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| T.P.E | |
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+41élla soleil Cerine toronfol adilla richy05 TISSA19 black-angel05 mari anna narcissique_manel salam sich viérge Hadilla fifi samontha Nor.el.yakine LORA Paradis Rose sally zahou kouza eclipse bouji jakarta Nivertiti rubi liza lady jasmin28 sarra papinate GRACIELLA salsabil lolitta morjana orkedia.ph princesse Massyl JAKAL 45 participants | |
Auteur | Message |
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samontha
Nombre de messages : 21 Date d'inscription : 21/03/2008
| Sujet: sept jours pour une éternité Jeu 29 Mai - 11:39 | |
| Lecteur : samontha Année : 28-02-1983 Batna Groupe : 03 Date : 03-mars-1983 Titre : sept jours pour une éternité Auteur : marc Lévy Édition : robert Laffont Année : 2003 Biographie : Né dans les Hauts-de-Seine, Marc Lévy quitte la France pour les Etats-Unis à vingt trois ans pour y fonder une société spécialisée dans l'image de synthèse. Il reste en Amérique du Nord, sa seconde patrie, pendant sept ans et revient à Paris avec le projet de créer un cabinet d'architecture avec deux de ses amis. Il en est directeur pendant près de dix ans. Aimant raconter des histoires, Marc Lévy se met à l'écriture en amateur. Finalement, il décide d'envoyer son manuscrit à plusieurs éditeurs et c'est les éditions Robert Laffont qui le contacteront. Son premier roman 'Et si c'était vrai...' est très bien accueilli par le public et la presse. Depuis, il se consacre à l'écriture et emmène le lecteur dans son univers où tout est possible Bibliographie : marc Lévy ; sept jours pour une éternité, édition:robert Laffont, Paris 2002 Thème central : le hasard fait le grand amour Thème secondaire :- l'ultime défi entre dieu et Lucifer -le bien et le mal Personnage principal : -Lucas ; le mal -Zofia ; le bien -Dieu -Lucifer Autres personnages : -Michæl -Manca -le contremaître -Mathilde -Thomas -Reine Personnage préféré :-Lucas ; le bel homme plein de charme en costume noir -Zofia; la belle femme douce et trop gentille Les plus beaux passages : * la rencontre de Lucas et Zofia à Fisher'S deli.page61 * le choc que zofia a eu en découvrant Lucas "le mal". Page 210-211 *Zofia est passée dire adieu à son amie mathilde. Page 277-278 *Lucas abondona zofia et lui laissa une lettre. Page 302-303 Petit aperçu Pour mettre un terme à leur éternelle rivalité, Dieu et Lucifer se sont lancé un ultime défi… Ils envoient en mission leur deux meilleurs agents… Lucas et Zofia auront sept jours sur terre pour faire triompher leur camp, décidant ainsi qui du Bien ou du Mal gouvernera les hommes... En organisant ce pari absurde, Dieu et Lucifer avaient tout prévu, sauf une chose... Que l’ange et le démon se rencontreraient… Résumé Depuis si longtemps le bien et le mal se disputent la terre. Dieu l'être suprême, le créateur et le conservateur de l'univers, et Lucifer ont lancé un ultime défi pour mettre fin à cette dispute. Pour cela ils ont envoyé deux agent sur terre, pour accomplir cette mission; une mission de sept jours. En choisissant leur deux meilleurs agents nommes zofia et lucas. Un de ces deux remportera la victoire pour que le bien ou le mal gouvernera l'homme pour l'éternité. En organisant ce pari dieu et Lucifer avaient tous prévu sauf la seule chose ; la rencontre des deux êtres * L'ange et le démon sont envoyés sur terre Lucas le bel homme en costume noir qui vivait à new York, se préparait pour partir à San Francisco, pour commencer son nouveau travail. En ce joli endroit, Lucas commença à créer des problèmes partout, en faisant du mal au grand et au petit. Contrairement à zofia qui vivait à San- Francisco et qui exerça son boulo en toute honnêteté. Cette dernière est une officier de sécurité aux docks. L'unique but de zofia était de protéger les dockers, pour qu'ils puissent travailler dabs des bonnes conditions. Zofia avait tat de chose à faire en dehors de son travail; elle devant rentrer tous les jours à 17:00h pour prendre son thé avec sa logeuse la vielle reine pour ne pas la laisser seule, juste après, elle devait rendre visite à l'hôpital pédiatrique pour voir thomas et lui raconta une de ses belle histoire, sans oubliant Mathilde sa meilleure amie qui travaillait à la contine du port ; c'est la meilleure serveuse de Fisher'S deli ; pour l'accompagner chez elle. Aussi plein d'autres choses à faire. Un beau jour zofia est allée comme d'habitude faire un tours au bar, de Fisher'S deli pour voir son amie, el là le hasard a joué son rôle; zofia croisa le fameux lucas. Ce dernier était tellement attiré par le charme de zofia et son visage angélique, il essaya de lui parler 1,2 .......et plusieurs fois, et il l'invita à prendre un verre avec lui. Face à son charme irrésistible, zofia finira par accepter son invitation. Voila le début de leur belle histoire; qui était strictement interdite. Lucas tombait fou amoureux de zofia et pour elle s'était l'homme de sa vie. Un jour Lucas découvrait que zofia était l'ange envoyé contre lui, et cela par l'intermédiaire de blaise; qui était responsable de la communication interne et externe. Le fameux Lucas était tellement déçu, mais il n'a pas pu garder le secret, pour lui c'était un juste de lui cacher la vérité. Durant le 5eme jours de la rencontre, Lucas avoua que c'est lui l'élite envoyé contre elle; en traçant le cercle du diable. Zofia le dévisagea et s'échappa en courant........mais toute cette malheureuse vérité n'a pas pu empêcher, Zofia et Lucas de s'aimer et de ne jamais séparer. La pauvre zofia faisait tout son possible pour être à ses cotes, mais Lucas savait que c'était de l'impossible, et aussi dieu les punirons pour cette erreur, qui était impardonnable. Alors Lucas a fait son possible pour protéger son unique amour, il s'est sacrifié pour elle; en la laissant sur terre et cela pour qu'elle puisse remporter la victoire....avant son départ Lucas laissa une lettre à zofia dont il a expliqué son comportement. " Zofia: Je te regarde dormir et dieu que tu es belle. Tu te retournes dans cette dernière nuit ou tu frissonnes, je te serre contre moi, je pose mon manteau sur toi, j'aurai voulu pouvoir en mettre un sur tous tes hivers. Tes traits sont tranquilles, je caresse ta joue, et, pour la première fois de mon existence, je suis triste et heureux à la fois. C'est la fin de notre moment, le début d'un souvenir sui durera pour moi l'éternité. Il y avait en chacun de nous tant d'accompli et tant d'inachevé quand nous étions réunis. Je partirai au levé du jour, je m'éloignerai pas à pas pour profiter encore de chaque seconde de toi, jusqu'à l'ultime instant. Je disparaiterai derrière cette arbre pour me rendre à la raison du pire. En les laissant m'abattre, nous sonnerons la victoire des tiens et ils te pardonneront. Quelques soient les offense. Rentre mon amour, retourne dans cette maison qui est la jeune et qui te va si bien. J'aurai voulu toucher les murs de ta demeure à l'odeur de sel, voir de tes fenêtres les matins qui se lèvent sur ces horizons, que je ne connais pas, mais dont je sais qu'ils sont les tiens. Tu as réussi l'impossible, tu as changé une part de moi. Je voudrais désormais que ton corps me couvre et ne plus voir la lumière du monde autrement que par le prisme de tes yeux. Là ou tu n'existe pas, je n'existe plus nos mains ensembles ont inventé une à dix doigts; la tienne en se posant sur moi devenait mienne, si justement que, lorsque tes yeux se fermaient je m'endormais. Ne sois pas triste personne ne pourra voler nos souvenirs,il ne suffit désormais de fermer mes paupières pour te voir,cesser de respirer pour sentir ton odeur,me mettre face au vent pour deviner ton souffle. alors écoute:oui que je sois, je devinerai tes éclats de rires,je verrai les sourires dans tes yeux,j'entendrai les éclats de ta voix .savoir simplement que tu es là quelque part sur cette terre sera,dans mon enfer,mon petit coin de paradis. Tu es mon bachert, Je t'aime Lucas" La fin de l'histoire je la laisse ouverte pour attirer votre attention chers lecteurs;et ce pour consulter le livre et en savoir plus. samontha | |
| | | fifi
Nombre de messages : 15 Date d'inscription : 03/03/2008
| Sujet: le seigneur des anneaux Jeu 29 Mai - 12:56 | |
| Tolkien JRR (1892-1973); écrivain britannique ne en Afrique du sud issu d'une famille anglaise. JOHN ROLAND REUEL TOLKIEN a fait des études en Leeds pour devenir professeur puis à Oxford ou il écrit deux ouvrages de philologie classique: vocabulaire du moyen anglais(1922)! GAuvin et le chevalier vert(1925). à partir de1936 il a commencé à écrire des ouvrages épiques inspiré par les moeurs et les mythes medievaux. Son premier livre BILBO LE HOBBIT(1937) un conte pour ses enfant puis la trilogie LE seigneur des anneaux (1954-1956). Sur le conte des fées( on fairy tales1938) Gilles de Ham,fremier en 1949. Presentation: Seigneur des anneaux,le (JRR Tolkien) The lord of the rings , cycle romanesque britannique de JRR Tolkien publié de 1954 à1956 est composé de trois parties la communauté de l'anneau; les deux tours, le retour du roi. Le recit d'une épopée féerique: Quand en1937,Tolkien écrit Bilbo le Hobbit pour le seul plaisir de ses enfants, il n'imagine pas que les aventures de ce petit personnage vont suciter un tel engoument avec le seigneur des anneaux l'auteur entreprend de conter la suite des peripeties de cet anneau magique decouvert par Bilbo et qu'il échoit à son neuveu Frodon . Sur l'injection du magicien Gandalf Frodon doit detruire l'anneau pour qu'il ne tombe pas entre les mains de Sauron,maitre du mal qui convoit le precieux objet pour achever de dominer le monde. Mais c'est seulement au coeur du royaume de Sauron, en Mordor que l'anneau peut etre detruit. Frodon accepte l'aventure et s'engage dans un perilleux voyage en compagnie de ses compagnons hobbits, et d'un representant de chacun des autres races qui peuples la terre du milieux: les elfes ,les nains les hommes. ensembles ils font la communauté de l'anneau après mille episodes qui les entenent à travers les lieux enchantés ou malifiques du monde imaginé par Tolkien. Les compagnons parviennent au but de leur quete en retablissant l'harmonie menacée par le seigneur des forces obscures. | |
| | | Hadilla
Nombre de messages : 13 Date d'inscription : 02/03/2008
| Sujet: Fiche de lecture: Roman de l'Etranger (Albert Camus) Jeu 29 Mai - 22:25 | |
| L’Etranger : Albert Camus Biographie : Albert Camus né le 07 Novembre 1913 à Mondovi en Algérie est mort le 07 Janvier 1960 à villeblevin dans l’Yonne, il était écrivain, auteur de pièce de théâtre et journaliste. Albert Camus n’a pas connu son père , il a passé son enfance avec sa mère en Algérie, sa santé ne lui permet pas d’accéder à une carrière universitaire, après une licence de philosophie , il devient un journaliste. Parmi ses principaux ouvrages : - Le Mythe de Sisyphe1942 - L’Etranger 1942 - La peste 1947 - La chute 1956 Théâtre : - Caligula, 1945 - Les Justes, 1949 Il a reçu le prix de Nobel en Octobre 1957. Présentation du roman : Auteur : Albert Camus Edition : Gallimard, 1957, N° d’édition 23087 Collection Folio, N° de page 189 L’Etranger est un roman d’Albert Camus, paru en 1942 , il fait parti du « cycle de l’absurde », il est composé d’un roman « étranger », d’un essaie « le mythe de Sisyphe » et d’une pièce de théâtre « Caligula » décrivant les fondements de la philosophie. L’Etranger illustre une forme de bonheur et du tragique, mais aussi l’absurdité, c'est-à-dire le silence du monde devant l’interrogation fondamentale de l’homme, réflexion philosophique que Camus approfondit. Les personnages :Le personnage principal du roman : meursault ( c’est aussi le narrateur.) Les autres personnages sont : Marie Cardona : Sa maitresse Raymond Sintès : Son voisin Le résumé : Tout commence avec la mort de sa mère. lorsqu’il se rend à Marengo pour l’enterrer. Meursault ignore qu’il entre dans l’absurde. Chacun de ses actes, et les motivations qu’on s’efforcera de leur donner, le conduira à l’échafaud. On l’accusera d’insensibilité : pourquoi avait-il mis sa mère dans un asile de vieillards ? Pourquoi n’as t-il pas pleuré au cimetière ? Les témoins deviendront demain des accusateurs : le directeur de l’asile, le concierge, Thomas Péres, un vieux compagnon de sa mère, tout simplement parce que Meursault ne partage pas leur émotions. Il ne sait pas encore qu’on est en train de faire de lui un « étranger ». Il vit out simplement sa vie de petit employé algérois, ave son patron, ave Marie qui l’aime, avec son copain Raymond qui l’entraînera dans une sale affaire. Il pourrait bien épouser Marie si elle le désire : au fond, c’est la même chose. Il n’éprouve pas les mêmes passions, mais il sait qu’elles existent. C’est le soleil qui, aveuglant Meursault sur cette plage ou le destin l’a conduit, sera le complice d’un meurtre absurde, gratuit. Il sera jugé pour tué un arabe qui ne lui avait rien fait. Mais son passé scruté par le juge différent des autres et déranger leur univers conventionnel. Ses actes les plus simples deviendront motivation insoupçonnées, préméditations, faisceau de preuves. On l’accuse là « d’avoir enterré sa mère avec son cœur criminel ». A mesure que cette trame contre lui le complot de la société, et qu’on tisse un destin qui n’est plus le sien, il se sent devenir étranger : « Mon sort se réglait sans qu’on prenne mon avis. » Il faudra l’imminence de la mort que, dans sa passion d’absolu et de vérité, il se mette à aimer la vie. Les cris de haine qu’il espère pour son exécution lui feront alors sentir qu’il n’était pas un étranger aux autres. | |
| | | viérge
Nombre de messages : 19 Date d'inscription : 03/03/2008
| Sujet: résumé de les misérable (Tome II : Cosette ) Ven 30 Mai - 17:23 | |
| Les Misérables est un roman de Victor Hugo paru en 1862.
Ce roman est l'une des œuvres les plus populaires de la littérature française et il a donné lieu à de nombreuses adaptations au cinéma. Victor Hugo rassemble dans cette œuvre contre le mal et pour la générosité tout ce qu'il a voulu dire sur l'homme. On peut voir ainsi une symétrie entre le bagnard Jean Valjean et Le Dernier Jour d'un condamné écrit par lui quelques années plus tôt. C'est un roman historique, social, philosophique dans lequel on retrouve les idéaux du romantisme et ceux de Victor Hugo. L'auteur lui-même ne se trompe pas sur l'importance du roman quand il écrit en mars 1862, à son éditeur Lacroix : « Ma conviction est que ce livre sera un des principaux sommets, sinon le principal, de mon œuvre »[1]. Soit, 1500 pages, que Victor Hugo écrivit sur papier bleu.
Victor-Marie Hugo, né le 26 février 1802 à Besançon et mort le 22 mai 1885 à Paris, est un écrivain, dramaturge, poète, homme politique, académicien et intellectuel engagé français considéré comme le plus important des écrivains romantiques de langue française.
Son œuvre est très diverse : romans, poésie lyrique, drames en vers et en prose, discours politiques à la Chambre des Pairs, correspondance abondante.
Il a contribué, tout comme Baudelaire, au renouvellement de la poésie et de la littérature.
Tome II : Cosette Dans ce tome, deux livres encadrent l'action, l'un est consacré à la bataille de Waterloo et l'autre à la vie monacale.
Victor Hugo aborde le second tome des Misérables par la bataille de Waterloo qui s'est déroulée 7 ans plus tôt. Le lien avec l'intrigue est très ténu : Les Thénardiers auraient sauvé le père de Marius à l'issue de cette bataille. Sous ce prétexte dramatique léger, Victor Hugo place là une réflexion qui lui tient à cœur sur la bataille de Waterloo, bataille qui voit la chute d'un personnage qu'il admire, Napoléon 1er. Depuis longtemps, Victor Hugo est hanté par cette bataille. Celle-ci lui inspirera le poème L'expiation du livre V des Châtiments. Il a refusé à plusieurs reprises de se rendre sur les lieux et c'est seulement en 1861 qu'il visite le champ de bataille et c'est là qu'il termine ce récit épique.
La Parenthèse (avant-dernier livre) que constitue la réflexion sur la vie monacale, la foi et la prière, pour surprenante chez un révolutionnaire comme Victor Hugo, se présente comme une profession de foi. Réquisitoire violent contre l'Église carcan, c'est aussi une apologie de la méditation et de la foi véritable. « Nous sommes pour la religion contre les religions. », précise Victor Hugo.
Le reste de ce tome est consacré à la traque de Jean Valjean. Victor Hugo met dans ce récit toutes ses qualités de romancier dramatique au service d'un suspense prenant, avec rupture de rythme, changement de focalisation. Alternance de période d'accalmie (avec Cosette à Montfermeil, puis à la maison Gorbeau.) et de poursuite haletante. Échappant à Javert à la fin du tome I, Jean Valjean est rattrapé à Paris mais a eu le temps de mettre de côté une forte somme d'argent. Envoyé aux galères, il s'en échappe, retourne chercher Cosette et s'installe à Paris dans la masure Gorbeau. Javert le retrouve et le poursuit la nuit à travers les rues de Paris. Jean Valjean ne trouve son salut que dans le couvent du petit Picpus sous la protection de M. Fauchelevent, un charretier dont il avait sauvé la vie à Montreuil sur Mer. Après un épisode dramatique de fausse inhumation, Jean-Valjean s'installe au couvent avec Cosette sous le nom d'Ultime Fauchelevent. Victor Hugo présente un Jean Valjean sublime : la chute ne lui a pas fait perdre les qualités morales qu'il possédait en tant que M. Madeleine : c'est en sauvant un matelot de la noyade qu'il s'échappe des galères; c'est à cause de sa générosité qu'il est repéré par Javert. On pourrait cependant reprocher à Victor Hugo des ficelles dramatiques un peu grosses : le croisement sur le champ de bataille de Thénardier et du père de Marius ou encore la rencontre miraculeuse et opportune de Jean Valjean et du père Fauchelevent. | |
| | | sich
Nombre de messages : 5 Date d'inscription : 17/03/2008
| Sujet: roman policier Ven 30 Mai - 18:24 | |
| Fiche de lecture : Roman policier Classe de 1ere LMD SICH Présentation sommaire du livre
Titre : Le mystère de la maison rouge Auteur : Jacqueline Mirande Editeur et année d’édition : Bayard, 1992 Genre : Roman policier (81 p.; 5 chap.)
Fiche détaillée
Cadre spatio-temporel :
L’intrigue se déroule dans le Lubéron (p.15), de nos jours. Marc est accueilli dans le mas de son « oncle » situé près d’une mystérieuse bastide rouge, pétrie de peurs anciennes et d’histoires de sorcellerie. La végétation du sud de la France est souvent décrite au cours du récit.
Narrateur :
L’auteur est le narrateur. Utilisation de la 3ème personne du singulier. Marc, héros principal, est le fil conducteur de l’histoire.
Personnages principaux :
• Marc : journaliste (p.9 et 12) de retour d’Asie. Sa curiosité va l’amener à essayer de résoudre le mystère qui entoure la Bastide rouge. Il est le « neveu » par adoption d’Elzéar, qui l’a recueilli (p.22). • Elzéar Lieutaud : oncle de Marc. Fouineur, au courant de toutes les histoires du village. Généreux, il accueille les enfants ou amis de ses 3 nièces dans son mas. Il est de surcroît fin cuisinier (p.27). • Mathieu Dormoy : Il se présente comme l’ami photographe de Cathy, nièce d’Elzéar (p.27). En réalité, il s’agit d’un inspecteur des stups dénommé Sauvy (p.49). • Laurent : fils aîné de Lucie, autre nièce d’Elzéar (p.20-25). Sous son arrogance d’adolescent se cache un grand cœur : il veut protéger les habitants de la bastide rouge, surtout Sita dont il est amoureux. • Sita : adolescente eurasienne, mystérieuse, que Marc rencontre furtivement à son arrivée dans le Lubéron. Elle entretient des liens très étroits avec Laurent. On apprendra qu’elle est la fille adoptive de Ray Muller, alias François Vernet (p.77). • Ray Muller : Se dit peintre. En réalité, c’est un ingénieur qui vient du Cambodge où sa femme et ses deux fils ont été tués par les hommes du truand Tuan-Doc. Il a adopté Sita qui se trouvait dans la même jonque que lui. Son vrai nom est François Vernet.
Résumé de l’histoire : Dès son arrivée dans le mas de son oncle dans le Lubéron, Marc note que la bastide rouge qu’il connaît depuis son enfance est habitée. Intrigué, il en fait part à son oncle Elzéar qui semble alors inquiet. Il rencontre ensuite Laurent, fils d’une des nièces d’Elzéar qui l’interpelle par son attitude agressive et sur la défensive. Pourquoi protège-t-il avec acharnement les habitants de la bastide rouge ? (chap.1). Le lendemain de son arrivée, Elzéar indique à Marc que d’étranges événements ont troublé la nuit, rapportés par La Fadette, vieille femme du village, qui croît à des phénomènes paranormaux et à de la magie noire : l’asiatique occupant la bastide rouge avec une adolescente nommée Sita et un mystérieux peintre, aurait installé des torches aux quatre coins de la combe et autour de la statue d’une sirène (p.32). Marc décide de se rendre sur les lieux la nuit suivante et observe les phénomènes décrits par La Fadette (chap.2). Le chap.3 est déterminant : Marc y apprend que le photographe que loge Elzéar, Mathieu Dormoy, passant la plupart de ses nuits près de la bastide rouge, est en réalité un inspecteur des stups. Il soupçonne l’oncle de Sita, un peintre dénommé Ray, d’héberger un trafiquant thaïlandais, Tuan-Doc (p.52). Laurent dément avec ardeur l’implication de Ray dans un tel trafic. Marc décide alors de partir à la rencontre du peintre qu’il pense reconnaître : serait-ce François Vernet, rencontré au Cambodge, qui dénonçait le régime de Pol Pot à l’époque ? Ray nie. Marc part bredouille et se fait assommer près de sa voiture. Entre-temps, Dormoy disparaît. Ne sont retrouvées que sa voiture en piètre état et sa montre. Marc et Laurent émettent plusieurs hypothèses : Ray, alias François, serait le père de Sita et voudrait venger la mort de sa femme, tuée par Tuan-Doc, en le faisant venir à la bastide rouge pour l’éliminer (chap.4). Pour en avoir le cœur net, ils se rendent à la bastide. Laurent montre à Marc un passage secret menant à la sculpture de la sirène. Ils y pénètrent mais sont interceptés par Tuan-Doc. François Vernet, présent également sur les lieux, simule sa complicité avec le truand et profite d’un moment d’inattention pour l’abattre, juste avant que Dormoy, inspecteur des stups, n’arrive avec ses collègues policiers. Il s’était fait passer pour un photographe pour ne pas éveiller les soupçons et avait mis en scène sa propre mort. François Vernet avoue le fin mot de l’histoire : ingénieur au Cambodge, il a adopté Sita après la mort de sa femme et de ses deux fils tués par les gorilles de Tuan-Doc. Ayant soif de vengeance, il attire le truand dans ses filets en lui proposant d’utiliser la bastide rouge comme plaque tournante de son trafic de drogue et comme laboratoire clandestin, pour mieux l’assassiner.
Critique du livre
L’intrigue est bien menée, mêlant croyances populaires (cf. peurs de La Fadette devant le événements nocturnes se déroulant à la bastide rouge, les assimilant à de la magie) et trafic de drogue. Les personnages sont complémentaires, tour à tour mystérieux (Sita, Ray et Dormoy), intègres (Laurent) et moteurs de l’histoire (Marc, Laurent et Dormoy). Cependant, les descriptions fréquentes de paysages pourraient agacer quelques lecteurs, ralentissant la dynamique du récit. | |
| | | salam
Nombre de messages : 1 Date d'inscription : 10/03/2008
| Sujet: Fiche De Lecture roman " Guerre Et Paix" Ven 30 Mai - 18:48 | |
| fiche De Lecture roman " Guerre Et Paix" Léon Tolstoï. La Guerre et la Paix ou Guerre et Paix (Война и мир) est un roman de Léon Tolstoï. Publié entre 1865 et 1869 dans Russkii Vestnik, un périodique de l’époque, ce livre narre l’histoire de la Russie à l’époque de Napoléon (notamment les guerres napoléoniennes en Russie). La richesse et le réalisme de ses détails ainsi que ses nombreuses descriptions psychologiques font qu’il est souvent considéré comme un roman majeur de l’histoire de la littérature. Tolstoï y développe une théorie fataliste de l’histoire, où le libre arbitre n’aurait qu’une importance mineure et où tous les évènements n’obéiraient qu’à un déterminisme historique inéluctable. Guerre et Paix a engendré un nouveau genre de fiction. Bien qu’aujourd’hui considéré comme un roman, cette œuvre a cassé de si nombreux codes du roman de son époque que de nombreux critiques ne le considérèrent pas comme tel. Tolstoï considérait lui-même Anna Karénine (1878) comme sa première tentative de roman, au sens que les Européens l’entendaient. Guerre et Paix fut à l’époque de sa publication un immense succès, bien que Tolstoï ne s’y attendît pas. Tolstoï confia à son ami Afanasi Fet qu’il s’attendait à ce que cette œuvre passe inaperçue 1. Titre Une légende urbaine affirme que le sens réel du titre serait La Guerre et le Monde. Les mots "paix" (avant 1918 : "миръ") et "monde" (avant 1918 : "мiръ", en incluant le sens de la vie en société) étaient effectivement des homonymes en russe, s'écrivant de façon identique depuis la réforme orthographique russe de 1918. Cependant, Tolstoï traduisit lui-même le titre en français La Guerre et la Paix. En fait, Tolstoï trouva tardivement ce titre en s'inspirant d'un ouvrage du théoricien anarchiste socialiste français Pierre Joseph Proudhon (La Guerre et la Paix, 1861), qu'il rencontra à Bruxelles en 1861, mais dont il ne partageait pas les idées. Synopsis L'immensité de l'œuvre la rend très difficile à résumer de façon claire et concise. De plus, l'auteur parsème son récit de nombreuses réflexions personnelles qui tendent à casser le rythme de la lecture. L'action s'étale de 1805 à 1820, bien qu'en réalité, l'essentiel du récit se concentre sur quelques moments clés : la guerre de la troisième coalition (1805), la paix de Tilsitt (1807) et enfin la campagne de Russie (1812). On aurait tort, cependant, de croire que Guerre et Paix ne traite que des relations franco-russes de l'époque. Outre les batailles de Schoengraben, d'Austerlitz et de Borodino, Tolstoï décrit avec beaucoup de soin et de précision les milieux nobles de la Russie tsariste, abordant de nombreux sujets alors en vogue : la question du servage, les sociétés secrètes, et bien entendu la guerre. Les personnages de Guerre et Paix sont si abondants et richement détaillés qu'il est difficile d'y trouver un "héros", néanmoins le plus récurrent est très certainement Pierre Bézoukhov. Personnages principaux Koutouzov, à la bataille de Borodino. Napoléon Bonaparte
• Pierre Bézoukhov • Natacha Rostova • André Bolkonski • Marie Bolkonskaia • Nicolas Rostov • Sonia Rostova • Napoléon • Koutouzov • Nicolas Bolkonski • Hélène Kouraguine • Anatole Kouraguine • Basile Kouraguine Résumé
Première partie. 1805, lors d'une soirée à Saint-Pétersbourg, se croisent Pierre (revenu d'Europe), le prince Basile Kouraguine et ses enfants, Hélène et Hippolyte, le prince André Bolkonsky et sa femme Lise, enceinte. Cette soirée est l'occasion pour Pierre et André de renouer leur amitié. Pierre fréquente également la jeune noblesse militaire à la vie dissolue, en particulier les noceurs Anatole Kouraguine et Dolokhov. A Moscou, le comte Bézoukhov, à l'agonie, fait l'objet de l'attention de ses héritiers potentiels, dont le prince Basile. Grâce à une parente, Anna Mikhailovna, Pierre, fils illégitime du comte, assiste à sa mort et hérite de toute sa fortune. Il devient un "parti" en vue, se met à fréquenter le monde et la singulière famille Rostov. La Russie se prépare à la guerre contre Napoléon au côté des Autrichiens. Le prince André, décidé à rejoindre l'armée, laisse sa femme Lise au soin de son père, le sévère et coléreux Nicolas Andréiévitch, et de sa sœur, la douce et spirituelle princesse Marie. Le jeune Nicolas Rostov abandonne ses études pour s'engager au côté de son ami Boris Doubetskoi, au grand dam de Sonia sa tendre cousine et de Natacha, sa toute jeune sœur. Deuxième partie. A Braunau, en Autriche le commandant en chef Koutouzov passe en revue un régiment où se trouve Dolokhov, dégradé. André Bolkonsky est un aide de camp de Koutouzov zélé et observateur. Aspirant hussard, Nicolas Rostov se lie avec son supérieur Denissov. On apprend la défaite du général autrichien Mack et la capitulation de son armée à Ulm. Koutouzov et l'armée russe se replient derrière Vienne, talonnés par la Grande armée de Napoléon. Après une victoire à Krems, le prince André est chargé de la nouvelle à la cour autrichienne en exil, qui, indifférente à cette victoire russe, déçoit Bolkonsky. Par ruse les français emmenés par Murat passent le pont de Thabor et menacent la jonction des deux armées. Koutouzov envoie le détachement du général Bagration en barrage, pour emmener le plus gros de l'armée vers la jonction. Mais, par une erreur d'appréciation de Murat, la bataille ne s'engage pas directement et, malgré de lourdes pertes, Bagration parvient à rejoindre Koutouzov. Nicolas Rostov est blessé, tandis que le prince André se désillusione du pouvoir. Troisième partie. A Saint-Pétersbourg, grâce à son habileté, le prince Basile fait épouser sa fille, la sensuelle et superficielle Hélène à Pierre Bézoukhov, pourtant réticent mais faible. Fier de ce succès, il désire faire de même avec son fils Anatole, jouisseur impénitent, et Marie Bolkonsky. Il l'emmène à Lyssya Gory, demeure provinciale des Bolkonsky. Mais si Lise, la femme d'André est ravie, ils se heurtent à l'hostilité du vieux prince. D'abord subjuguée, Marie surprend le bel Anatole dans les bras de sa dame de compagnie, Mademoiselle Bourienne, et refuse le mariage. A Moscou, les Rostov reçoivent une lettre de Nicolas, promu officier. A Olmütz, où campe l'armée, celui-ci revoit Boris et rencontre le prince André. Cette dernière rencontre manque de dégénérer en duel, la froide prestance d'André a raison du caractère sanguin de Nicolas. Les empereurs russe et autrichien passent les troupes en revue, Rostov voue au tsar une admiration sans bornes. L'offensive contre Napoléon est décidée, contre l'avis de Koutouzov. Le plan compliqué du général Weirother est adopté, malgré les oppositions. La nuit, dans le camp d'en face, on acclame Napoléon. Le lendemain, c'est la bataille d'Austerlitz et l'écrasement des armées russes et autrichiennes. Rostov assiste à la faiblesse de caractère du tsar, sans renier pourtant son dévouement. Le prince André est grièvement blessé dans une charge héroïque ; couché sur le champ de bataille, il est ému par la beauté du ciel. Plus tard il voit Napoléon et ses troupes, puis est laissé pour mort au soin de la population. (benabbes zineb g:01) | |
| | | narcissique_manel
Nombre de messages : 3 Date d'inscription : 26/03/2008
| Sujet: mon TPE Ven 30 Mai - 22:01 | |
| BIOGRAPHIE :
Née à Paris, Jeanne Bourin a suivie ses études au lycée Victor-Duruy, puis elle a préparé une licence de lettres et une licence d’histoire à la Sorbonne. Elle est mariée à André Bourin, journaliste, critique littéraire, producteur de radio et de télévision. Elle est mère de trois enfants. Elle est décédée mercredi à l'âge de 81 ans de mort naturelle
Résumé : Le Jeu de la tentation est le second volet de la chronique familiale des Brunel, marchands et artisans, vivant en Ile-de-France, en ce XIIIème siècle rayonnant que Jeanne Bourin a su merveilleusement ressusciter. Nous sommes en juin 1266, le dernier bel été du règne de saint Louis. Marie, la plus jeune fille des Brunel, est veuve depuis deux ans et mère attentionnée de deux enfants, Viven et Aude. Elle a vingt-sept ans, un métier qu'elle adore, enlumineresse, et un amant fougueux, Côme Perrin, maître mercier. Mais Marie est déchirée entre son amour maternel et son penchant pour Côme. De plus, trois Lombards, truands et criminels, font peser sur sa famille une terrible menace. Dans cette période encore paisible, le destin des Brunel préfigure les malheurs qui vont s'abattre sur le royaume. Sous le regard d'Aude, la propre fille de Marie, commence alors le jeu de la tentation : argent, luxure, violence, désespoir, mort, et jusqu'à la sainteté et au martyre. | |
| | | anna
Nombre de messages : 2 Date d'inscription : 10/03/2008
| Sujet: le naufrage du titanic Sam 31 Mai - 12:28 | |
| le naufrage du titanic
Résumé: Ce fut le Mercredi 10 Avvril1912 que le Titanic dénommé "le vaisseaude rève" s'apprètait à entamer son voyage inaugural vers l'Amérique.Ce fut le plus grand et le plus beau navire de tous les temps.Certains le consedéraient mème comme le symbole de la modernité et le plus haut degré de la technologie.Ce lourd édifice qui allait traverser pour la première fois l'Atlantique avait à son bord 2210 voyageurs,scindés en 3 classes,suivant les conditions sociales de chacun d'eux.Il flottait majestueusement pendant 5 jours jusqu'au moment ou le drame arriva.Le Avril 1912,le Titanic heurta,dans la nuit un iceberg.Les 2210 personnes à bord "paquebot de rève" furent contraintes d'écourter leur périple.Deux heures après cetaccident,le paquebot de lux considédé insubmersible par ses concepteurs,coula.De tous ceux qui s'étaient embarqués joyeusement:millionnaires,émigrants,officiers et marins,il ne restait que 711 survivants,et 1490 personnes disparuent dans les eaux glacées de l'Atlantique Nord. | |
| | | mari
Nombre de messages : 5 Date d'inscription : 09/03/2008
| Sujet: Re: T.P.E Sam 31 Mai - 12:49 | |
| Biographie Abdelkader Harichane est l'un des journalistes obstiné, intraitable qui ont refusé de quitter leur pays pendant les années difficiles. Témoin d'une situation unique, il raconte des faits en empruntant les chemins tortueux de l'écriture romanesque par une histoire à la fois pénible, et passionnante, par un mouvement de vibrations qui ne laisse aucun lecteur indifférent. Il a déjà publié le F I S & le Pouvoir , un livre utile , qui a connu un grand succès. Description des éléments péri textuels L'Auteur : Abdelkader Harichane. Le Titre : Le Soleil s'est Taché de sang. Edition : l'Artisan. La couverture du roman donne l'impression d'une image triste, violente . La fumé qui monte des arbres qui brulent , des silhouettes armées , le sang qui coule , le noir et le rouge les couleurs qui apparaissent sur la couverture. Rapport genre Avant de lire ce roman , je peux dire que l'histoire raconte une guerre , qui détruit tout sur son passage. L'être humain, les animaux, les arbres, les plantes, ainsi que Les infrastructures. J'imagine que la terre est inondé de sang, Jusqu'à dire que le soleil est taché de sang. Le Résumé ( Le Synopsis ) L' Auteur raconte ce qui ce passe dans la ville de Boukhadra, Les assassins des journalistes , des citoyens , des gendarmes , des policiers et des militaires . La peur règne dans la ville de Boukhadra et ses alentours. La souffrance des familles qui vivent à Boukhadra ainsi que le journaliste. Hamdane et ses proches qui parlent de la torture, le viol. L' unique violence devient la monnaie courante, et comment ? Hamdane ce trouve dans cet engrenage en voulant faire un reportage Sur la violence des terroristes . Alors que lui même devient un terroriste malgré lui. Après avoir tenté de monter à la montagne rejoindre les terroristes pour faire son reportage . L'auteur nous raconte comment ce dernier assassine les citoyens, tandis que ses proches, ses amies ont tenté de le retrouver, il est porté disparu , il fait son apparition , et qu'il est bien vivant, mais devenu terroriste sans le savoir parce qu' il est inconscient de ce Qu' il fait . Aussi l'histoire du Cheikh Mahdjoub qui vit en montagne avec les terroristes, et comment vivent ces derniers? la vie des gitons, les accrochage qui ont eu lieu à quelques Kilomètres de son repaire, raconte son aventure avec les terroristes et comment ils ont fait les faux barrages . Horizon d' attente Après ma lecture du roman , j' ai trouvé que l' histoire racontée Est identique par rapport à ce que je m'attendais. | |
| | | black-angel05
Nombre de messages : 37 Age : 38 Date d'inscription : 02/04/2008
| Sujet: les fées Sam 31 Mai - 16:46 | |
| Charles Perrault, né le 12 janvier 1628 à Paris où il est mort le 16 mai 1703, est un homme de lettres français, resté célèbre pour ses Contes de ma mère l’Oye. Charles Perrault est né dans une famille bourgeoise, de Pierre Perrault et Paquette Le Clerc. Dernier d’une famille de sept enfants1, il perd à 6 mois son frère jumeau François. Son père, originaire de Tours, était parlementaire à Paris. Frère de l’architecte et scientifique Claude Perrault, il fait des études littéraires brillantes au collège de Beauvais à Paris dont il raconte, dans ses Mémoires, qu’y étant élève de philosophie, il quitta la classe à la suite d’une discussion avec son professeur, en compagnie d’un de ses camarades. Tous deux décidèrent de ne plus retourner au collège, et ils se mirent avec ardeur à la lecture des auteurs sacrés et profanes, des Pères de l’église, de la Bible, de l’histoire de France, faisant de tout des traductions et des extraits. C’est à la suite de ce singulier amalgame de libres études qu’il mit en vers burlesques le sixième livre de l'Énéide et écrivit les Murs de Troie ou l’Origine du burlesque. Reçu avocat en 1651 après avoir obtenu sa licence de droit, il s’inscrit au barreau mais, s’ennuyant bientôt de « traîner une robe dans le Palais », il entre en qualité de commis chez son frère qui était receveur général des finances. Bras droit de Colbert, il est chargé de la politique artistique et littéraire de Louis XIV en 1663 en tant que secrétaire de séance de la Petite Académie, puis en tant que contrôleur général de la Surintendance des bâtiments du roi. Dès lors, Perrault usa de la faveur du ministre au profit des lettres, des sciences et des arts. Il ne fut pas étranger au projet d’après lequel des pensions furent distribuées aux écrivains et aux savants de France et d’Europe. Les Fées Il était une fois une veuve qui avait deux filles ; l'aînée lui ressem¬blait si fort et d'humeur et de visage, que qui la voyait voyait la mère. Elles étaient toutes deux si désagréables et si orgueilleuses qu'on ne pouvait vivre avec elles. La cadette, qui était le vrai portrait de son Père pour la douceur et pour l'honnêteté1, était avec cela une des plus belles filles qu'on eût su voir. Comme on aime naturellement son semblable, cette mère était folle de sa fille aînée, et en même temps avait une aversion effroyable pour la cadette. Elle la faisait manger à la cuisine et travailler sans cesse. puiser de l'eau à une grande demi-lieue du logis, et qu'elle en rapportât plein une grande cruche. Un jour qu'elle était à cette fontaine, il vint à elle une pauvre femme qui la pria de lui donner à boire. « Oui-dà, ma bonne mère », dit cette belle fille ; et rinçant aussitôt sa cruche, elle puisa de l'eau au plus bel endroit de la fontaine, et la lui présenta, soutenant toujours la cruche afin qu'elle bût plus aisément. La bonne femme, ayant bu, lui dit : « Vous êtes si belle, si bonne, et si honnête, que je ne puis m'empêcher de vous faire un don (car c'était une fée qui avait pris la forme d'une pauvre femme de village, pour voir jusqu'où irait l'honnêteté de cette jeune fille). Je vous donne pour don, poursuivit la fée, qu'à chaque parole que vous direz, il vous sortira de la bouche ou une fleur, ou une pierre précieuse. » Lorsque cette belle fille arriva au logis, sa mère la gronda de revenir si tard de la fontaine. « Je vous demande pardon, ma mère, dit cette pauvre fille, d'avoir tardé si longtemps » ; et en disant ces mots, il lui sortit de la bouche deux roses, deux perles, et deux gros diamants. « Que vois-je là ! dit sa mère tout étonnée je crois qu'il lui sort de la bouche des perles et des diamants ; d'où dent cela, ma fille? » (ce fut là la première fois qu'elle l'appela sa fille). La pauvre enfant lui raconta naïvement tout ce qui lui était irrivé, non sans jeter une infinité de diamants. « Vraiment, dit la mère, il faut que j'y envoie ma fille ; tenez, Fanchon, voyez ce qui sort de la bouche de votre sœur quand elle parle ; ne seriez-vous pas bien aise d'avoir le même don? Vous n'avez qu'à aller puiser de l'eau à la fontaine, et quand une pauvre femme vous demandera à boire, lui en donner bien honnêtement. Il me ferait beau voir, répondit la brutale, aller à la fontaine. Je veux que vous y alliez, reprit la mère, et tout à l'heure. » Elle y alla, mais toujours en grondant. Elle prit le plus beau flacon d'argent qui fût dans le logis. Elle ne fut pas plus tôt arrivée à la fontaine qu'elle vit sortir du bois une dame magnifiquement vêtue qui vint lui demander à boire : c'était la même fée qui avait apparu à sa sœur, mais qui avait pris l'air et les habits d'une princesse, pour voir jusqu'où irait la malhonnêteté de cette fille. « Est-ce que je suis ici venue, lui dit cette brutale orgueilleuse, pour vous donner à boire? Justement j'ai apporté un flacon d'argent tout exprès pour donner à boire à Madame ! J'en suis d'avis, buvez à même si vous voulez. Vous n'êtes guère honnête, reprit la fée, sans se mettre en colère ; hé bien ! puisque vous êtes si peu obligeante, je vous donne pour don qu'à chaque parole que vous direz, il vous sortira de la bouche ou un serpent ou un crapaud. » D'abord que sa mère l'aperçut, elle lui cria : « Hé bien, ma fille ! Hé bien, ma mère ! lui répondit la brutale, en jetant deux vipères, et deux crapauds. O ciel ! s'écria la mère, que vois-je là? C'est sa sœur qui en est cause, elle me le paiera » ; et aussitôt elle courut pour la battre. La pauvre enfant s'enfuit, et alla se sauver dans la forêt prochaine. Le fils du Roi qui revenait de la chasse la rencontra et la voyant si belle, lui demanda ce qu'elle faisait là toute seule et ce qu'elle avait à pleurer. « Hélas ! monsieur, c'est ma mère qui m'a chassée du logis. » Le fils du roi, qui vit sortir de sa bouche cinq ou six perles, et autant de diamants, la pria de lui dire d'où cela lui venait. Elle lui conta toute son aventure. Le fils du roi en devint amoureux, et considérant qu'un tel don valait mieux que tout ce qu'on pouvait donner en mariage à une autre, l'emmena au palais du roi son père, où il l'épousa. Pour sa sœur, elle se fit tant haïr, que sa propre mère la chassa de chez elle ; et la malheureuse, après avoir bien couru sans trouver personne qui voulût la recevoir, alla mourir au coin d'un bois | |
| | | TISSA19
Nombre de messages : 4 Date d'inscription : 03/03/2008
| Sujet: la bourgeoise de tours Sam 31 Mai - 16:50 | |
| Marguerite de Navarre est appelée également Marguerite de Valois1, Marguerite d’Angoulême ou Marguerite de France1. Elle est née le 11 avril 1492 à Angoulême et est morte le 21 décembre 1549 à Odos-en-Bigorre. Elle joue un rôle capital au cours de la première partie du XVIe siècle : elle exerce une influence profonde en diplomatie, elle manifeste un certain intérêt pour les idées nouvelles et encourage les artistes tant à la Cour de France qu'à Nérac. Elle est aussi connue pour être, après Marie de France, la première femme de lettres française
LA BOURGEOISE DE TOURS Ce propos fut mené en telle contrariété d'opinions, que pour en avoir certaine résolution, chacun condécendit* à l'auis de ma Dame Oysille, laquelle trouuant la compagnie plus attentiue et préparée à ouyr quelque chose de nouueau que jamais ne l'auoit veue, pria Dagoncin user de son commandement. Ce qu'il feit2 et donna sa voys à Longarine, laquelle luy dit : Vous me faites grand plaisir, car j'ai un conte qui est digne de suyure le votre. Or puisque nous sommes à louer la vertueuse patience des Dames, je vous en montrerai une plus louable que celle de laquelle a été présentement parlé. Et de tant plus est elle à estimer, qu'elle étoit femme de ville, dont coutumiérement les femmes ne sont si vertueusement maryées que les autres. En la ville de Tours y auoit une bourgeoise belle et honnette, laquelle pour ses vertus étoit non seulement aymée, mais crainte et estimée de son mary. Si est ce que suyuant la fragilité des hommes, qui s'ennuyent de bon pain manger, fut amoureus d'une métaise qu'il auoit. Et souuent s'en partoit de Tours, pour aler visiter sa métairie, où il demeurait tousiours deus ou troys jours. Et quand il retournoit à Tours, il étoit ordinairement si morfondu, que sa pauure femme auoit assez à faire à le guérir. Et si tôt qu'il étoit guéry, ne failloit point de retourner au lieu, où pour le plaisir oublyoit tous ses maus. Sa femme qui sur tout aymoit sa santé et sa vie, le voyant coutumiérement reuenir en si mauuais état, s'en ala à la métairie où elle trouua la june femme que son mary aymoit, à laquelle sans colère, mais d'un tresgracieus visage dit qu'elle sçauoit bien que son mary la venoit voir souuent, mais qu'elle n'étoit contente de ce qu'elle le traitoit si mal, qu'il s'en retournoit tousiours mor¬fondu en la maison. La pauure femme tant pour la réuérence de sa Dame, que pour la force de la vérité, ne luy peut dénier le fait, duquel elle luy requit pardon. La Dame voulut voir le lyt et la chambre où son mary couchoit, qu'elle trouua si froide, sale et mal en point, qu'elle en eut pitié. Incontinent enuoya quérir un bon lyt garny de linceulz, mante et contrepointe, selon que son mary l'aymoit, feit acoutrer et tapisser la chambre, luy donna de la vaisselle honnette pour le seruir à boire et à manger, une pipe de bon vin, des dragées et des confitures, et pria la métaise de ne luy renuoyer plus son mary si morfondu. Le mary ne tarda guéres qu'il n'alat comme il auoit accoutumé voir sa métaise, et s'émerueilla for de trouuer son pauure logis si bien en ordre, et encores plus quand elle luy donna à boire dans une coupe d'argent, et luy demanda d'ond étoient venuz tant de biens. La pauure femme luy dit en pleurant que c'étoit sa femme qui auoit tant de pitié de son mauuais traitement, qu'elle auoit ainsi meublé sa maison, luy recommandant sa santé. Luy, voyant la grand' bonté de sa femme, et que pour tant de mauuais tours qu'il luy auoit faitz, elle luy rendoit tant de biens, estimant sa faute aussi grande que le tour qu'elle luy auoit fait, honneste, après auoir donné argent à sa métaise, la priant pour l'auenir vouloir viure en femme de bien, s'en retourna vers sa femme, à laquelle il confessa la dette, et que sans le moyen de cette grand' douceur et bonté, il étoit impossible qu'il eut jamais laissé la vie qu'il menoit. Et depuis vécurent en bonne pais, laissans entièrement la vie passée. Croyez mes Dames, qu'il y a bien peu de marys, que patience et amour de la femme ne puissent gangner à la longue, ou ilz sont plus durs que pierres, que l'eaue foible et mole par succession de tems vient à cauer. Voylà, dit Parlamente, une femme sans cueur, sans fiel et sans foye. Que voulez vous, dit Longarine, elle expérimentoit ce que Dieu commande : de faire bien à ceus qui font mal3. Je pense, dit Hircain, qu'elle étoit amoureuse de quelque Cordelier qui luy auoit donné en pénitence de faire si bien traiter son mary aus chams, que ce pendant qu'il iroit, elle eut loysir de le bien traiter en la ville. Or çà, dit Oysille, vous montrez bien la malice de votre cueur, qui d'un bon acte fait un mauuais jugement. Je croi plus tôt qu'elle étoit si ame de son mary. Il me semble, dit Symontaut, qu'il auoit plus d'occasion de retourner à sa femme, quand il auoit froid à sa métairie, que quand il y étoit si bien traité. A ce que je voi, dit Saffredan, vous n'ettes pas de l'opinion d'un riche homme de Paris, qui n'eut sceu laisser son accoutrement quand il étoit couché auec sa femme, qu'il n'eut été morfondu, mais quand, au cueur de l'hiuer, il aloit voir sa chambrière en la caue sans bonnet et sans sou mortifiée en l'amour de Dieu, qu'elle ne se soucyoit plus que du salut de l'liers, il ne s'en trouuoit jamais mal, et si étoit sa femme bien for belle, et sa chambrière merueilleusement laide. N'auez vous pas oy dire, dit Géburon, que Dieu ayde tousiours aus folz, aus amoureus et aus yurongnes? Peut ettre que cettuy la étoit luy tout seul les troys ensemble. Par cela, dit Parlamente, voudriez-vous conclure que Dieu nuyroit aus sages, aus chastes et aus sobres ? Ceus, dit Géburon, qui par eus mesmes se peuuent ayder, n'ont point besoin d'ayde. Car celuy qui a dit qu'il étoit venu pour les malades, et non point pour les sains, est venu par la loy de miséricorde secourir à noz infirmitez, rompant les arrestz de la rigueur de sa justice4. Et qui se cuyde sage, est fol deuant Dieu | |
| | | richy05
Nombre de messages : 1 Date d'inscription : 31/05/2008
| Sujet: L 'enfant né d'une plante Sam 31 Mai - 17:00 | |
| L 'enfant né d'une plante
Autrefois, vivait quelque part en Afrique, une très belle femme tellement belle que les fleurs la jalousaient. Malgré ce précieux don, cette femme était souvent triste. La raison ? Elle était toute simple:elle ne peut enfanter. Elle ne peut enfanter. Elle avait consulté tous les féticheurs et les guérisseurs de la région et avalé toutes sortes d'herbes réputées pour être miraculeuses, mais sans résultat. Un jour, alors qu'elle se promenait dans la forêt, son regard rêveur de femme frustrée se fixa sur un igname et ne put s'empêcher de s'exclamer dans un soupir de désespoir :" Ah ! Igname ! si seulement tu pouvais devenir un bébé!" A peine avait-elle prononcer ces paroles que la plante tropicale se transforma en un beau petit garçon qui s'était aussitôt mis a parler :"Tu voulais un enfant, mère, me voici !" Revenant de sa surprise, la jeune femme prit l'enfant dans ces bras l'embrassa bien fort et se mit à sauter et à crier de joie :"j'ai un enfant ! j’ai un enfant !" Quand elle se fut enfin calmé, l'étrange enfant lui déclara: -Je suis content d'être un enfant, mère, mais hélas! Il est possible que je redevienne une plante comme avant. N'y a-t-il rien que je puisse faire pour que tu restes toujours mon fils bien aimé?- Si - Quoi?- -Personne ne doit apprendre la vérité à mon sujet et personne ne doit prononcer le mot" Igname" devant moi. Si cela venait à se produire, je redeviendrai aussitôt une plante comme avant, que n'importe quel passant pourrait manger. -Je te promets que personne ne saura comment tu es né et je ferai tout pour que personne ne prononce le nom qui rappelle ce que tu avais été! Beaucoup de temps s'écoula. La jeune femme sut tenir sa langue et garder son fils auprès d'elle. Ce dernier était devenu alors un beau jeune homme. Un jour, il attrapa un oiseau dans un des nombreux pièges qu'il s'amusait à tendre tout autour de la lutte qu'il habitait avec sa mère, or cet oiseau –là avait été, autrefois, témoin de la fameuse métamorphose, et pour échapper à l'adolescent il n'hésita pas à lui dire d'un air moqueur: "Quelle honte! Se faire piéger par un jeune homme qui n'est en réalité qu'un vulgaire igname!" Et aussitôt, le bel adolescent retrouva sa forme végétale initiale. Lorsque sa mère découvrait un igname émergeant du sol à un endroit où il n'y avait que des cailloux quelques instants plus tôt, elle sut que c'était son fils. Alors les larmes aux yeux, elle construisit une hutte tout prés de lui pour lui tenir compagnie et pour éviter qu'il soit mangé par quelque passant affamé.
Lorsque d'aventure, quelqu'un s'en approchait, elle lui jetait des pierres en hurlant:"Éloigne de mon fils. Tout le monde l'avait prise pour une folle. Cette femme avait perdu un enfant qui n'était en réalité qu'une plante et elle en avait perdu la raison…Qu'aurait elle fait si cet enfant était sorti de ses entrailles? "N'importe quoi disent les sages, car l'amour d'une mère est très grand. Plus grand et plus vaste que toutes les forêts africaines réunies."
Bouzid Manel G3
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| | | adilla
Nombre de messages : 27 Date d'inscription : 03/03/2008
| Sujet: Résumé de NEDJMA (kateb yacine) Sam 31 Mai - 17:25 | |
| Kateb Yacine est né vraisemblablement le 2 août 1929 (mais peut-être le 6 août) à Constantine mais se trouve inscrit à Condé Smendou, aujourd'hui Zirout Youcef. Il est issu d'une famille berbère chaouis lettrée de l'est algérien (Nadhor), appelée Kheltiya (ou Keblout), qui a été arabisée puis éparpillée sous la période coloniale. Son grand-père maternel est bach adel, juge suppléant du cadi, à Condé Smendou (Zirout Youcef), son père avocat, et la famille le suit dans ses successives mutations. Le jeune Kateb (nom qui signifie « écrivain ») entre en 1934 à l'école coranique de Sedrata, en 1935 à l'école française à Lafayette (Bougaa en basse Kabylie, actuelle wilaya de Sétif) où sa famille s'est installée, puis en 1941, comme interne, au collège colonial de Sétif, Albertini puis Kerouani après l'indépendance.
Kateb Yacine se trouve en classe de troisième quand éclatent les manifestations du 8 mai 1945 auxquelles il participe et qui s'achèvent sur le massacre de milliers d'algériens par la police et l'armée françaises. Trois jours plus tard il est arrêté et détenu durant deux mois. Il est définitivement acquis à la cause nationale tandis qu'il voit sa mère « devenir folle ». Exclu du lycée, traversant une période d'abattement, plongé dans Baudelaire et Lautréamont, son père l'envoie au lycée de Bône (Annaba). Il y rencontre "Nedjma" (l'étoile), "cousine déjà mariée", avec qui il vit "peut-être huit mois", confiera-t-il et y publie en 1946 son premier recueil de poèmes. Déjà il se politise et commence à faire des conférences sous l'égide du PPA, le grand parti nationaliste, de masse, de l'époque. En 1947 Kateb arrive à Paris, « dans la gueule du loup » et prononce en mai, à la Salle des Sociétés savantes, une conférence sur l'Emir Abdelkader, adhère au Parti communiste algérien. Au cours d'un deuxième voyage en France il publie l'année suivante Nedjma ou le Poème ou le Couteau (« embryon de ce qui allait suivre ») dans la revue Le Mercure de France. Journaliste au quotidien Alger républicain entre 1949 et 1951, son premier grand reportage a lieu en Arabie saoudite et au Soudan (Khartoum). À son retour il publie notamment, sous le pseudonyme de Saïd Lamri, un article dénonçant l'« escroquerie » au lieu saint de La Mecque. Kateb Yacine (Kateb de son nom, Yacine de son prénom) est un écrivain algérien né à Constantine le 2 août 1929, mort à Grenoble le 28 octobre 1989. Instruit dans la langue du colonisateur, Kateb Yacine considérait la langue française comme le « butin de guerre » des Algériens. « La francophonie est une machine politique néocoloniale, qui ne fait que perpétuer notre aliénation, mais l'usage de la langue française ne signifie pas qu'on soit l'agent d'une puissance étrangère, et j'écris en français pour dire aux français que je ne suis pas français », déclarait-il en 1966. Devenu trilingue, Kateb Yacine a également écrit et supervisé la traduction de ses textes en berbère. Son œuvre traduit la quête d'identité d'un pays aux multiples cultures et les aspirations d'un peuple.
Kateb Yacine est le père de Nadia, Hans et Amazigh Kateb, chanteur du groupe Gnawa Diffusion.
NEDJMA:étrange roman, à la fois réaliste et symbolique ;d'allure souvent faulknérienne mais Où les perpétuels retours au passé ,la profonde obsession des origine restent sous-tendu par le besion et comme le l'imminence d'un avenir , par un mouvement d'espoir un frémissement passionné ,l'impatience d'un cheval qui piaffe. le thème , la realité vivante qui est au coeur des divers épisodes , c'est l'algérie ,la patrie perdue et toujours présente ,_ et qui'il faudra réinventer :" dans le pays circule une brise unique venue de la foret , du désert , de la mere , un souffle de patrie perdue" " Et c'est à moi Rachid nomade en résidence forcée , d'entrevoir l'irrésistibne forme de la vierge aux abois, mon sang et mon pays... car ce pays n'est pas encore venu au monde ". Telle est la fuyante NEDJMA ,personnage à la fois central et toujours évanscent , l'inacessible NEDJMA, " l'ogresse ao sang obscur ", la femme fatale , "Nedjma dont les hommes devaient se disputer la paternité comme si sa mère Française l'avait condamné à ce destin de fleur irrespérable , menacée jusqu'a la profondeur et à la fragilité de ses racines...".
Bibliographie Soliloques, poèmes, Bône, Ancienne imprimerie Thomas, 1946. Réédition (avec une introduction de Kateb Yacine), Alger, Bouchène, 1991, 64 pages. Abdelkader et l'indépendance algérienne, Alger, En Nahda, 1948, 47 pages. Nedjma, roman, Paris, Editions du Seuil, 1956, 256 pages. Le Cercle des représailles, théâtre, Paris, Éditions du Seuil, 1959, 169 pages [contient Le Cadavre encerclé, La Poudre d'intelligence, Les Ancêtres redoublent de férocité, Le Vautour, introduction d'Edouard Glissant : Le Chant profond de Kateb Yacine]. Le Polygone étoilé, roman, Paris, Éditions du Seuil, 1966, 182 pages. Les Ancêtres redoublent de férocité, [avec la fin modifiée], Paris, collection TNP, 1967. L'Homme aux sandales de caoutchouc [hommages au Vietnam et à Ho Chi Minh], théâtre, Paris, Éditions du Seuil, 1970, 288 pages. Boucherie de l'espérance,œuvres théâtrales, [quatre pièces, contient notamment Mohammed prends ta valise, 1971, et Le Bourgeois sans culotte], Paris, Éditions du Seuil, 1999, 570 pages . L'Œuvre en fragments, Inédits littéraires et textes retrouvés, rassemblés et présentés par Jacqueline Arnaud, Paris, Sindbad 1986, 448 pages (ISBN 2727401299). Le Poète comme un boxeur, entretiens 1958-1989, Paris, Éditions du Seuil, 1994. Minuit passé de douze heures, écrits journalistiques 1947-1989, textes réunis par Amazigh Kateb, Paris, Éditions du Seuil, 1999, 360 pages. | |
| | | toronfol
Nombre de messages : 21 Date d'inscription : 11/03/2008
| Sujet: le pére goriot(BALZAC) Sam 31 Mai - 17:45 | |
| Honoré Balzac, dit Honoré de Balzac, né à Tours le 1er prairial an 7 (20 mai 1799) et mort à Paris le 18 août 1850, est un romancier, critique littéraire, essayiste, journaliste et écrivain français.
Il est considéré comme l'un des plus grands écrivain français dans le domaine du roman réaliste, du roman philosophique et du roman fantastique par Gérard Gengembre[1], G. Vannier[2], le philosophe Alain[3], et Albert Béguin[4]. Charles Baudelaire voyait en lui un visionnaire[5].
Mais il est difficile à classer dans l'une ou l'autre catégorie, son œuvre couvrant un champ si vaste que les critiques, tant de son siècle que du siècle suivant, passeront beaucoup de temps à lui chercher une étiquette appropriée sans y parvenir[6].
Il élabora une œuvre monumentale, la Comédie humaine, cycle cohérent de plusieurs dizaines de romans, nouvelles, contes philosophiques dont l'ambition était de décrire de façon quasi-exhaustive la société française de son temps ou, selon la formule célèbre, de faire « concurrence à l'état-civil ». Il n'hésita pas, en pleine monarchie de Juillet, à afficher ses convictions légitimistes.
Résumé du roman
Paris, automne 1819. Dans une pension miteuse de la rue Neuve-Sainte Geneviève, la maison Vauquer (du nom de sa tenancière), se côtoient des pensionnaires et des habitués du quartier qui ne viennent y prendre que le dîner . Ils ont pour nom Mlle Michonneau, Victorine Taillefer, Madame Couture, Monsieur Poiret, Bianchon, Vautrin, Eugène de Rastignac et le père Goriot. Quelques personnages émergent de ce groupe de pensionnaires falots : Vautrin, mystérieux pensionnaire d'une quarantaine d'années qui se fait passer pour un ancien commerçant; Eugène de Rastignac, fils d'une famille noble et désargentée de Charente venu faire son droit à Paris.
Il y a également le père Goriot, pitoyable rentier de soixante neuf ans qui mène une vie nocturne énigmatique. Il est le plus âgé de la Maison Vauquer et aussi le plus ancien des pensionnaires. Il y est arrivé en 1813 après s'être retiré des affaires. Les premiers temps, sa fortune et ses revenus lui permettaient d'habiter au premier étage l'appartement le plus cossu de la pension. Puis ses revenus diminuant mystérieusement, le vieil homme est monté d'étage en étage, logeant dans des appartements de plus en plus modestes. Il occupe actuellement une mansarde et est devenu le bouc émissaire de la Maison Vauquer. Les autres pensionnaires commentent son infortune avec peu d'élégance et le soupçonnent de se ruiner en entretenant des femmes du monde.
Eugène de Rastignac, jeune "ambitieux", rêve de s'introduire dans la haute société parisienne. Grâce à la recommandation de sa tante, il est invité à l'un des bals que donne Mme de Beauséant, l'une des femmes influentes de Paris. Il est ébloui par cette soirée et s'éprend de la Comtesse Anastasie de Restaud.
Il lui rend visite le lendemain, mais sa maladresse lui vaut d'être brutalement congédié par M. et Mme de Restaud. Rastignac se rend alors chez Mme de Beauséant où se trouve également la duchesse de langeais. Sa gaucherie prête encore à sourire, mais cette visite lui permet de résoudre l'énigme du Père Goriot. Les deux aristocrates se proposent de lui relater le drame du vieil homme : cet ancien négociant a fait fortune pendant la révolution. Il a consacré tout son argent au bonheur de ses deux filles, Anastasie, l'aînée et Delphine, la cadette. Après leur avoir offert une belle éducation, et leur avoir constitué une dot, il a marié Anastasie au Comte de Restaud et Delphine au banquier Nucingen.
Tant que le Père Goriot mettait sa fortune à la disposition de ses filles, ses gendres le ménageaient. Mais maintenant qu'il a des difficultés financières, ils ne lui manifestent qu'indifférence et mépris. Ils n'hésitent pas à l'évincer, ce qui désespère le pauvre homme qui a voué toute sa vie à ses deux filles. Rastignac est ému jusqu'aux larmes par ce récit. Mme de Beauséant prend prétexte de cette histoire pour donner à Rastignac ce conseil : arriver par les femmes. Elle lui suggère de tenter sa chance auprès de Delphine de Nucingen, la seconde fille du Père Goriot.
De retour à la Pension Vauquer, Eugène décide d'apporter son soutien au Père Goriot. Ayant besoin d'argent pour faire son entrée dans le Monde, il écrit également à sa mère et à ses sœurs pour leur demander de lui adresser leurs dernières économies.
Vautrin, qui devine l'ambition qui anime Rastignac lui propose un marché cynique : séduire Victorine Taillefer tandis que lui se charge d'éliminer son frère, seul obstacle à l'obtention par la jeune fille d'un héritage fabuleux. Rastignac épouserait alors Victorine et sa dot d'un million, sans oublier d'offrir à Vautrin une commission de deux cent mille francs. Fasciné, puis indigné par ce marché scandaleux, Rastignac refuse ce pacte diabolique. Vautrin lui laisse quinze jours pour réfléchir.
Le jeune étudiant préfère suivre les conseils de la Vicomtesse de Beauséant . II l'accompagne au Théâtre-Italien, où il se fait présenter Delphine de Nucingen . Il fait une cour assidue à la jeune femme.
De retour à la Pension, Rastignac rend visite au Père Goriot et lui raconte par le menu sa rencontre avec Delphine. Emu, le vieil homme qui croit toujours aux bons sentiments de ses filles, encourage Rastignac à continuer de fréquenter la jolie baronne. Une vraie complicité s'installe entre le Père Goriot et le jeune étudiant.
Eugène de Rastignac devient l'amant de Delphine de Nucingen et ne tarde pas à découvrir ses difficultés financières. Elle lui confie que son mari s'est accaparé de sa fortune et qu'elle ne dispose plus d'aucune ressource personnelle. Elle lui demande également de jouer pour elle à la roulette . Avec les cent francs qu'elle lui remet, Rastignac parvient à gagner, pour elle, sept mille francs . " Vous m'avez sauvée" lui confie-t-elle, lui avouant en même temps l'échec de son mariage avec le baron et les sacrifices qu'elle et sa sœur ont imposés à leur père.
De retour chez Madame Vauquer, Eugène de Rastignac apprend la nouvelle au Père Goriot. Le vieil homme est désespéré d'apprendre les soucis financiers de sa fille. Il souhaite saisir la justice pour lui permettre de retrouver sa fortune.
Rastignac prend goût aux soirées parisiennes, mais il dépense beaucoup d'argent et se montre beaucoup moins chanceux au jeu. Il mesure combien l'argent est essentiel pour s'imposer dans la haute société parisienne, ce que Vautrin ne manque pas de lui rappeler avec beaucoup de cynisme.
Au jardin des plantes, M. Poirer et Mlle Michonneau rencontrent un responsable de la police, Gondureau, qui leur indique la véritable identité de Vautrin : C'est un forçat qui s'est évadé du bagne de Toulon, où il avait le surnom de trompe-la-mort. Gondureau demande à Mlle Michonneau de lui administrer un somnifère et de vérifier qu'il a bien un tatouage à l'épaule.
A la pension Vauquer, Victorine laisse entrevoir à Eugène les sentiments qu'elle éprouve pour lui tandis que Vautrin poursuit secrètement la préparation du meurtre de son frère. Mlle Michonneau acquiert la certitude que Vautrin est le forçat qui s'est évadé du bagne et le fait arrêter. Le même jour un complice de Vautrin tue le frère de Victorine.
Tandis que les pensionnaires de la Maison Vauquer tardent, suite à ces événements, à retrouver leurs esprits, le père Goriot arrive tout souriant en fiacre. Il vient chercher Rastignac et l'invite à dîner avec Delphine, dans l'appartement qu'il vient de lui louer, avec ses dernières économies, rue d'Artois. Le vieil homme logera quant à lui dans une chambre de bonne au dessus de l'appartement d'Eugène.
A La Maison Vauquer, c'est la désolation, les pensionnaires partent les uns après les autres.
Les déboires financiers des deux filles du Père Goriot resurgissent avec plus d'acuité. Le baron de Nucingen indique à sa femme qu'il lui est impossible de lui rendre sa fortune sans que leur couple ne soit ruiné. Quant à Anastasie, elle ne parvient plus à rembourser les dettes causées par son amant, Maxime de Trailles et se voit dans l'obligation de mettre en vente les diamants de la famille. A l'annonce de cette double déroute financière, le père Goriot est victime d'un grave malaise. Bianchon, l'étudiant en médecine, ami de Rastignac, venu en renfort analyse les symptômes qui frappent le vieil homme et diagnostique une grave crise d'apoplexie.
Eugène passe la soirée aux Italiens avec Delphine . Le lendemain, il retourne à la pension Vauquer. Le Père Goriot est très affaibli. Eugène annonce alors à Delphine que son père est mourant mais celle-ci se montre indifférent à son sort.
A la pension, le père Goriot se meurt. Il souhaite une dernière fois voir ses deux filles, mais celles-ci demeurent tristement absentes. Seuls Rastignac et son ami Bianchon sont là pour accompagner les derniers moments du vieil homme. Eugène règle les derniers soins et l'enterrement du père Goriot; puis, accompagné du seul Bianchon, il assiste à la cérémonie religieuse. Le convoi funéraire se rend alors au Père Lachaise. "A six heures, le corps du père Goriot fut descendu dans sa fosse, autour de laquelle étaient les gens de ses filles, qui disparurent avec le clergé aussitôt que fut dite la courte prière due au bonhomme pour l'argent de l'étudiant. Quand les deux fossoyeurs eurent jeté quelques pelletées de terre sur la bière pour la cacher, ils se relevèrent et l'un d'eux, s'adressant à Rastignac, lui demanda leur pourboire. Eugène fouilla dans sa poche et n'y trouva rien ; il fut forcé d'emprunter vingt sous à Christophe. Ce fait, si léger en lui-même, détermina chez Rastignac un accès d'horrible tristesse. Le jour tombait, un humide crépuscule agaçait les nerfs, il regarda la tombe et y ensevelit sa dernière larme de jeune homme, cette larme arrachée par les saintes émotions d'un cœur pur, une de ces larmes qui, de la terre où elles tombent, rejaillissent jusque dans les cieux. Il se croisa les bras, contempