du récit. Les aventures d'Ulysse illustrent le passage de ce monde quasi sauvage à un monde civilisé, où la ruse (dictée par Athéna) l'emporte. Les deux épopées seraient donc une "somme", une sorte de résumé de la sagesse de dix siècles, dont il apparaît difficile, mais non impossible, qu'elles aient pour auteur un seul et même poète. Quoi qu'il en soit, par sa complexité, par l'immense matériel anthropologique, mythologique et historique qu'elle réunit, l'épopée homérique est bien plus qu'un très palpitant " roman d'aventures ", qu'une fresque qui maintient en vie plusieurs siècles de civilisation grecque : elle annonce le monde grec classique, la cité, voire les premières formes de l'émancipation hellène.
Personnage principal :
Ulysse : héros grec,roi d’Ithaque,époux de Pénélope et père de Télémaque . Esprit ingénieux, il s’empare de TROIE ( l’Iliade d’HOMERE). Son retour à Ithaque est raconté dans l’Odyssée.
Autres personnages les plus importants :
Pénélope : épouse d’Ulysse. Télémaque : fils d’Ulysse. Nestor et Ménélas : Compagnons d’Ulysse. Zeus : Maître des Dieux. Athéna : Déesse de la sagesse. Eole : Dieu du vent. Poséidon : Dieu de la mer et des Océans. Hermès : Dieu du commerce, messager des Dieux. Hadès : Dieu des enfers ; seigneur des morts. Calypso : Déesse des eaux, des champs et des bois. Le Cyclope : Créature géante qui maîtrise le tonnerre et l’éclair. Circé : Magicienne qui métamorphose les compagnons d’Ulysse en pourceaux. Nausicaa : La fille du roi Alkinoos. Les sirènes : Divinités de la mer, mi-femmes ; mi-oiseaux ; que le charme de leur chant rendait redoutable.
Description du texte :
L’histoire de L’Odyssée est en fait une très ancienne légende grecque, celle du héros Ulysse qui aurait combattu à la guerre de Troie et aurait ensuite entreprit de retrouver son chemin vers sa patrie. Dans l’antiquité grecque, les aèdes (poètes) chantaient cette épopée en suivant un rythme et des formules précises. Ce n’est que beaucoup plus tard que l’histoire d’Ulysse le roi d’Ithaque fut mise à l’écrit. L’Odyssée présente le modèle de l’épopée. Plusieurs épisodes de l’histoire y sont répartis en chants.
Vue d’ensemble :
Le roman raconte l’histoire d’Ulysse qui, il y a plusieurs années déjà, était parti à la guerre de Troie. Maintenant, prisonnier de Calypso, le temps est venu pour lui de partir et de retourner à Ithaque, aidé de la déesse Athéna. Il rencontrera de nombreux obstacles (les sirènes, Circé la sorcière, le Cyclope, etc.) Quand il arrive enfin à Ithaque, il retrouve son fils Télémaque, mais une nouvelle épreuve survient. Il doit libérer son royaume des prétendants malveillants afin de retrouver sa chère Pénélope.
Résumé :
Chant 1 : Pendant l'assemblée des dieux, Athéna plaide en faveur du retour d'Ulysse. Calypso le retient en effet depuis trop longtemps. Athéna se rend ensuite à Ithaque. Elle exhorte Télémaque, le fils d'Ulysse, à refouler les prétendants hors de chez lui. Elle lui conseille de partir rechercher des nouvelles de son père chez Nestor, puis chez Ménélas, le mari d'Hélène. Chant 2 : Au cours de l'assemblée qu'il a réunie, Télémaque exige sans succès que les prétendants s'en retournent chez eux. Il part ensuite à Pylos et à Sparte à l'insu de sa mère. Chant 3: Télémaque et Athéna sont accueillis par Nestor. Ce dernier leur narre le retour des grecs et demande ensuite à son fils Pisistrate d'accompagner Télémaque à Sparte chez Ménélas. Chant 4: Pisistrate et Télémaque sont très bien reçus par Ménélas. Ce dernier leur raconte son retour de Troie. En Egypte, grâce à la capture de Protée aux multiples formes, il a appris que son frère Agamemnon était mort et qu'Ulysse était retenu dans une île par la nymphe Calypso. Pendant ce temps-là, les prétendants préparent une embuscade pour se débarrasser de Télémaque. Pénélope rêve d'un fantôme qui lui annonce que son fils est vivant. Chant 5: Zeus rassemble de nouveau les dieux. Hermès transmet à Calypso le message de Zeus : elle doit libérer Ulysse. Elle obéit. Mais Poséidon, irrité, détruit le radeau d'Ulysse. Ulysse réussit à atteindre une plage et tombe d'épuisement sur cette côte de Phéacie. Chant 6: Nausicaa, la fille du roi Alkinoos, rêve. Dans ce songe, Athéna lui conseille d'aller laver son linge avec sa suite. Le bruit des jeunes filles réveille Ulysse. Ce dernier reçoit des vêtements et de la nourriture, et accompagne ensuite la fille du roi en ville. Chant 7: Ulysse implore la reine Arété et lui raconte la manière dont il a obtenu les habits qu'il porte. Le roi l'accueille auprès de lui. Chant 8: Le lendemain, le roi réunit l'assemblée. On apprête un navire pour le retour de l'étranger. Le roi organise des jeux. Le citharède Démodocos chante la captivité d'Aphrodite et d'Arès, puis l'épisode du cheval de bois et la prise de Troie. Ulysse pleure et cache sa tristesse. Alkinoos l'interroge sur les raisons de ses larmes et sur l'histoire de sa vie. Chant 9: Ulysse commence à raconter son histoire. Après la chute de Troie, il combat les Kikones, échappe au territoire de l'oubli des Lotophages, et aveugle ensuite le cyclope Polyphème, provoquant ainsi l'ire de Poséidon. Chant 10: Eole renvoie Ulysse et ses compagnons chez eux. Mais l'équipage ouvre une outre donnée par Eole. Retour chez Eole qui les chasse. Les Lestrygons détruisent toute la flotte à l'exception du vaisseau d'Ulysse. Son navire aborde le territoire de Circé. Elle transforme les compagnons d'Ulysse en porcs. Ulysse, grâce à une plante donnée par Hermès, ne subit pas la métamorphose. Il oblige Circé à redonner forme humaine à ses compagnons. Elle lui conseille d'aller interroger dans l'Hadès le devin Tirésias. Chant 11: Ulysse accède au territoire de l'Hadès. Il converse avec sa mère et avec ses anciens compagnons guerriers. Il parle avec le devin Tirésias qui lui donne des indications pour rentrer chez lui. Chant 12: Ulysse part de l'Hadès et revient chez Circé. Il passe, attaché au mât du navire, auprès des Sirènes, les oreilles de l'équipage sont obstruées par de la cire. Il est ensuite confronté aux Pierres Planktes, puis à Charybde et Skylla. Mais, arrivés dans une île isolée, ses compagnons mangent les boeufs du Soleil. Ils partent, mais le navire est détruit, Ulysse, seul rescapé, arrive chez Calypso. Chant 13: Les Phéaciens ramènent Ulysse dans son île natale avec de splendides présents. Poséidon, pour se venger, transforme leur navire en rocher. Athéna dissimule les cadeaux reçus et donne à Ulysse l'apparence d'un vieillard. Chant 14: Ulysse est reçu par son porcher Eumée qui ne le reconnaît pas .Il y eut une conversation entre eux. Chant 15: Télémaque, prévenu par un songe, rentre à Ithaque. Il passe par la maison de son porcher Eumée. Chant 16: Télémaque reconnaît son père grâce à l'intervention d'Athéna . Ils discutent ensemble sur la meilleure façon de châtier les prétendants. Chant 17: Télémaque et Ulysse rentrent en ville séparément. Ulysse se fait admettre comme mendiant au festin des prétendants. Chant 18: Ulysse lutte avec un autre mendiant et réussit à le vaincre. Les prétendants offrent des cadeaux à Pénélope. Chant 19: Avec l'aide de son fils, Ulysse dissimule les armes. Il est reconnu par sa nourrice Euryclée. Chant 20: Conversation entre Ulysse et ses serviteurs qui sont restés fidèles et Les prétendants s'impatientent. Chant 21: Epreuve de l'arc. Les prétendants essaient sans succès de bander l'arc d'Ulysse, Pénélope a promis de se marier avec celui qui y arriverait. Ulysse finit par recevoir l'arc et triomphe de l'épreuve. Chant 22: Ulysse, avec l'aide de son fils et de ses serviteurs restés fidèles, tue l'ensemble des prétendants. Chant 23: Pénélope, après le massacre des prétendants, éprouve Ulysse. Le lit commun, construit sur la racine d'un arbre, lui permet de le reconnaître. Ulysse lui narre brièvement ses aventures. Chant 24: Les âmes des prétendants sont transportées par Hermès dans l'Hadès. Ulysse se réfugie chez son père Laërte. Les habitants d'Ithaque se révoltent contre la tuerie et tentent de se venger d'Ulysse; mais Athéna intervient pour décréter une trêve.
Problématiques soulevées et pistes d’analyse :
•Plusieurs figures mythologiques sont présentent dans l’oeuvre d’Homère, et elles servent même souvent à contraster le personnage d’Ulysse. Par exemple, Éole (le vent) représente l’agitation et le mouvement, en opposition à la stabilité et au calme d’Ulysse. Quant à Circé (qui signifie cercle), elle drogue Ulysse. Elle représente ainsi le rapport entre la vie et la mort qui recommence sans cesse. •Le rapport qu’Ulysse entretient avec les divinités est aussi important. Les dieux décident du sort. Alors pourquoi, si Ulysse est à demi dieu, ces derniers lui font subir tant d’épreuves? Parce que les dieux refusent qu’il soit plus fort qu’eux. •Il y a un jeu de mot intéressant à faire avec la " métis " d’Ulysse. En grec, " métis " signifie " ruse ", mais veut également dire " personne ". Ce jeu de mot intervient dans l’épisode du Cyclope (chant IX), où Ulysse affirme n’être personne. Cela démontre qu’Ulysse est toujours à la fois présent et absent. En fait, on replace Ulysse par sa qualité principale, la ruse | |
| | | sarra Débutant
Nombre de messages : 45 Age : 35 Localisation : darna Date d'inscription : 03/03/2008
| Sujet: les malheurs de Sophie Jeu 22 Mai - 16:21 | |
| COMTESSE DE SEGUR
Fille du compte Rostopchine, gouverneur de Moscou, la comtesse de segur passe son enfance dans cette ville. En 1817 la famille s’exile a paris ou Sophie Rostopchine épouse le comte de segur. Elle achète le château des mouettes dans l’orne qui deviendra le cadre de sa vie et de ses livres. Négligée par son mari elle s’occupe de ses fils et filles. Excellente mère, elle devient une merveilleuse grand-mère : c’est pour ses petits-enfants qu’elle compose ses charmants récits pour enfants (1856 a 1869) qui l’ont rendue célèbre : Les mémoires d’un âne (1860), la trilogie les malheurs de Sophie (1864), les petites filles modèles (1858), les vacances (1859), les deux nigauds (1862), l’auberge de l’ange gardien (1863), le général Dourakine (1866), etc. tous ces petits chefs-d’œuvre ont un sucées immense et immédiat. Leur renommée fait très rapidement le tour du monde. Ce succès va se perpétuer de générations en générations enfantines. • les malheurs de Sophie –ouvrage composé de 22 récits- raconte les mésaventures d’une petite fille nommée sophie. • Symbole de l’enfance insouciante, Sophie émeut et amuse par ses idées fantasques. De chacun de ces courts récits la comtesse de segur tire une morale accessible aux enfants : la désobéissance est punie, la bonté récompensée, le pardon apaise ceux qui veulent se corriger. En lisant les petits poissons, on pense a cette maxime de la Rochfoucauld : « on doit se consoler de ses fautes quand on a la force de les avouer ».
Résume Du Texte Titre : Les Petites Poissons Toute personnes étant petite, ne pensent qu’à jouer, peu importe les conséquences. Ainsi la petite Sophie, fille de Mme Réan cette dernière avait des petits poissons, pas plus longs qu’une épingle et pas plus gros qu’un tuyau de plumes de pigeon. Mme Réan aimait beaucoup ses petits poissons qui vivaient dans une cuvette pleine d’eau et sable. Tous les matins elle leur portait du pain et Sophie s’amusait à les regarder se jetaient sur les miettes de pain. Un jour son papa lui offrira un joli petit couteau en écaille, la fillette enchantée de son couteau, s’en servait à couper son pain, ses pommes, ses biscuits, ses fleurs etc.……… Un matin, la petite Sophie demanda à la bonne de lui donner du sel, du vinaigre et de l’huile pour faire la salade mais elle refusa par crainte qu’elle salisse sa rôle et lui donna seulement du sel. la petite fille le prit, en mit sur la salade ; mais il lui restait beaucoup que faire alors du sel restant se demanda-t-elle ? et la fille insouciante par ses idées fantasques commença a saler et a découper les petits poissons de sa maman. Pauvre poissons ils sont tous morts, alors la fillette devint toute rouge comme une cerise. Que vas penser sa maman ? Que vais-je devenir ! et comment cacher tout cela ? Elle réfléchit un moment, son visage s’éclairât, elle avait trouvé un moyen excellent pour que sa maman me s’aperçut de rien. Elle ramassa bien tous les poissons salés et coupés, elle sortit de sa chambre et les reporta dans leur cuvette sans quelle de fasse remarquée, en disant que sa maman croira qu’ils se sont battus, déchirés et tués. Aussi, Sophie a tout remis en ordre sans que la bonne ne s’en aperçoit, se remit à sa petite table et continua à jouer avec son ménage. De temps a autre, elle prit un livre et se mit à regarder les images comme si rien ne s’est passé. Tout d’un coup, elle entendit sa maman lever la voix comme si elle grandit les domestiques. Sophie devint toute rouge de peur que sa maman l’interpelle et la questionne. Mais tout se calme, elle n’entendai plus rien, un quart d’heures après la bonne expliqua a Sophie se qui s’est passé, que tous les petits poissons de sa maman étaient morts. Mme Rean avait la certitude que sa fille Sophie aurait fait ce coup disait- Elle a la bonne et qu’elle était prête a parier : heureusement pour la fillette, la bonne a su convaincre Mme Rean en lui assurant qu’elle ne pourrait faire cet acte. Sophie ne disait rien, elle restait immobile, la tête baissée, et les yeux pleins de larmes, elle voulait avouer, mais le courage lui manquait. Allons au salon lui disait la bonne pour dîner la fillette se laissa peigner, laver, sans dire un mot. Elle entre au salon, sa maman y était elle a fait savoir à sa fille qu’elle soupeçonner le domestique Simon et elle a pris, la décision de le renvoyer. Sophie était très effrayée pour ce pauvre que vont devenir sa femme et ses enfants ? Par crainte pour le destin de ce pauvre homme, elle avoua à sa maman son mauvais acte et épargna le renvoie de Simon. Mme Réan pardonna sa fille du faite qu’elle a eu le courage d’avouer.
(Avouer : c’est se faire pardonner). | |
| | | sarra Débutant
Nombre de messages : 45 Age : 35 Localisation : darna Date d'inscription : 03/03/2008
| Sujet: Le Malade Imaginaire Pièce Théâtrale De Molière Jeu 22 Mai - 16:23 | |
| Le Malade Imaginaire Pièce Théâtrale De Molière Comédie mêlée de musique et de danses représentée pour la première fois à Paris sur le théâtre de la salle du Palais-Royal le 10 février 1673 par la troupe du Roi.
Les Acteurs ARGAN : malade imaginaire BELINE : seconde femme d’argan ANGELIQUE : fille d’argan et amante de cléante LOUISON : petite fille d’argan BERALDE : frère d’argan CLEANTE : amant d’Angélique MR DIAFOIRUS : médecin THOMAS DIAFOIRUS : son fils et amant d’Angélique MR PURGON : médecin d’Argan MR FLEURANT : apothicaire MR BONNEFOY : notaire TOINETTE : servante.
Résume De La Pièce
Acte I : Argan seul dans sa chambre fait le compte des traitements qu’il a subi pendant le mois prescrit par le médecin M. Purgan. Il appelle sa servante Toinette puis sa fille angélique pour lui annoncer qu’on l’a demandée au mariage, il s’agit de tomas Diafarus, neveu du médecin Purgon, fils du médecin Diafarus, médecin lui-même. Angélique refuse cet homme et sera puni au couvent (maison de réligieux) et cela fera très plaisir a sa belle mère Béline. Toinette la servante manifeste son opposition à ce mariage et le trouve ridicule. Argan exaspéré, court après elle avec un baton pour la réduire en silence. Tout éssoufflé Argan se plaient à sa femme Béline des traitements qu’on lui fait subir et proposa son testament en sa faveur, elle proteste mais fait entrer le notaire. M.Bonnefoi, le notaire explique les différentes façons de tourner la loi, pendant que Béline joue la comédie des larmes a l’idée de perdre son Argan. On se met d’accord cependant sur le meilleur moyen de faire ce testament au détriment des autres membres de la famille et argan se fait emmener dans une autre pièce pour le rédiger et pour faire une donation à Béline.
Acte II : Même Lieu, Le Lendemain Matin
Toinette s’entretient avec le beau jeune homme qu’aime angélique et qui l’aime : cléante, il lui apprend qu’il a réussi a prendre la place du maître de musique pour la leçon d’angélique, mais attention ! Voici Argan. Argan, assite a cette leçon de musique de sa fille, il invite même son maître à la noce. Les Diafarus se présentent, ils font une entrée triamphale et se prétendent être les meilleurs des médecins. Angélique refuse toujours d’épouser le neveu du médecin et s’attachant ace monsieur CLEANTE qui joue le rôle du maître de musique. Ce qui laisse les Diafarus en congé avec Argan sans avoir fait à son sujet un diagnostic. Béline a surpris Angélique avec, un jeune homme et veut avertir Argan. Le dernier est très menaçant, et se plaint qu’on ne lui laisse même plus le temps d’être malade. Bélarde, le frère d’Argan s’inquiète de la santé de son frère et lui propose un divertissement pour dissiper son chagrin. Bélarde profite de l’émotion d’argan pour plaider la cause de cléante, mais Argan est inébranlable : sa fille sera mise au couvent puisque le mariage avec Thomas Diafarus n’est plus possible. La conversation étant tombée sur Béline dont Béralde met l’honnêtetée en doute. Toinette propose à Argan de faire le mort afin qu’il voit combien Béline tient à lui. Le tour est joué,Argan fait le mort, Toinette se lamente, quand arrive Béline son épouse cette dernière ne cache pas sa satisfaction et propose à la servante Toinette un marché : s’emparer toutes les deux des biens d’argan et les partager. Argan se relève, Béline, dévoilée, elle s’enfuit. Même stratagème : le tour est joué à Angélique sa fille et son amant cléante mais ces deux derniers éprouvent une réaction très douloureuse. Argan se relève et manifeste sa joie devant tant d’amour filial. Il consent alors à donner Angélique a cléante si celui-ci se fait médecin. Cléante se déclare disposer.
Acte III : Toinette La Servante Déguisée En Médecin
Toinette : je vois monsieur que vous ne regardez fixement. Quel age croyez-vous que j’aie ? Argan : je crois que tout au plus vous pouvez avoir 27 ou 28 ans Toinette : ah !ah !ah !ah ! J’en ai 90 Argan: quatre vingt Dix? Toinette: oui, vous voyez en effet des secrets de mon art, de me conserver ainsi frais et vigoureux. Argan : par ma foi, voila un beau jeune vieillard de 90 ans Toinette : je suis un médecin passager qui vais de ville en ville, de province en province, de royaume en royaume pour trouver des malades dignes de m’occuper d’eux et d’exercer les grands beaux secrets que j’aie trouvé dans la médecine. - qui est votre médecin ? Argan : monsieur purgon. Toinette : cet homme la n’est point écrit sur mes tablettes des grands médecins. Toinette : de quoi dit il que vous êtes malade ? Argan : il dit que c’est du force et d’autres disent que c’est la rate. Toinette : ce sont tous des ignorants. C’est du poumon que vous êtes malade. Argan : du poumon ? Toinette : OUI, que sentez vous ? Argan : je sens de temps en temps des douleurs de tête. Toinette : justement, le poumon. Argan : il me semble parfois que j’ai un voile devant les yeux. Toinette : le poumon. Argan : j’ai quelques fois des maux de cœur. Toinette : le poumon, que vous ordonne votre médecin pour votre nourriture ? Argan : il m’ordonne du potage. Toinette : ignorant. Argan : du veau. Toinette : ignorant. Argan : et le soin des petits pruneaux pour lâcher le ventre. Toinette : ignorant votre médecin est une bête. Il faut boire votre vin pur, pour épaissir votre sang il faut manger du bon gros bœuf, de bon gros porc, de bon fromage de hollande. Toinette : que faites-vous de ce bras-la ? Argan : comment ? Toinette : voila un bras que je ferai couper tout à l’heure. Argan : et pourquoi ? Toinette : IL tire à soi toute la nourriture et empêche ce coté la de profiter. Argan : mais j’ai besoin de mon bras. Toinette : vous avez la aussi un œil droit que je me ferai crever, si j’étais en votre place Argan : crever un œil ? Toinette : ne voyez-vous pas qu’il incommande l’autre et lui dérobe sa nourriture ? Argan : cela n’est pas pressé. Toinette : A Dieu. Je suis fâché Argan : me couper un bras, me crever un œil afin que l’autre se porte mieux ! J’aime bien mieux qu’il ne se porte pas si bien. La belle opération de me rendre borgne et manchot ! | |
| | | jasmin28
Nombre de messages : 2 Date d'inscription : 27/03/2008
| Sujet: hernani de victor hugo Jeu 22 Mai - 19:33 | |
| Victor Hugo Victor-Marie Hugo, né le 26 février 1802 à Besançon et mort le 22 mai 1885 à Paris, est un écrivain, dramaturge, poète, homme politique, académicien et intellectuel engagé français considéré comme le plus important des écrivains romantiques de langue française. Son œuvre est très diverse : romans, poésie lyrique, drames en vers et en prose, discours politiques à la Chambre des Pairs, correspondance abondante. Il a contribué, tout comme Baudelaire, au renouvellement de la poésie et de la littérature.
Hernani de Victor Hugo Acte I Le roi Le roi d'Espagne Don Carlos s’introduit la nuit dans la chambre de Dona Sol dont il est secrètement amoureux. Caché derrière une armoire, il assiste à la rencontre entre Dona Sol et Hernani, un banni. Hernani, fils d’un homme décapité sur ordre du père de Don Carlos, s’est promis de venger son père. Dona Sol aime Hernani mais on l’a fiancée à son oncle, Don Ruy Gomez de Silva. Don Carlos sort de sa cachette et les deux rivaux s’apprêtent à croiser le fer. Mais le vieux duc frappe à la porte. Don Ruy Gomez de Silva s'indigne en voyant deux hommes chez sa nièce. Mais l’inconnu découvre son visage et se présente. Le roi justifie sa présence et fait passer Hernani pour quelqu'un de sa suite. Il indique que l’heure est grave, l’empereur Maximilien, son aïeul venant de mourir. Il vient consulter Don Ruy Gomez de Silva, son fidèle sujet, et écouter ses conseils. Doit-il se porter candidat au trône du Saint-Empire ? Resté seul, Hernani qui a retrouvé l’assassin de son père exprime sa haine et médite sa vengeance. Acte II Le bandit Le lendemain, à minuit. Don Carlos se rend sous la fenêtre de doña Sol. Il souhaite enlever la jeune fille avant Hernani, dont il connaît maintenant l’identité. Trompée par l’obscurité, doña Sol le rejoint. C’est alors que surgit Hernani. Il propose un duel au roi, qui refuse avec beaucoup de mépris. Cette fois c’est Hernani qui a l’avantage. Grand seigneur, il laisse la vie sauve au roi et lui donne son manteau pour qu’il puisse traverser sans dommage, sa troupe de bandits. Restés seuls, Hernani et doña Sol échangent quelques mots d’amour. Mais l’armée du roi est déjà à sa poursuite. Hernani quitte doña Sol et part rejoindre sa troupe. Acte III Le vieillard Le vieux duc Don Ruy Gomez de Silva va épouser doña Sol, sa jeune nièce. On prépare le mariage. Don Ruy Gomez de Silva savoure son bonheur , d’autant qu’on lui apprend la mort probable d’Hernani. Le jour des noces, un pèlerin frappe à la porte du château de Da Silva. Découvrant doña Sol en tenue de mariée, le pèlerin déchire son habit et déclare son identité : « je suis Hernani ». La tête d’Hernani est mise à prix , mais la loi de l’hospitalité étant sacrée, Don Ruy Gomez de Silva fait barricader le château et décide de protéger Hernani. Hernani et doña Sol restent seuls et dissipent tout malentendu. La jeune femme lui montre le poignard qu’elle a dérobé au roi. Hernani et doña Sol échangent des mots d’amour et s’enlacent. C’est alors que surgit Don Ruy Gomez qui a des mots très durs sur l’attitude d’Hernani mais au nom de l’honneur, il se refuse toujours à trahir son hôte. C’est alors que les trompettes annoncent l’arrivée du roi. Don Ruy Gomez cache Hernani . Le roi pénètre dans le château et est furieux d’apprendre que Don Ruy Gomez cache ce scélérat d’Hernani. Il lui propose le choix : où il accepte de livrer Hernani ou il fera prisonnière doña Sol . Le duc hésite , mais finalement refuse de livrer Hernani. Il assiste impuissant à l’enlèvement de doña Sol. Après son départ Don Ruy Gomez et Hernani complotent pour tuer le roi. Hernani offre son bras et sa vie à Don Ruy Gomez. Acte IV Le tombeau Aix La Chapelle, dans les caveaux qui renferment le tombeau de Charlemagne. Don Carlos apprend qu’on prépare un complot contre lui. Il se retire seul dans le tombeau de Charlemagne et réfléchit à son futur rôle d’empereur. Les conjurés arrivent dans le tombeau et n’aperçoivent pas Don Carlos qui se cache. Ils tirent au sort celui qui sera chargé d’assassiner le roi d’Espagne. Don Carlos sort de sa cachette et confond les conjurés. Il ordonne d’arrêter les coupables. C’est alors qu’Hernani révèle sa véritable identité : Il est Jean d’Aragon, fils d’un grand d’Espagne assassiné. Don Carlos se montre intraitable vis à vis des conjurés. C’est alors qu‘intervient doña Sol qui supplie le monarque. Le roi se montre sensible à cette démarche : il souhaite inaugurer son règne par une mesure de clémence. Il pardonne à tous les conjurés et permet à doña Sol d’épouser Hernani, Jean d'Aragon. Acte V La noce Le palais de Jean d'Aragon. On y célèbre les noces de Jean d'Aragon et de doña Sol. Alors que la fête s'achève on entend le son d'un cor. Un homme masqué répète à Hernani la promesse que celui-ci avait faite à Don Ruy Gomez. Doña Sol apparaît. Elle supplie Don Ruy Gomez qui ne veut rien entendre. Elle arrache la fiole de poison que le duc a donné à Hernani et en boit la moitié. Hernani achève la fiole et les deux amants meurent dans les bras l’un de l’autre. Don Ruy Gomez se poignarde sur leurs cadavres. | |
| | | lady
Nombre de messages : 67 Date d'inscription : 27/02/2008
| Sujet: Re: T.P.E Jeu 22 Mai - 20:12 | |
| - Le Barbier de Séville ou la Précaution inutile est une comédie en quatre actes de Beaumarchais, jouée pour la première fois au Théâtre-Français le 23 février 1775, et largement inspirée de l'École des femmes de Molière. La folle comédie de Beaumarchais mêlée de musiques, de déguisements, d'intrigues, d'amour, de calomnie et de quiproquos ; la pièce la plus gaie du répertoire français. A l'époque les critiques en disaient : "Cette pièce est pleine de gaieté.Éditeur est Nicolas RuaultBibliographie :Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais " Quel homme ! il réunit tout, la plaisanterie, le sérieux, la raison, la gaieté, la force, le touchant, tous les genres d’éloquence ; et il n’en recherche aucun, et il confond tous ses adversaires, et il donne des leçons à ses juges. " Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais est né le 24 janvier 1732 à Paris, où il a travaillé toute sa vie. Fils d'horloger, il est l'inventeur du mécanisme de l'échappement à hampe. Il l'a expliqué au sieur Lepaute, horloger du Roi, qui se prétend alors à l'origine mais Pierre-Augustin le confond en cour. Beaumarchais est également l'inventeur d'un mécanisme de perfectionnement destiné aux pédales de harpes. Il se marie en 1756 avec Madeleine-Catherine Aubertin, veuve Franquet, de presque dix ans son aînée ; celle-ci décède un an plus tard. On le soupçonne de l'avoir tuée et c'est l'occasion du premier de la longue suite de procès et de scandales qui devaient marquer son existence.Sa vie C'est une suite d'aventures et d'intrigues où l'argent et l'amour tiennent une grande place. Pierre-Augustin Carron, boutiquier fut anobli par Louis XV. Il devient monsieur de Beaumarchais. Il fut horloger (il reçoit une charge à la cour), musicien (amuseur des filles de Louis XV), homme d'affaire (associé au financier Paris-Duverney = procès + prison), diplomate en Amérique, agent secret en Angleterre et en Allemagne, éditeur (entre autres les oeuvres complètes de Voltaire), marchand d'armes sous la révolution puis émigré à Hambourg. Il a écrit des romans dont "La vie de Marianne" et des pièces de théatre. Son théatre : Ses premières oeuvres sont des mélodrames sensibles et édifiants à la manière de Diderot: • Les deux amis ou le négociant de Lyon (1770) • Eugénie (1767) avec une introduction (Essai sur le genre dramatique sérieux) qui montre que Beaumarchais au début de sa carrière méprisait le genre comique. • Le Barbier de Séville (1775) • le Mariage de Figaro (1784) eurent du succès à Paris, mais le roi interdit la représentation du Mariage à Versailles. • La mère coupable, reprenant le thème de Tartuffe, est une suite larmoyante du Barbier de Séville. • • • La scène est à Séville, dans la rue et sous les fenêtres de Rosine, au premier acte; et le reste de la pièce dans la maison du docteur Bartholo. Petit aperçu :Le comte Almaviva est désespérément amoureux de Rosine, la pupille de Bartolo. Il se confie à Figaro, le barbier local, qui promet de trouver le moyen de l'introduire auprès de la jeune femme. Mais Bartolo surveille celle-ci étroitement, car il envisage de la prendre pour femme, projet dans lequel il est soutenu par le maître de musique Basilio. Rosine, pour sa part, est tout à fait sensible à l'intérêt que lui porte le comte, bien qu'elle ne l'ait jamais vu... ACTEURS :LE COMTE ALMAVIVA, grand d'Espagne, amant inconnu de Rosine paraît, au premier acte, en veste et culotte de satin; il est enveloppé d'un grand manteau brun, ou cape espagnole; chapeau noir rabattu avec un ruban de couleur autour de la forme. Au deuxième acte, habit uniforme de cavalier, avec des moustaches et des bottines. Au troisième, habillé en bachelier; cheveux ronds, grande fraise au cou; veste, culotte, bas et manteau d'abbé. Au quatrième acte, il est vêtu superbement à l'espagnole avec un riche manteau ; par-dessus tout, le large manteau brun dont il se tient enveloppé. BARTHOLO, Médecin, tuteur de Rosine habit noir, court, boutonné; grande perruque; fraise et manchettes relevées; une ceinture noire; et quand il veut sortir de chez lui, un long manteau écarlate. ROSINE, jeune personne d'extraction noble, et pupille de Bartholo habillée à l'espagnole. FIGARO, barbier de Séville en habit de majo espagnol. La tête couverte d'une rescille, ou filet; chapeau blanc, ruban de couleur autour de la forme, un fichu de soie attaché fort lâche à son cou, gilet et haut-de-chausses de satin, avec des boutons et boutonnières frangés d'argent ; une grande ceinture de soie, les jarretières nouées avec des glands qui pendent sur chaque jambe; veste de couleur tranchante, à grands revers de la couleur du gilet ; bas blancs et souliers gris. DON BAZILE, organiste, maître à chanter de Rosine chapeau noir rabattu, soutanelle et long manteau, sans fraise ni manchettes. LA JEUNESSE, vieux domestique de Bartholo L'ÉVEILLÉ, autre valet de Bartholo, garçon niais et endormi tous deux habillés en Galiciens; tous les cheveux dans la queue; gilet couleur de chamois; large ceinture de peau avec une boucle; culotte bleue et veste de même, dont les manches, ouvertes aux épaules pour le passage des bras, sont pendantes par-derrière. UN NOTAIRE U N ALCADE, homme de justice avec une longue baguette blanche à la main. Résumé de la pièce :Acte I : - Le comte Almaviva, sous le nom de Lindor, aime Rosine, pupille d’un vieux tuteur, Bartholo, qui veut l’épouser. - Almaviva retrouve sous les fenêtres de la belle son ancien valet devenu barbier, Figaro, qui lui propose son aide pour enlever Rosine au docteur Bartholo. - Rosine laisse tomber un billet pour Lindor mais son tuteur s’en aperçoit. - Pendant que Bartholo va chercher Bazile, son homme de main, Lindor chante une romance à Rosine dans laquelle il exprime son amour.
-Acte II : - Rosine écrit une lettre à Lindor et la remet à Figaro pour qu’il la lui transmette, mais Bartholo survient et Figaro se cache. - Bazile entre et apprend à Bartholo la présence à Séville du comte Almaviva. Le docteur se charge de préparer son mariage (celui de Bartholo donc de lui-même), mais Figaro a tout entendu et promet à Rosine de prévenir Lindor. - Bartholo découvre que Rosine a écrit une lettre. La jeune fille se trouve en mauvaise posture, mais Lindor survient déguisé en cavalier entre deux vins (soûl) - Lindor réussit à faire passer une lettre à Rosine, mais Bartholo n’est pas dupe et demande à la voir. - Cependant, Rosine parvient à substituer à la lettre de Lindor celle de son cousin en faisant semblant de s’évanouir. -Acte III :- Le comte s’introduit à nouveau chez Bartholo sous l’identité d’Alonzo, élève de Bazile, pour remplacer auprès de Rosine ce maître de musique, prétendu souffrant. Il endort la méfiance de Bartholo donnant la lettre de Rosine qui aurait été, prétend il, sacrifiée à une femme par le comte Almaviva. - Feignant la colère, Rosine refuse de prendre sa leçon de musique, mais reconnaissant Lindor sous les traits d’Alonzo, elle accepte, mais Bartholo refuse à son tour, ne voulant pas la forcée ; mais Rosine insiste et Alonzo conseil à Bartholo de ne pas la contrarier. La leçon va avoir lieu et les amoureux vont pouvoir se parler, mais Bartholo décide d’y assister. - Au cours du chant, Bartholo s’endort, le comte prend la main de Rosine, mais le vieillard se réveille. - Figaro survient pour détourner l’attention de Bartholo en lui faisant la barbe, mais celui-ci ne veut pas sortir, même pour aller chercher son nécessaire à raser. Il y envoie Figaro qui en profite pour voler les clefs de la jalousie (la fenêtre) et faisant tomber le nécessaire, à attirer Bartholo dehors. Le comte donne rendez-vous le soir même à Rosine pour l’enlever, mais n’a pas eu le temps de lui dire qu’il a du donner sa lettre à Bartholo, car Bazile entre en scène. C’est une scène de stupéfaction. - Une fois Bazile sorti, Figaro rase Bartholo, permettant aux amoureux d’échanger quelques mots, mais Bartholo les surprend. Tout semble perdu, mais les complices s’en tire en traitant Bartholo de fou. - Acte IV : - Bartholo demande à Bazile de contacter le notaire le plus tôt possible. -Puis il montre à Rosine la lettre qu’ Alonzo lui a confiée, la persuadent qu’elle a été trahie par Lindor. Elle accepte alors d’épouser son tuteur et le prévient de l’enlèvement qui était prévu pour le soir même. Bartholo part chercher la police. - Lindor survient avec Figaro, Rosine l’accuse, mais il révèle sa véritable identité et elle tombe dans ses bras. Cependant leur fuite est compromise car l’échelle a été retirée, et Bazile arrive accompagné du notaire convoqué par Bartholo. - Mais le comte soudoie Bazile et, lorsque Bartholo revient, il est trop tard : le mariage est conclu… Le personnage du valet et la comédie :Figaro, dans le Barbier de Séville est influencé par le Sganarelle de Molière, mais Beaumarchais lui attribue plus nettement un statut d'intercesseur de l'auteur envers le public : il exprime directement quelques unes des idées de Beaumarchais lui-même, sans que cela ait un lien direct avec l'intrigue. La nouveauté de la pièce :La grande nouveauté du Barbier de Séville est en effet l'omniprésence d'un personnage qui construit l'intrigue sous les yeux du public : Figaro. Sa position de valet ne l'implique pas dans l'intrigue amoureuse de son maître, aussi conduit-il l'intrigue de l'extérieur pour partie, et de l'intérieur dans la mesure où il obéit à ses propres antipathies et sympathie : il en apparaît moins cynique. La langage du beaumarchais Beaumarchais a su mettre dans son langage dramatique l'énergie de sa propre vie. Ses révoltes, son dynamisme et sa gaieté lui font utiliser les mots comme le ferait un poète, en les allégeant d'un peu du poids du sens, pour qu'ils s'élancent plus vite vers leur cible. Car les mots de Beaumarchais font toujours mouche et conservent encore aujourd'hui leur inaltérable vigueur. Avis personnel : Si j’ai mis autant de mais dans le résumé c’est pour montrer tous les rebondissements qu’il y a dans cette pièce. Moi qui ne suis pas un grand fan de pièce de théâtre, j’ai bien aimé celle-ci car elle tourne en dérision l’un des personnage qui a beau faire tout ce qu’il peut mais de toutes façons, tout se retourne contre lui. | |
| | | liza
Nombre de messages : 8 Date d'inscription : 10/03/2008
| Sujet: LA FICHE DE LECTURE : de petit prince Ven 23 Mai - 16:29 | |
| LA FICHE DE LECTURE : •LE TITRE : LE PETIT PRINCE •LA DATE ET LE LIEU DE PARUTION : édition Gallimard , 1943 •AUTEUR : Antoine de Saint-Exupéry •LIEU ET L’EPOQUE DE L’ACTION :l’histoire a passé dans l’assemblée planétaire qui comprend les astéroïdes et bien sur la TERRE ,et le temps est inconnu et ambigu . •LE LIEU ET LA DATE DE L’EDTION : « TALANTIKIT» Béjaia , 2002 •LES PRINCIPAUX PERSONNAGES : oLe pilote : c’est un personnage centrale et aussi la narrateur du récit , il aime beaucoup l’aéronautique , incarnant les grandes personnes qui porte en même temps un regard terrible sur le monde des hommes . oLe petit prince : un petit enfant très curieux , personnifiant le monde d’innocence et de morale , il incarne la fidélité en prouvant un amour extrême sa rose . oLa fleur (rose ) : c’est un personnage très proche du petit prince , elle est caractérisées par sa bouté et son orgueil . oLe renard : l’ammi du petit prince qui a rependu à ses questions en lui montrant la grande vérité de l’existence qui l’amour et l’amitié . •CE QUI J’AI AIME : ce récit s’adresse bien à un public des adultes qui a un public des enfants , il est cependant simple mis en portée de tout le monde , caractérisé par son langage ; lui , se fonde sur des phrases brèves , des dialogues très simple et enfantins structuré par des formules comme « dit le prince » , ou jouant sur le charme incongru des mots d’enfants : " S’il vous plait …………… dessine moi un mouton ! " par son iconographie ( des aquarelles ) pour bien éclairer et le plus important c’est que l’auteur a laissé la fin ouverte ce qui ouvre la porte aux immenses imaginations. •CE QUI J’AI PAS AIME : l’auteur n’a jamais parlé de religion dans son récit , il l’a quasiment avorti . •CE QUI J’AI APPRIS : l’amour et l’Amitié sont très importants pour vivre heureux et atteindre la bonheur , se sont très précieux exactement comme les perles qu’il faut les rechercher et les protéger . •D’AUTRES LIVRES DE MEME AUTEUR : vol de nuit , terre des hommes , pilote de guerre . •CE QU’IL FAUT SAVOIR : ce récit est écrit à New York , illustré par des aquarelles de l’auteur . La même année , deux version , anglaise et françaises , paraissant simultanément . L’ouvrage est progressivement traduit dans des langues les plus diverses , grâce à l’immense succès qu’il remporte .C’est l’un des ouvrages les plus vendus au monde . •CES ECHOS MONDIALES : LA QUESTION DE L’INTERPRETATION : UNE PARABOLE ?
Le petit prince a suscité des commentaire variés ــــ parfois contradictoires ـــــ se référant à une poésie de l’enfance , à la fantaisie , au mysticisme , à l’autobiographie , ou à la fable morale , tendant à faire valoir un conte onirique , énigmatique et ésotérique .
A un premier degré , les messages donné par l’ouvrage sont les maximes qui le jalonnent (« c’est véritablement utiles , puisque c’est joli » , « si tu réussis à bien te juger , c’est que tu es un véritable sage » ou la célèbre « on ne voit bien qu’avec le cœur , l’essentiel est invisible pour les yeux »).
A un second niveau , on peut chercher un sens symbolique à l’histoire . On découvrira alors un monde où l’adulte s’oppose à l’enfant ( ce personnage capricieux et exigeant du petit prince , véritable objet de fascination pour le narrateur ) , où la solitude règne, où les butes des activités des êtres sont souvent absurdes, où la quête qui est principalement une quête affective ( les scènes sont quasiment toutes des moments de rencontre et de découverte de l’autre , principalement l’apprivoisement du renard et la relation avec la rose ) se solde par le vide et la mort , laissant au lecture une Dernière impression de lumière et d’amertume .
•LE RESUME : Il y a un aviateur qui est tombé en panne de plein désert (Sahara d’Afrique ) sans aucunes précautions préalables .C’est là qu’il rencontre un petit enfant « petit prince » . Au cours de conversation , le pilote découvre que le petit prince vient d’autre planète (l’astéroïde B612), ce dernier lui relate son histoire qu’il a quitté sa planète après s’être fâché avec sa rose pour la sauver du risque des arbustes ,voyageant de planète en planète où il a rencontré des personnages mystérieux qui sont des prétexte pour délivrer un message morale comme la célèbre phrase dite par le renard : " On ne voit qu’avec le cœur , l’essentiel est invisible pour les yeux " ; avant de débarquer sur la terre et de comprendre que ce qui compte le plus dans la vie c’est l’amour et l’amitié . Au huitième jour de panne dans le désert ; c’est l’heure de séparation et le petit prince souhaite retrouver sa rose . | |
| | | rubi
Nombre de messages : 45 Date d'inscription : 03/03/2008
| Sujet: fiche de lecture :le bourgeois gentilhomme . G01 Ven 23 Mai - 16:35 | |
| 1-Introduction : Comme les autres écrivains classicistes, Molière a écrit beaucoup de théâtre tel que la comédie, et surtout ce que nous appelons la comédie-ballet sur la quelle nous nous attardons, pour traiter l’un de ses œuvres et ce qu’on intitule « Le bourgeois gentilhomme ». La comédie-ballet Molière, ayant eu à écrire pour les réjouissances royales, créa des pièces qui devaient mêler au jeu d’acteurs un accompagnement musical et des intermèdes offrant les plaisirs du chant et de la danse (ces intermèdes étant liés ou non à la pièce). C’est ce qu’on appelle la comédie-ballet (inventée avec les Fâcheux), mais on trouve dans cette catégorie des pièces appartenant à des genres très différents : comédie de mœurs avec intermèdes bouffons (le Bourgeois gentilhomme), « tragédie- ballet » (Psyché), pastorale aristocratique (la Princesse d’Élide), pièce mythologique (Amphitryon), farce musicale (Monsieur de Pourceaugnac, George Dandin), etc. Dans chacune de ces pièces, Molière sut allier comédie et ballet avec une cohérence et une harmonie inégalées. La présentation : Molière est un pseudonyme de Jean Baptiste Poquelin. Fils de Jean Poquelin et de et de Marie Cressé né 1622 à Paris. Il commence ses humanités au collège de Clermont en 1631. En 1640 il a fait ses études de droits à Orléans. En 1641 il a commencé à fréquenter le philosophe néo -épicurien Gassendi et il a fait la traduction du ‘’De natura rerum’’ de lucrèce. En 1644 il a fait une première représentation par l illustre Théâtre, et où il à subit le nom de Molière par un notariat. Après la faillite de l’Illustre-théâtre il a été emprisonné pour des dattes. Et en fin quêter Paris avec les délirés de sa troupe. En 1653 Molière a obtenu le patronage dei prince de Conti jusqu’en 1657, et partager son temps avec les comédiens entre Lyon et Longuedoc. L’Etourdi est la première comédie qu’il représente à Lyon. En 1658 il a joué pour la première fois devant le roi et la cour où il obtenu les salles du petit –Bourbon. En 1661 Molière habite rue Saint –Thamas – du –loure. En 1662 il a marié avec Armande Bejard âgée de vingt –ans, et avec laquelle a eu le premier enfant en 1664. En 1666 il a commencé à faire ses adieux au théâtre à cause la maladie. En 1667 il a séparé Armande. En 1670 il a subit des attaques violeuses dans la pièce Elomire hypocondre de boulanger de Chalussay. En 1671 il a repris la vie commune avec l’Armande afin qu’elle soit malade. Et en 1673 Moulière mourra. Son œuvre est large et riche considérée comme théâtrale et qui contient : 1-Les amants magnifiques 2-La comtesse d’escarbagnas 3-Le dépit amoureux 4-L’école des maris 5-Les femmes savantes Et le Bourgois gentilhomme que mous viendrons présenter. Molière a vécu une vie politico- littéraire car il a passé sa vie entre l’art et la polétique la preuve qui ‘il est toujours avec la troupe dans la cour. 2- L’oeuvre : 2 -1 : les éléments para textuelle Le Bourgois gentilhomme est un ouvrage de poche dans la première de couverture on trouve son titre qu’est écrit en gras « New Romain « en noir il comprend au dessus le nom de l’écrivain en majuscule, il est tacheté d’orange comme il comprend une image une noir et blanc du Bourgois gentilhomme qui reflète le contenu de livre. Elle contient aussi le nom de la maison d’édition intitulé « NAUVEAU CLASSIQUES LAROUSSE « écrit verticalement en majuscule. Au recto de la première de couverture on trouve la liste des ouvrages édités dans la même collection en différents siècles, qui se considèrent comme une publicité, exposition pour la maison d’édition. Dans la page de garde on trouve aussi le nom de la maison d’édition toujours en majuscule et à un caractère grand et souligné suivi d’une écriture en majuscule à caractère petit, contient le nom de fondateur et directeur, après le titre de l’ouvrage en majuscule et a caractère gras. Au dessous du titre au troue le type de texte en italique « comédie- ballet » et enfin l’insigne et le symbole de « La collection » et au recto la photo de jardin en couleur accompagne de quelques informations. En 2éme page de garde on trouve : en haut le nom de l’écrivain en majuscule après l’intitule de l’ouvrage en majuscule à caractère gras après le type de texte en italique après des informations sur les conditions socio- historique de l’apprution du livre et en fin de page on trouve l’adresse de librairies rousse en miniscule. Dans les pages suivant la page de garde il des informations sur Molière, le résumé de l’œuvre, l’analyse de pièce la critique, et les personnages. *Le Bourgeois gentilhomme contient 134 pages qui se compose de cinq actes de la pièce écrit en prose suivies de quelques illustrations comme la photo de seigneur de Constantinople (p121) et de costumes turcs du 17éme siècle (p122) et quelque vers de Molière, et quelques documents et quelques jugement sur « Le Bourgeois gentilhomme » sans oublier la citation de quelques devoirs et exposés fait sur Molière. En fin la table des matières suivie de l’annexe des dictionnaires utilisés. A la dernière de couverture on trouve l’intitule de la maison d’édition et l’insigne de la maison d’édition encadré en orange. 2-2 l’étude de contenu : Le Bourgois gentilhomme est une comédie – ballet en cinq acte et en prose de Molière jouée à Chambord en 1670 créée à paris au théâtre du palais Royal et publiée à paris chez le Monnier en 1671. La pièce est une commande Royale. Après avoir prévu un voyage à Chombord pour s y donner le plaisir de la chasse. Louis 14 veut offrir à sa cour celui d’un spectacle. Il requit Molière et Lully de travailler durant l’été 1670 à une comédie – ballet mit en scène des Turcs qui veulent faire des relations politiques .En effet, le grand seigneur venait d’y envoyer un ambassadeur extraordinaire en la personne de Soliman Aga pour une mission de plusieurs moins. Soliman Aga avait été reçu somptueusement à la cour sans aller jusqu'à se costumer en Turcs, le roi s’exhibé . 2-2-1 le résumé Dans l’acte premier, monsieur Jourdain comme Bourgois ignorant se met en tête des idées de noblesse de galanterie pour être semblable aux gens de qualité, il s’assure les services d’un maître à danser sans goûter outre mesure des délicatesses de leur art. Dans l’acte deuxième, après la leçon de menuet et d’escrime monsieur Jourdain prend celle d’escrime , les maîtres de musique et de danse commencent d’ailleurs à se prendre de querelle avec le maître d’arme qui méprise leurs sciences inutiles , le maître de philosophie ramènera la paix puisque les autre excédés par son arrogance ,se liguent contre lui en le battant comme plâtre, après avoir été revenu de l’échauffourée , le philosophe montre à Jourdain comment se prononcent les lettres , enfin le maître tailleur et ses garçon passent leur généreux client un habit de plumes et de fleurs . Dans l’acte troisième, après avoir vu monsieur Jourdain enharnaché Nicole est prise d’une crise d’hilarité Madame Jourdain a profité l’occasion pour dire a son marie ce qui elle a sur le cœur et lui reprocher des prêts d’argents à Dorante dont qui lui sert d’intermédiaire auprès d’une marquise dont il est amoureux (Dorimaine). Cléonte est épris de Lucile (fille de Jourdain) mais Jourdain ne veut la marier qu’à un gentilhomme et Cléonte ne l’est pas. Covielle ( valet de Cléonte) promet d’arranger les affaires de son seigneur (Cléonte) par une mascarade Doriméne fait alors son entrée , conduite par Dorant . Dans l’acte quatrième, le Bourgois régale ses nobles invités d’un festin en musique, que Madame Jourdain interrompt par un retour intempestif. Mais d’autres réjouissances vont suivre puisque Covielle, déguisé, annonce à Jourdain que le fils du grand Turc veut épouser sa fille, et le mariage pour qu’il sait fait, il faut que le futur beau père soit élevé à la dignité de mamamouchi Ce qui a lieu au cours d’une cérémonie burlesque. Dans l’acte dernier, Madame Jourdain découvre sa marie comme Turc, tout le monde jouent le jeu sauf Lucile et Madame Jourdain refusent le mariage projeté jusqu’à ce qu’on les mette discrètement au courant de la véritable identité du prétendant. La comédie finit par un ballet. 2-2-2 Les actions : Selon le schéma narratif 1- Sa mise en tête des idées de noblesse comme situation inutile. 2- querelles et débats sur la mise de Monsieur Jourdain en tête des idées de noblesse la crise de la servante, et reproches Amour, mariage, préparation de la fête comme déroulement des actions. 3- découvert, l’extravage et refus de mariage comme situation final. 2-2-3 Les personnages * Monsieur Jourdain est un bourgeois ignorant qui se veut dire noble et homme de qualité. * Dorante : un comte prodigieux. Intermédiaire de MRJ et Doriméne. * Cléonte : Amoureux de Lucile, est un charmant garçon à bonne droiture. * Lucile : fille de monsieur Jourdain aimée par Cléonte. * Doriméne : Jeune neuve, marquise authentique discrète et sincère. Dont Monsieur Jourdain est tombé amoureux. * Covielle : est la valet de Cléonte toujours heureux. * Madame Jourdain est la dame de Monsieur Jourdain et mère de Lucile, femme de tête de fend sa maison son bien son foyer et sur tout sa fille. 2-2-4 Les thèmes La noblesse : On trouve dans ce texte le thème de la noblesse est damnant la preuve que Molière est un écrivain appartenant à la couche aristocratique. L’homme et la richesse : ce thème apparaît à trouver Monsieur Jourdain comme étant bourgeois qui veut faire l’honneur par sa richesse malgré son ignorance. L’amour : ce dernière qu’on trouve chez Monsieur Jourdain, et Doriméne, Cléonte et lucile. | |
| | | Nivertiti
Nombre de messages : 48 Date d'inscription : 04/03/2008
| Sujet: MON T.P.E Ven 23 Mai - 18:13 | |
| Prénom: Nivertiti première année L.M.D G:01 Résumé le roman d’une vie de Guy de Maupassant Présentation de l’auteur : Guy de Maupassant (1850-1893), écrivain français, auteur de romans et de nouvelles situés entre réalisme et fantastique, où il met en scène la méchanceté et l’horreur ordinaires. Né à Fécamp (en Normandie), Guy de Maupassant coule une enfance heureuse dans la campagne normande. Après des études de droit interrompues par la guerre de 1870, il commence une carrière de fonctionnaire à Paris. Peu assidu au travail, préférant les guinguettes et la compagnie des femmes, il découvre, sous l’influence de Gustave Flaubert (un ami d’enfance de sa mère), sa vocation d’écrivain. En 1880, Guy de Maupassant publie sa première nouvelle, Boule-de-Suif. Dans ce coup d’essai, salué comme un chef-d’œuvre par ses contemporains, les thèmes chers au jeune écrivain sont déjà présents, il dépeint la réalité de la vie et souligne la cruauté des personnages qu’il met en scène. Pour lui, il n’est pas nécessaire de dénoncer les travers de la société, il suffit de les décrire pour faire réagir le lecteur. En dix ans, il publie plus de 300 nouvelles et contes réunis en une quinzaine de recueils 6 romans, alimentés par le même mépris du monde bourgeois, et dont se dégage un certain pessimisme social : Une Vie (1883) retrace le parcours de Jeanne, issue de la petite noblesse et trahie par tous ceux qu’elle aime ; dans Bel-Ami (1885), l’écrivain constate avec amertume que la réussite sociale est réservée aux seuls opportunistes. Guy de Maupassant meurt après une fin de vie douloureuse, tourmenté par des maux de tête insupportable et des hallucinationsPrésentation de l'ouvrage:Ce roman de Guy de Maupassant a été publié en feuilleton à Paris en février et mars 1883. Il a été publié en volume la même année.
Il est composé de 14 chapitres et relate les rêves et les désillusions de Jeanne, la fille d'un baron qui n'a longtemps imaginé sa vie qu'au travers " du prisme idéalisant de ses rêves". Introduction:La vie au quotidien nous mine, mais en-a-t-on vraiment conscience, mis à part dans quelque instant lucidité ? Rares parmi nous sont ceux qui ne s’accommodent, heure après heure, de ce que le hasard ou la destinée propose. Il n’y a guère de différence entre les gens, et Jeanne, l’héroïne de Maupassant. Ce qui pourrait la distinguer de nous, tient essentiellement aux caractéristiques d’une époque. Au 19ème siècle par exemple, les jeunes françaises ne vont pas à l’école. Celles qui sont issues d’un milieu aisé, sont placées dans un couvent ou l’on se charge de faire leur éducation, enfermées durant des années, elles n’auront pratiquement aucun contact avec la réalité extérieure, mais lorsque le roman de Guy de Maupassant s’ouvre, la jeune fille est sortie du couvent et commence sa vie comme se suit.Les personnages :L’héroïne de Maupassant c’est Jeanne, elle est quelque peu irréaliste car tout le monde sait que la vie est faite de malheurs. Jeanne se contente de rêver comme toutes les jeunes filles à l’amour mais elle est trompée par tout qui l’entoure.
Le vicomte Julien de Lamare : le mari de Jeanne, il est égoïste, avare et malhonnête Son père c’est le baron Simon Le Perthuis est un gentilhomme et sa mère la baronne. Rosalie est la sœur de lait de Jeanne, elle la trahie avec son maris et tombe enceinte. Et son fils Paul et son enfantLe résumé: Première partie : les rêves d’une jeune filleLe 2 mais 1819 Jeanne la fille unique du baron Simon-Jacques quitte le couvent et regagne avec son père et sa mère au château des peuples au Normandie ou la vie de la liberté commence. Un jour, l’abbé du village Picot vient faire une visite aux peuples et il profite de l’occasion pour présenter le vicomte Julien de Lamare à la baronne et sa fille. Les jours passent, un soir le baron annonce à sa fille que le vicomte lui a demandé sa main, la jeune fille « étranglée par l’émotion » accepte. Le 15 août le vicomte Julien de Lamare et Jeanne marient et partent en Corse pour leur voyage de noces.Deuxième partie :les désillusionsLa vie de Jeanne est monotone. Elle s’ennuie et se dit que le bonheur tant désiré est déjà du passé. Les parents de Jeanne quittent les Peuples vers Rouen. Jeanne et Julien vivent maintenant seuls aux Peuples avec la servante Rosalie, la sœur de lait de Jeanne. La servante met au monde un petit garçon et Julien souhaite le classer de chez eux mais Jeanne s’y oppose. Une nuit Jeanne malade, appelle Rosalie qui ne l’entend pas, lorsqu’elle va la chercher, elle découvre la trahison de son mari et elle perd la connaissance pendant des jours. L’abbé Picot tente d’apaiser la situation entre les époux, il promet de trouver un époux à Rosalie à condition de lui offre de l’argent, à ce moment Jeanne apprend qu’elle attend un enfant. Julien aime faire des relations avec les familles nobles, donc il fait la reconnaissance de Fourville. En juillet 1820, Jeanne accouche dans une terrible souffrance. Déçue par le mariage Jeanne reporte toute son affection sur son fils Paul. En contre partie un paysan débrouillard accepte d’épouser Rosalie et de prendre en charge son enfant.
Après quelques mois la baronne Adélaïde meurt. Jeanne découvre que Julien est l’amant de Gilbert de Fourville et aussi l'abbé Tolbiac, qui remplace L’abbé Picot, découvre ça.
Un jour, M. de Fourville vient aux peuples, il découvre la trahison de sa femme, ivre de colère il les tue. Le même jour Jeanne accouche d’une fille mort-née.Troisième partie : l’angoisse d’une mèrePaul a 15ans, il est mis en pension au collège du Havie, il se contente d’écrire annonçant sa venue prochaine et demandant à chaque foie de l’argent. La mort de son père conduit Jeanne à la folie. Après vingt quatre ans d’absence, Rosalie, en pleine forme, revient s’installer auprès d’elle. Jeanne est perdu toute sa fortune, elle vit dans une vieille maison. Un jour, Paul annonce son mariage avec une créature que Jeanne n’a jamais estimée. Quelques mois plus tard la femme de Paul meurt après qu’elle a mit au monde une belle fille, Jeanne accepte de prendre soin d’elle et elle revenue sa joie de vivre.Conclusion:La vie doit se passer n’ importe où, n’importe quand car c’est justement une vie comme les autres. La particularité de l’existence de Jeanne nourrit des expériences vécus ici ou là par des milliers de femmes. Sans cesse projetée en avant, comme un pour devenir d’être, Jeanne ne connaît pratiquement aucun grand bonheur. Sa plus grave déception tient peu être, au fait que très tôt, elle a le sentiment que sa vie est finie de retour de voyage de noces, elle fait un constat qui la glace : « il n’y a plus rien à faire, c’était fini d’attente » Le génie du romancier est de réussir à nous faire lire du réel, il réserve à sa Jeanne un grand réconfort final : la réconciliation avec Rosalie qui l’empêche de sombre corps et biens. C’est à cette femme du peuple pleine d’énergie, c’est à cette sœur douleur pleine de miséricorde, que Maupassant confie le mot de la fin : « La vie, voyez-vous, ça n’est jamais si bon ni si mauvais qu’on croit » | |
| | | jakarta
Nombre de messages : 2 Date d'inscription : 07/04/2008
| Sujet: Re: T.P.E Sam 24 Mai - 4:01 | |
|
L'École des femmes de Molière
biographie:
Molière (Jean-Baptiste Poquelin) est baptisé le 15 janvier 1622 à Paris (église Saint-Eustache). Fils d’un tapissier, Molière fait ses études chez les jésuites avant d’aller étudier le droit à Orléans. Avec Madeleine Béjart, il crée l’Illustre-Théâtre qui est un échec en raison de dettes (en août 1645, Molière est même emprisonné). Cette même année, il quitte Paris pour la province. Il y restera treize ans. En 1658, il revient à Paris pour jouer Nicomède et Le Dépit amoureux devant le roi. C’est la pièce Les Précieuses ridicules (1659) qui lui apporte la célébrité. Molière obtient du roi la salle du Petit-Bourbon puis celle du Palais-Royal (à partir de 1660) où il remporte de nombreux succès en tant qu’auteur, acteur et directeur de troupe. Tartuffe, jouée pour la première fois en 1664 à Versailles, pièce dans laquelle il critique l’hypocrisie des faux dévots, fait scandale. La pièce est interdite par le roi sous la pression des dévots qui se sentent visés. En 1665, Dom Juan suscite également des remous. Malgré son succès, la pièce est retirée. Molière continue cependant de bénéficier de la faveur du roi. Viennent les pièces Le Misanthrope (1666), George Dandin (1668), Le Bourgeois Gentilhomme (1670), L’Avare (1668), Les Fourberies de Scapin (1671), Les Femmes savantes (1672), etc. Épuisé par le travail et la maladie (il est phtisique), Molière meurt le 17 février 1673 après la quatrième représentation du Malade imaginaire (il jouait le rôle d’Argan).
Ses œuvres
Le Médecin volant 1645 La Jalousie du barbouillé 1650 L'Étourdi ou les Contretemps 1655 Le Dépit amoureux 16 décembre 1656 Le Docteur amoureux 24 octobre 1658 Les Précieuses ridicules 18 novembre 1659 Sganarelle ou le Cocu imaginaire 28 mai 1660 Dom Garcie de Navarre ou le Prince jaloux 4 février 1661 L'École des maris 24 juin 1661 Les Fâcheux 17 août 1661 L'École des femmes 26 décembre 1662 La Jalousie du Gros-René5 15 avril 1663 La Critique de l'école des femmes 1er juin 1663 L'Impromptu de Versailles 14 octobre 1663 Le Mariage forcé 29 janvier 1664 Gros-René, petit enfant 27 avril 1664 La Princesse d'Élide 8 mai 1664 Tartuffe ou l'Imposteur 12 mai 1664 Dom Juan ou le Festin de pierre 15 février 1665 L'Amour médecin 15 septembre 1665 Le Misanthrope ou l'Atrabilaire amoureux 4 juin 1666 Le Médecin malgré lui 6 août 1666 Mélicerte 2 décembre 1666 Pastorale comique 5 janvier 1667 Le Sicilien ou l'Amour peintre 14 février 1667 Amphitryon 13 janvier 1668 Monsieur de Pourceaugnac 6 octobre 1669 Les Amants magnifiques 4 février 1670 Le Bourgeois gentilhomme 14 octobre 1670 Psyché 17 janvier 1671 Les Fourberies de Scapin 24 mai 1671 La Comtesse d'Escarbagnas 2 décembre 1671 Les Femmes savantes 11 mars 1672 Le Malade imaginaire 10 février 1673 résumé
Acte I - Arnolphe, aussi appelé M. de La Souche, est un homme d’âge mûr qui aimerait jouir du bonheur conjugal, mais il est hanté par la crainte d’être trompé par une femme. Aussi a-t-il décidé d’épouser sa pupille Agnès, élevée dans l’ignorance, recluse dans un couvent. Il fait part de ses projets à son ami Chrysalde, qui désapprouve la façon dont la jeune fille a été tenue à l’écart des réalités. Horace, fils d’Oronte (un autre ami d’Arnolphe), est tombé amoureux d’Agnès au premier regard ; il se confie à Arnolphe dont il ignore le rôle de tuteur, lui avouant qu’il a fait sa cour et raillant le personnage de M. de La Souche. Ce dernier en conçoit de l’amertume. <LI>Acte II - Alain et Georgette, les serviteurs, sont réprimandés pour avoir permis à un jeune homme de rencontrer sa pupille. Arnolphe interroge Agnès afin de savoir ce qui s’est passé lors de cette entrevue, et la teneur de leurs propos. Il est rassuré par le récit qu’elle lui fait, sa réputation n’a pas été entachée, mais il décide de précipiter le mariage. Agnès, croyant que son futur mari est Horace, lui exprime sa gratitude, mais le barbon la détrompe sans ménagement. <LI>Acte III - Arnolphe inculque à sa future épouse les rudiments des devoirs conjugaux, sans oublier les terribles effets de l’infidélité. Agnès semble se résigner à ce triste avenir. Horace rencontre le tuteur qui savoure déjà la déconvenue du jeune homme : les serviteurs lui ont refusé une nouvelle visite, et la belle l’a renvoyé en lui lançant une pierre ... à laquelle était jointe un mot d’amour. C’est Arnolphe qui enrage, obligé de reconnaître sa jalousie, et donc son amour ; et il aimerait être aimé en retour. <LI>Acte IV - Arnolphe, plus que jamais déterminé dans ses projets, donne des instructions drastiques à ses serviteurs, ils doivent refouler le jeune prétendant à coups de bâton. Nouvelle rencontre entre le tuteur et le galant, celui-ci lui apprend qu’il a réussi à s’introduire dans la maison, mais que l’arrivée impromptue de M. de La Souche, a obligé Agnès à le cacher dans une armoire. En outre, il lui confie qu’il a un rendez-vous pour le soir même et qu’il projette d’enlever la jeune fille. Ainsi renseigné, Arnolphe appelle son notaire pour la rédaction du contrat de mariage et se prépare à piéger son rival. Acte V - Le traquenard a bien fonctionné, Horace a été roué de coups par les deux serviteurs, et il n’a d’autre choix que de faire l’assommé. Agnès s’est enfuie et a rejoint son amant, ne voulant retourner chez son tuteur. Horace, toujours ignorant de l’identité du tuteur, demande à Arnolphe d’héberger et de protéger la jeune fille. Le barbon triomphe, mais elle ignore superbement son discours exalté. Entrée d’Oronte, le père d’Horace, il veut unir son fils à la fille de son ami Enrique, de retour des Amériques, après un long séjour. Horace demande l’aide d’Arnolphe qui lui dévoile ironiquement son identité. Coup de théâtre, il s’avère qu’Agnès est la fille d’Enrique ; les amants vont pouvoir unir leurs destinées, au grand désespoir de l’ex-tuteur. Le dernier mot de celui-ci est : « Oh ! »</LI>
| |
| | | bouji
Nombre de messages : 7 Date d'inscription : 19/03/2008
| Sujet: Re: T.P.E Sam 24 Mai - 9:00 | |
| les mésirables "gavrauche" </I> victor Hugo (1802-1885) est un poète, romancier et dramaturge français du xixe siècle, considéré comme le maître du drame romantique. Il est l’auteur du roman les Misérables et du recueil de poésie les Contemplations.
Fils d’un général de Napoléon Ier, Victor Hugo fait ses études à Paris et compose ses premiers poèmes. En 1822, il épouse Adèle Foucher, qui lui donne cinq enfants.
Dle tendance classique dans ses premiers écrits, il devient le chef du romantisme (un mouvement littéraire du xixe siècle fondé sur la sensibilité et l’imagination en réaction contre le classicisme). Il est notamment l’une des figures majeures du drame romantique avec la préface de Cromwell et sa pièce de théâtre Hernani.
Dd’abord catholique et monarchiste, Victor Hugo soutient ensuite la cause républicaine et sociale, défendant les plus démunis et luttant pour une société plus juste et plus égalitaire.
Een 1843, sa fille Léopoldine se noie dans la Seine. Terrassé par la douleur, Victor Hugo se réfugie dans la politique. Adversaire de Napoléon III, il doit s’exiler à plusieurs reprises, en particulier à Guernesey. Il rentre en France en 1870, après dix-sept années d’exil. À sa mort, ses cendres sont transférées au Panthéon.
Il est notamment l’auteur de Notre-Dame de Paris (1831), Ruy Blas (1838), les Châtiments (1853), les Contemplations (1856), la Légende des siècles (1859-1863), les Misérables (1862), l’Art d’être grand-père (1877). Il est élu à l’Académie française en 1841.
le résumé
Après 19 années passées au bagne, Jean Valjean dirige une entreprise prospère. Il promet à Fantine, une des ses ouvrières, de prendre soin de sa fille Cosette. Traqué par l’inspecteur Javert qui a reconnu l’ancien bagnard et le considère comme un éternel criminel, Jean Valjean est arrêté à nouveau mais parvient à s’évader. Il arrache Cosette à sa famille d’accueil, les Thénardier, qui la martyrisent, et se réfugie avec elle dans un couvent.
Les années passent et tous les personnages se retrouvent à Paris. Les Thénardier s’y sont installés avec leurs filles et leur fils Gavroche. Jean Valjean, toujours poursuivi par Javert, y élève Cosette, qui est amoureuse d’un jeune homme, Marius. Alors qu’éclatent des émeutes populaires, le destin des personnages se joue sur les barricades. Jean Valjean sauve la vie de Marius et de Javert, qui se suicide, bouleversé d’avoir été secouru par un ancien bagnard. Le petit Gavroche tombe sous les balles en chantant.
Après le mariage de Cosette et de Marius, Jean Valjean sombre dans la solitude, hanté par la misère qui l’a accompagné toute sa vie. Il meurt en paix, après avoir revu sa fille adoptive une dernière fois.
L’histoire des personnages des Misérables est indissociable du contexte historique. Le roman débute en 1815, année de la bataille de Waterloo, longuement évoquée par Victor Hugo, et s’achève peu après les émeutes parisiennes de 1832. La France est à l’aube d’une première révolution industrielle et la population pauvre commence à quitter la campagne pour s’entasser dans les villes, où elle vit dans des conditions déplorables. Dans les Misérables, Victor Hugo décrit cette misère et analyse les raisons sociales et politiques qui ont conduit à cette situation.
L’œuvre s’articule autour du personnage de Jean Valjean. Ancien forçat sauvé de la déchéance par un évêque, il est la preuve que l’homme peut racheter ses erreurs par la bonté et l’amour de son prochain.
Face à lui, l’inspecteur Javert symbolise l’implacable acharnement de l’appareil judiciaire. Autour d’eux gravitent des personnages inoubliables, qui explorent toutes les facettes de l’âme humaine :
1. Cosette, l’enfant martyr ;
2. les Thénardier, famille tyrannique et malhonnête ;
3. Gavroche, gamin vif et débrouillard.
Cette œuvre très riche, à la fois roman historique, roman social et grande « épopée du peuple », a connu à sa sortie un succès énorme. Elle a depuis inspiré de nombreuses adaptations cinématographiques.
| |
| | | eclipse
Nombre de messages : 8 Date d'inscription : 29/03/2008
| Sujet: T.P.E: L'étranger d'ALBERT CAMUS. Sam 24 Mai - 13:26 | |
| Lecteur: éclipse Groupe:3 Titre: L'étranger Auteur: Albert Camus Edition : TALANTIKIT Lieu et Année: Bejaïa 2007 Nombre de pages:142 Biographie d'Albert Camus (1913-1960) 1913- 1932 Une enfance pauvre: Albert Camus naît à Mondovi (Algérie) le 7 Novembre 1913. son père est Lucien Camus, ouvrier agricole et sa mère Catherine Sintes, une jeune servante d'origine espagnole. Lucien Camus est meurt pendant la première guerre mondiale. Le jeune Albert ne connaîtra pas son père. Sa mère s'installe alors dans un des quartiers pauvres d'Alger, Belcourt. Grâce à l'aide de l'un de ses instituteurs, M. Germain, Albert Camus obtient une bourse et peut ainsi poursuivre ses études au lycée Bugeaud d'Alger. Il y découvre à la fois les joies du football et de la philosophie, grâce à son professeur Jean Grenier. 1932-1944 Le militant et le résistant : Il obtient son bac en 1932 et commence des études de philosophie.. Il épouse en 1934, Simone Hié. En 1936, alors qu'il est diplômé d'Etudes Supérieures de philosophie, il fonde le Théâtre du Travail. Il joue et adapte de nombreuses pièces : Le temps du mépris d'André Malraux, Les Bas-Fonds de Gorki, Les frères Karamazov de Dostoïevski. En 1938, il devient journaliste à Alger-Républicain La situation internationale se tend. Alger-Républicain cesse sa parution et Albert Camus part pour Paris où il est engagé à Paris-Soir. En 1942 il milite dans un mouvement de résistance et publie des articles dans Combats qui deviendront un journal à la libération. Cette année-là il publie l'Etranger et le Mythe de Sisyphe chez Gallimard. Ces deux livres enflamment les jeunes lecteurs et valent à Albert Camus d'accéder, dès cette année-là, à la notoriété. En 1944 il fait la rencontre de Jean-Paul Sartre.. C'est l'époque où les deux philosophes entretiennent des rapports amicaux : "l'admirable conjonction d'une personne et d'une œuvre" écrit Sartre de Camus. Leurs relations vont pourtant s'envenimer jusqu'au point de non retour. 1945-1957 Le témoin engagé : En 1945, c'est la création de Caligula, qui révélera Gérard Philippe. Deux ans après, il publie La Peste qui connaît un immense succès. En 1951, publication de l'Homme Révolté qui vaut à Camus à la fois les foudres des surréalistes et des existentialistes. Grâce la situation algérienne. Il prend position, dans l'Express, au travers de plusieurs articles où il montre qu'il vit ce drame comme un "malheur personnel". En 1956, il publie La Chute ; une œuvre qui dérange et déroute par son cynisme et son pessimisme. 1957-1960 Le Nobel, la mort: Albert Camus obtient le prix Nobel en octobre 1957 " pour l'ensemble d'une œuvre qui met en lumière, avec un sérieux pénétrant les problèmes qui se posent de nos jours à la conscience des hommes". Il a alors 44 ans et est le neuvième français à l'obtenir. 3 ans après, le 4 janvier 1960, il se tue dans un accident de voiture. Petite aperçue sur L'étranger: L’Étranger est un roman d’Albert Camus, paru en 1942. Il fait partie du « cycle de l'absurde », trilogie composée d’un roman (L’Étranger), d’un essai (Le Mythe de Sisyphe) et d’une pièce de théâtre (Caligula) décrivant les fondements de la philosophie camusienne : l’absurde. Le roman a été traduit en quarante langues et une adaptation cinématographique a été réalisée par Luchino Visconti en 1967. Les personnages principales: Meursault: est un jeune modeste employé de bureau habitant Alger. Marie Cardona: une ancienne dactylo de son bureau. Raymond sintés: son voisin de palier. Masson: l'ami de Raymond. L'étranger selon Albert Camus: "Si je ne devais résumer ce livre qu'en une seule et unique phrase, je dirais : voici l'histoire d'un homme qui commet un crime mais qui est incarcéré pour un autre. Pour s'en rendre compte il a fallu d'abord constater l'absurdité de la chose, car le roman est si bien construit que les contradictions ne ressortent pas sans mûre réflexion..." Citation: «L'absurdité est surtout le divorce de l'homme et du monde.»(Extrait de L’Etranger)
Résumé Le narrateur, Meursault, employé de bureau à Alger, apprend que sa mère est morte, dans un asile. Il va l'enterrer sans larmes, et sous un soleil de plomb qui ne fait qu'augmenter son envie d'en finir avec la cérémonie. De retour à Alger, il va se baigner et retrouve une ancienne collègue, Marie. Ils vont voir un film comique au cinéma, et elle devient sa maîtresse. Un soir, Meursault croise Salamano, un voisin, et est invité par Raymond, un autre voisin de palier. Ce dernier, ancien boxeur, lui raconte sa bagarre avec le frère de sa maîtresse, et lui demande d'écrire une lettre qui servira sa vengeance. Quelques jours plus tard, Raymond se bat avec sa maîtresse et la police intervient. Meursault accepte de l'accompagner au commissariat. Invité par Raymond à passer un dimanche au bord de la mer dans le cabanon d'un ami, Masson, Meursault s'y rend avec Marie. Après le repas, les hommes se promènent sur la plage et rencontrent deux Arabes, dont le frère de la maîtresse de Raymond. Ils se battent et Raymond est blessé. De retour au cabanon, Meursault le tempère et lui prend son revolver, pour lui éviter de tuer. Reparti seul sur la plage, il retrouve par hasard le frère, qui sort un couteau. Assommé par le poids du soleil, il se crispe sur le revolver et le coup part tout seul; mais Meursault tire quatre autres coups sur le corps inerte. Meursault est emprisonné. L'instruction va durer onze mois. Il ne manifeste aucun regret lorsqu'il est interrogé par le juge, aucune ne peine lorsque son avocat l'interroge sur les sentiments qui le liaient à sa mère. Le souvenir, le sommeil et la lecture d'un vieux morceau de journal lui permettent de s'habituer à sa condition. Les visites de Marie s'espacent. Le procès débute avec l'été. L'interrogatoire des témoins par le procureur montre que Meursault n'a pas pleuré à l'enterrement de sa mère, qu'il s'est amusé avec Marie dès le lendemain et qu'il a fait un témoignage de complaisance en faveur de Raymond, qui s'avère être un souteneur. Les témoignages favorables de Masson et Salamano sont à peine écoutés. Le procureur plaide le crime crapuleux, exécuté par un homme au cœur de criminel et insensible, et réclame la tête de l'accusé. L'avocat plaide la provocation et vante les qualités morales de Meursault, mais celui-ci n'écoute plus. Le président, après une longue attente, annonce la condamnation à mort de l'accusé. Dans sa cellule, Meursault pense à son exécution, à son pourvoi et à Marie, qui ne lui écrit plus. L'aumônier lui rend visite, malgré son refus de le rencontrer. Meursault est furieux contre ses paroles, réagit violemment et l'insulte. Après son départ, il se calme, réalise qu'il est heureux et espère, pour se sentir moins seul, que son exécution se déroulera devant une foule nombreuse et hostile.il dit : "Devant cette nuit chargée de signes et d’étoiles, je m’ouvrais pour la première fois à la tendre indifférence du monde. De l’éprouver si pareil à moi, si fraternel enfin, j’ai senti que j’avais été heureux, et que je l’étais encore. Pour que tout soit consommé, pour que je me sente moins seul, il me restait à souhaiter qu’il y ait beaucoup de spectateurs le jour de mon exécution et qu’ils m’accueillent avec des cris de haine". | |
| | | kouza Débutante
Nombre de messages : 10 Date d'inscription : 25/02/2008
| Sujet: Re: T.P.E Dim 25 Mai - 17:46 | |
| Fiche de lecture sur le petit prince d’Antoine de Saint-Exupéry
Introduction
Le petit prince de Saint-Exupéry est considéré comme l’un des livres les plus célèbre dans le monde, c’est une œuvre qui a été traduite en 102 langues .Elle s’adresse aussi bien à un public d’adultes qu’à un public d’enfants. Le petit prince n’est pas un livre rose et mièvre, mais noir et triste. C’est précisément, ce qui fait son sens. L’œuvre s’achève dans le chagrin et dans les larmes.
1-Biographie de l’auteur : Antoine de Saint-Exupéry est né le 29 /07/1900 à Lyon. Il est le troisième d’une famille de cinq enfants, .a l’age de quatre ans il perd son père. Il était un élève très souvent puni pour sa nonchalance et son désordre. On 1923 il fait son premier accident d’avion, il fut pou lui une époque assez triste. Saint-Exupéry sera chargé de réaliser des voyages d’étude et des conférences en méditerranée. En janvier de l’année 1938, il fait un accident qui lui valu cinq jours dans le coma, Après la déclaration de la deuxième guerre mondiale, il à cause de son mouvait état générale fut affecté à la grand reconnaissance 2/33 placé à Alger, et c’est durant ce premier hiver qu’il commença à écrire »le petit prince » chef-d’œuvre qui sera publier pour la première fois à New York en 1943 puis en France en 1946.
Le 31/07/1944sera le jour de sa dernière mission,on présume que son avion a été abattu,mais on n’a jamais de sa trouvé Saint-Exupéry .au début des années 2000 on a retrouvé son avion dans la méditerranée mais on ne sait toujours pas ce qui s’est passé.
Le réaliste et l’idéaliste, Saint-Exupéry avant d’être politique ou idéologique est tout d’abord un projet poétique,il considère que l’image est un piège qui capture ou les image font écho à la poésie du texte.
2-Le résumé:La narration de ce conte est faite à la première personne, le narrateur se souvient qu’à l’age de 6 ans, il aimait dessiner des serpents boas il a montré ses chefs d’œuvres eaux grand personne, mais celles-ci on lui conseillé de coté les dessins des serpents boas ouverts ou fermés, et de s’intéresser plutôt à la géographie, a l’histoire, au calcule et a la grammaire. L’aviateur tombé en panne au beau milieu du désert vécu seul. C’est là qu’il rencontre le petit prince. Ce petit bonhomme lui indique qu’il vient d’une autre planète (l’astéroïde b612) une petite planète à peine plus grande qu’une maison après s’être fâché avec sa rose. Caque jour le pilote apprend des nouvelles choses sur la planète du petit prince,sur son départ,sur son voyage….,c’est ainsi que l’enfant lui parle de la psychologie des baobabs qui encombrent sa planète et qui la perfore de leur racine. Il lui raconte aussi qu’il adore les couches de soleil. Puis le petit prince parle de sa fleur unique, dont il amoureux, il prend peur que le mouton que lui a dessiné l’aviateur fait du mal à sa rose. Sans doute est-ce sa déception amoureuse qui l’à incite à s’éloigner de sa planète a voyager .il a ainsi raconté murés dan leur solitude une galerie de personnage : le roi factice, le vaniteuse, le buveur qui boit pour oublier qu’il boite, le businessman propriétaire d’étoile, l’allumeur de réverbères, et enfin un géographe, un vieux monsieur écrivant d’énormes livres. Puis le petit prince a débarqué sur la terre, et c’est encore la solitude qu’il y a rencontré,il y a retrouvé en grand nombre les même types de personnages que sur les autres planètes,mais aussi un serpent ne parlent que par énigme ;un désert fleures l’écho… puis un petit renard qui voulait que le petit prince l’apprivoise. C’est l’heure de la séparation, le p p souhaite retrouver sa rose, il a recoure au serpent qui résout toutes les énigmes, et repart vers son étoile, il laisse seul le narrateur qui peut maintenant regarder au ciel avec un autre regard.
3-Les personnages A/Les personnages principaux : Le narrateur → le pilote le petit prince la deuxième personne dans la personnalité de s e est limé naturel Le serpent boa → le gouvernement français Le mouton → c’est ses hobbies Les baobabs → signe de danger La fleure → son amie Le roi→ La vaniteuse→ Le buveur → Le businessman → L’allumeur → Le géographe → Le renard sagesse → Le serpent énigme la mort et l’initiation→
b/Les personnages secondaires et les éléments qui font l’action
l’éléphant → le peuple français l’arbuste → ces amis(les jeunes) dans l’armée l’herbe → les enfants graine → les parant étoile → les choses les plus beaux dans la vie le couche du soleil → la cigarette (signe de défoulent ) carrière de la peinture → la pratique de la politique l’ astéroïde(b612) → l’Algérie le moteur d’avion → le corps physique de Saint-Exupéry C/Les personnages préférés La personnage qui ma séduisiez, c’est le héros du roman (le petit prince). Ce dernier vie en plein de spontanéité et d’intelligence et ça vision pointue dans son évaluation de chaque personne à partir des six planètes. Le géographe (le vieux homme) est la force équilibrante dans le roman.
4-Les belles citations *La fleure dit au petit prince (il ne faut jamais écouter au fleures il faut les regarde r et les respirer) *Le roi dit au petit prince :(tu te jugera donc toi-même c’est le plus difficile, il est bien plus difficile de juger soi-même que de juger autrui,si tu réussis ci bien te juger c’est que tu est un véritable sage )
*Le petit prince dit ( on ne voit bien qu’avec le cœur, l’essentiel est invisible pour les yeux ». 5-Ce que j’aime dans ce roman L’essence du coûte qui réside dans une double initiation :
1_le développement psychologique de l’enfant et l’aventure du héro dans la quelle l’enfant se trouve .c’est une histoire qui permettre a l’enfant, en traîne de construire de structure son univers et de trouver des repères.
2_le mécanisme : grâce auquel l’enfant instaure de l’ordre dans son monde intérieure ou l’organisant autour d’opposition fortes et claires.
6-Ce que je n’aime pas dans ce roman
Globalement l’œuvre m’étonnai sauf dans son esprit d’ambiguïté et symboliser des aventures, le seul problème dans cet œuvre est l’absence de l’explication et les signes pou l’interpréter
Conclusion Le petit prince se termine mal et c’est la marque du mythe que d’avoir une philosophie pessimiste, c’est ici qu’il faut dire que le petit prince est un ensemble de mythe.
L’ambiguïté générique serait le clef du rayonnement universel du petit prince qui se donnerait ainsi les moyens de toucher tous les types de public, parce qu’on peut le lire à différents niveau, il offre une richesse certitude et la dédicace port bien la trace de cette ambiguïté. | |
| | | zahou
Nombre de messages : 28 Date d'inscription : 03/03/2008
| Sujet: Re: T.P.E Dim 25 Mai - 18:36 | |
| La bio- bibliographie de l'auteur :Camus, .Albert (1913-1960),écrivain français,né en Algérie dans une famille très modeste, orphelin de père , Albert camus commence des études de philosophie avec son professeur jean grenier, mais il ne peut achever ses étude Albert camus a écrit et a publier beaucoup d'ouvrage dans sa vie mais le 4 janvier 1960, alors qu'il travaille à un autre Roman, le premier homme (posthume, 1994), il se tue dans un accident de voiture.
Le synopsis (le résumé) : <<puis-je monsieur vos proposer mes services>> C'est dans un bar à Amsterdam qui est nommée MEXICO CITY ou jean baptiste clémence a rencontré un autre homme ou interlocuteur inconnu qu'il appelé avec un sur nom qui Ets << compatriote>> ou << cher compatriote>> Jean baptiste clémence lui raconte en un vaste monologue des étapes de sa vie et de toutes les cotés sociales. Jean est un brave homme avec un visage farouche, un bourgeois et cultivé. Il vivait avant à paris mais après en hollande travaillais comme avocat qui compris et appris comment réussir dans son travail. La brave avocat cherchait à aider les gens qui avait besoin d'aide il defender des innocent et ne prend pas d'argent sur les pauvres gens, en plus de sa il les donne de l'argent , il aide les malades et les aveugles. Mais après il a eu une vision complètement différente qu'avant sur le monde qu'il l'entour a cause d'un moment de crise dans sa vie. Deux ou trois ans avant cette rencontre c'était en novembre ou il passait derrière une forme penchée sur le parapet ou il trouve une femme très belle et mince habillée avec le noir qui semblait regardait le fleuve . Après un certain moment jean baptiste clémence s'éloignait une distance il écoutait un cris plusieurs fois c'était la femme elle s'est jetait au fleuve et s'noyait, mais jean poursuivit sa route sans rien faire comme quoi rien c'est passé. Alors jean baptiste clémence prend une autre vision sur son existence et il devient un critique et juge sur lui même. Et punis sa propre personne il n'a ni de amis ni une femme ni une famille ni aucune autres relations son ami c'est la personne qui est présente devant lui il refuse le tout. Laisser la femme est une grande faute et la solution pour lui c'est que la scène dont la femme se jette se répète pour qu'il puisse la sauvé et il peut poursuivre sa vie. | |
| | | sally
Nombre de messages : 2 Date d'inscription : 04/04/2008
| Sujet: Re: T.P.E Lun 26 Mai - 23:03 | |
| -1-biographie:
Enfance et jeunesse Il est né le 26 février 1802 à Besançon dans le Doubs, en Franche-Comté, où son père est en garnison, puis passe son enfance à Paris. Victor est le fils du général d'Empire Joseph Léopold Sigisbert Hugo (1773–1828) - créé comte, selon la tradition familiale, par Joseph Bonaparte, roi d'Espagne - et de Sophie Trébuchet (1772–1821), et le dernier de trois enfants après Abel Joseph Hugo (1798–1855) et Eugène Hugo (1800–1837). De fréquents séjours à Naples et en Espagne, à la suite des affectations militaires de son père, marqueront ses premières années. Vers 1813, il s'installe à Paris avec sa mère qui s'est séparée de son mari, car elle entretient une liaison avec le général d'Empire Victor Fanneau de la Horie. Âgé de quatorze ans à peine, Victor, en juillet 1816, note sur un journal : « Je veux être Chateaubriand ou rien »[1] Sa vocation est précoce et ses ambitions sont immenses . Peu de carrières ont été conduites avec une volonté aussi précoce et lucide. On ne sait pas grand-chose de ses débuts puisque l'auteur a brûlé ses 10 premiers cahiers d'école. Qui a initié l'enfant à la technique du vers ? A-t-il été encouragé ou a-t-il travaillé seul ? En faisant quelles lectures ?
En 1817, il participe à un concours donné par l'Académie des jeux floraux. Le jury est à deux doigts de lui adresser le prix mais le titre de son poème (Trois lustres à peine) suggère trop son jeune âge et l'Académie en est effrayée. Le prix est donc attribué à quelqu'un d'autre.
Avec ses frères Abel et Eugène, il fonde en 1819 une revue, « Le Conservateur littéraire », qui attire déjà l'attention sur son talent. La même année, il remporte le concours de l'Académie des Jeux floraux (voir Clémence Isaure). Deux fois lauréat (1819 et 1820), également primé par l'académie, Victor Hugo délaisse les mathématiques, pour lesquelles il a un goût marqué (il suit les cours des classes préparatoires), et embrasse la carrière littéraire. Son premier recueil de poèmes, Odes, paraît en 1821 : il a alors dix-neuf ans et ses études au lycée Louis-le-Grand lui permettent de faire connaître rapidement cet ouvrage. Il participe aux réunions du Cénacle de Charles Nodier à la Bibliothèque de l'Arsenal, berceau du Romantisme, qui auront une grande influence sur son développement. Dès cette époque, Hugo est tout à la fois poète, romancier, dramaturge et même journaliste : il entreprend tout et réussit beaucoup.
-2-Résumé: Dans le Paris du XVe siècle, une jeune et superbe gitane appelée Esméralda danse sur le parvis de Notre Dame. Sa beauté bouleverse l’archidiacre de Notre-Dame, Claude Frollo, qui veut la faire enlever par son sonneur de cloches, le malformé Quasimodo. Esméralda est sauvée par une escouade d’archers, commandée par le capitaine de la garde Phoebus de Châteaupers. Quand Esmeralda retrouve Phoebus plusieurs jours plus tard, elle lui laisse voir l’amour qu’il lui a inspiré. Certes, Phoebus est fiancé à la jeune Fleur-de-Lys, mais il est également séduit par la gitane. Il lui donne rendez-vous dans une maison borgne, mais au moment où il va parvenir à ses fins, Frollo survient et le poignarde.
Accusée de meurtre, la belle Esmeralda ne veut pourtant pas, pour échapper au supplice, accepter de se donner à Frollo. Quand on l’amène devant la cathédrale pour subir sa peine, Quasimodo – qui l’aime aussi – s'empare d'elle et la traîne dans l'église, où le droit d’asile la met à l’abri. Là, il veille sur elle, jaloux et farouche, espérant peut-être la séduire ?
Cependant, les truands avec lesquels vivait Esmeralda viennent pour la délivrer. Frollo profite du tumulte pour l’emmener avec lui, et tente à son tour de la séduire. Furieux de son refus, il la livre aux griffes de la vieille recluse du Trou-au-rats. Mais au lieu de déchirer la Esmeralda, celle ci reconnaît en elle sa propre fille. Elle ne peut cependant en profiter, car les sergents de ville la retrouvent, et la traînent à nouveau au gibet.
Du haut de Notre-Dame, Quasimodo et Frollo assistent à l’exécution. Quasimodo, furieux de désespoir, précipite le prêtre du haut de la tour, et va lui-même se laisser mourir dans le charnier de Montfaucon, tenant embrassé le cadavre d’Esmeralda, enfin unis pour l’éternité.
-3- Personnages: William-Adolphe Bouguereau (1825-1905) - Gitane au tambourin (1867)Esméralda : très belle gitane, elle est courtisée par Phoebus de Châteaupers, le capitaine de la garde, par Quasimodo, le difforme sonneur de cloches, et par l’archidiacre Claude Frollo. Quasimodo : abandonné par ses parents alors qu’il avait quatre ans pour cause de difformité, il a été élevé par Frollo. Borgne, sourd et boiteux, il tombe amoureux de la belle Esméralda qui est alors éprise de Phoebus de Châteaupers. C’est un personnage complexe, qui apparait au début du roman comme un monstre sans cœur, à la botte de Frollo. Claude Frollo : archidiacre, déchiré par son amour pour Dieu et celui qu’il voue à Esméralda. Il a élevé Quasimodo et l’a fait sonneur de cloches. Phœbus de Châteaupers : capitaine de la garde, il est épris de la gitane Esméralda, malheureusement pour lui, il est déjà fiancé à Fleur-de-Lys, qui s’avère très jalouse de sa rivale. Pierre Gringoire : poète, il est sauvé de la pendaison par Esméralda qui accepte de se marier avec lui. Fleur-de-Lys : fiancée de Phoebus, elle est très jalouse d’Esméralda. Elle ne pardonne à ce dernier qu’après la mort de sa rivale.
-4-Analyse: Frollo est déchiré entre son amour pour Dieu et celui qu’il éprouve envers Esméralda. La naïve jeune fille découvre, quant à elle, la méchanceté des Parisiens envers les gitans.
L’histoire n’est pas uniquement basée sur l’amour qu’éprouve Quasimodo envers Esméralda. Dans ce roman, toute la vie sociale du XVe siècle est exposée : mendiants créant tout un état monarchique dans des rues dangereuses, bourgeois regardant le spectacle barbare et injuste d’une torture en place de grève, soldat commettant un crime, archidiacre trahissant sa religion en tombant amoureux et gitans dansant les rues. Tous ces rôles participent à cette œuvre autant historique que dramatique. Il faut d’ailleurs avoir à l’esprit que des chapitres entiers ne mentionnent pas la vie d’Esméralda et parlent de la cathédrale ou de Louis XI | |
| | | Paradis Rose
Nombre de messages : 22 Date d'inscription : 09/03/2008
| Sujet: Titre : planète polluée Mar 27 Mai - 17:52 | |
| AUTEUR : paul bera
Yves dermeze est l’un des nombreux pseudonymes de l’écrivain français paul berato, sous lequel il signa ses œuvres de science-fiction les plus ambitieuses , ainsi que ses collaborations à la revue fiction puis plus tard à la série d’anthologies « Univers » des éditions J’AI LU.
Mais c’est sous le pseudonyme Paul Bera , que l’auteur a publié la plus grande partie de ses romans , dans la collection « Anticipation » du fleuve Noire entre 1970 et le début des années 80 , ainsi que dans la collection « Angoisses » du même éditeur (série leonox).
On connaît également d’ Yves Dermeze deux autre pseudonymes : Martin Slang et John luck sous lesquels, il signa des romans aux éditions le masque au milieu des années 70.
Catégorie : policier – aventure – amour – suspense – humour – autre : fiction.
Pour lire ce roman, combien de temps a tu mis ? 3 semaines.
Personnages :
*Personnages principaux :
Jack : un jeune homme grand , fort intelligent , et surtout gentil qui vie dans le clan primitif. Kim : une jeune femme du terrier, belle maligne et très cultivée. Elle aussi sensible et généreuse.
*Personnages secondaires :
Les masques : des gens et des soldats qui portent des masques pour respirer l’oxygène. Les mutants : des gens qui peuvent respirer l’air de la surface de la terre mais ils sont primitifs.
Résumé :
L’histoire se passe au future où la vie sur la surface de la terre sera presque impossible à cause de la pollution, les hommes sont devisés en deux parties l’une peut vivre sur la surface de la terre malgré sa pollution Ils sont appelés « les mutants » cet appellation est donnée par les hommes de la deuxième partie et qui eux aussi sont nommés les masque car ils portent des masques pour respirer l’oxygène , ils étaient des chasseurs du mutants Un jour les masques essayaient de chasser jack un mutant qui vivait avec les semblables que lui dans des clans primitifs. mais jack était un homme fort , il courait tellement vite que aucun masqué n’a put le suivre , jack arrive au le marais ou l’on meurt là où personne ne pouvait vivre . il prend le risque et entre lac mais il n’ était pas more. Alors jack a été surpris par un mutant qui le suivait . il se bâtais mais jack est très fort il le tue , ensuite il porte ses vêtements et son masque ,il rentre avec les autres au terrier où vivent les masques . Là où jack tombe amoureux de kim du terrier , mais elle était très maligne et découvrait que jack est un mutant , un bref moment les masques découvraient que jack est un mutant .ils essayaient de le capturer , mais kim l’aime et voulait à tous prix le sauvait et le faire sortir du terrier . Jack et kim réussissent à s ’enfuir dans un véhicule , ils voulaient aller au terrier car là bas ils ne chassaient pas les mutants , elle voulait aussi avoir un enfant de jack pour sauver la race humaine ; on engendrer une nouvelle génération qui peut respirer l’air de surface et l’air des masques , le trajet était long , le réservoir de l’oxygène de kim est presque vide , jack décide d’aller à la montagne où il a entendu qu’il y a de l’air . -La route était à des heures de marche, kim est très fatiguée . jack arrête le véhicule pour qu’elle repose , sa n’était pas le cas , car des gens jettent des pierres sur eux jusqu'à casser les vitres de véhicule et toucher kim perce qu’elle porte un masque ,et jack veut les convaincrent que kim est du terrier , et elle ne naît pas comme autres masques . - Apres une conversation, enfin il réussit à les persuadaient ; alors eux ils décide d’aider kim à survivre, mais elle était presque primitive . Par le chagrin jack qui aime kim décide d’aller au terrier pour demander de l’aide espérons qu’il sauve kim , il réussit à porter de l’aide mais entrer dans le comas . Des années sont passées, kim se réveille, elle a su que jack à réaliser son rêve à sauver l’humanité car elle voie son fils jeune de la nouvelle génération.
Mon opinion :
• sa lecture était : moyenne • il me plait parce qu’il est écrit avec un vocabulaire simple et compréhensible • c’ est une histoire de fiction et en même temps une histoire d’amour. | |
| | | LORA Débutante
Nombre de messages : 27 Date d'inscription : 25/02/2008
| Sujet: Le résumé du roman « le petit prince » Mer 28 Mai - 17:09 | |
| Le résumé du roman « le petit prince » auteur « Antoine de saint – Exupery » Quand un petit garçon avait six ans , à découvert qu’il a un dans de dessiner , des animaux mais à chaque fois qu’il fait un dessin , il le montre au grandes personnes , et ses personnes saurant le décourage parce qu’ils ne rendre pas conte que c’est un petit enfant de six ans . Malgré le mauve jugement de ses personnes se petit enfant n’a pas perdu espoir al continu de s’exercer , afin d’améliorer ses dessins. Mais un jour il a décidé d’arrêter de dessiner et de faire un autre métier , par exemple piloter , un avion grâce au peu choses qu’il a étudies tel que le calcule , géographie … qu’il lui ont servis plus tard , il a voyagé dans différentes planètes . Mais soudainement son moteur a crevé quand il a décidé de poser son appareil volante sur le désert c’est a se moment la , qu’il a fait la connaissance de petit bon homme on le nom « petit prince » a force de le questionne , le petit enfant découvre que le petit prince vient d’une autre planète « astéroïde B612 » une planète quia une ressemblance avec une petite maison , quatrièmement l’aventurier constate des nouvelle choses conservant le petit prince . Il lui a parlé d’une fleur unique dans son genre dent il est tombé amereux est- ce – que son amour qu’il lui a posé à laisser sa planète et faire des connaissances des autres gens de déférant planète et le jour de jaune de petit enfant , approche la départ du petit prince et s’est son souhaite le plus cher de retrouver sa bien aimée sa rose , sa fleur adorée . | |
| | | Nor.el.yakine
Nombre de messages : 9 Date d'inscription : 03/03/2008
| Sujet: Resumé de livre de Jean Jacque Rousseau: "discours sur l'origine de l'inégalité". Jeu 29 Mai - 0:00 | |
| DISCOURS SUR l 'origine de l'inégalité . Jean-Jacques rousseau
Le discours est une théodicée.prolongeant et approfondissant la méditation du discours sur les sciences et les arts,Rousseau montre que le mal social est humain. Il est le premier à l'affirmer avec netteté et une audace dont les Robespierre et les saint- Just feront un programme révolutionnaire:ce que l'homme a fait,l'homm peut le défaire. Mais Rousseau est au plus loin de l'enthousiasme et de l'optimism des hommes de 1793.son pessimisme historiqu n'est en aucune manière contre balansé par la certitude heureuse d'un recomencement possible.sur ce point meme,il accumule les preuves ,démasque les apories de l'utopie:une fois la liberté perdue,nul peuple n'a la force de la reconquérir;qu'une révolution donne à un peuple asservi la liberté,grisé par elle, il en fera licence;c'est un peuple a des mœurs bonnes, les lois sont superflues,mais s' il les a mauvaise ,il sera tourner les plus sages lois .le mal est humain ;ce la ne veut pas dire qu'il n'est pas irrémédiable.tel est le sens des aphorismes qui donnent au discours sa couleur si noire. L'histoire est l'histoire d'un chute,mai l'homme est naturelement bon .on dira, avec Starodinski,qu'un obtimisme anthropologique contrebalance le pissimisme historique. L'age d'ore est celui des sociétés commencées,mais Rousseau, quoi qu'en ait dit voltaire,n'a jamais songé à recommender un retour aux temps patriarcaux .l'histoire est irréversible, et un homme civil, un mondain serait aussi malheureux dans la foret primitive qu'un bon sauvage parmi nous .C'est par une conversion infiniment plus adicale qu'il faut tirer partie de la bonté naturelle de l'homme .Rousseau a montré que la génealogie du mal social était complexe:elle est moins une succession d'invenions et d'institutions malheureuses qu'une alteration pogréssive des micanismes psychologiques .une folie qui dégrade l'homme subtilement immanquablement en corrompant l'amour, l'amitié et meme l'amour de soi.C'est de ce venin dont Rousseau entent preserver Emile.C'est en conservan ou en retrouvant sa& nature que l'homme se rend bon ,et non en retournant à l'état de nature .Ayant refeuser les fastes ,les masques de la fete des lumieres ,l'homme se retrouve ,comme Rousseau à l'époque des Reveries dans le calme des passions ,seul sans l'avoir voulu,en tout cas sans misanthropie,dans la société de la nature,dans l'amour de soi.Narcisse apaisé.de Voltaire qui lui reproche de vouloire jouer les caraibes ,Rousseau ne fait que rire.mai l'orsque Diderot conteste la possibilité d'un amour de soi qui ne soit pas un haine des hommes ,c'est dans son bonheur meme que Rousseau est atteint ,et il se fache. | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: T.P.E | |
| |
| | | | T.P.E | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |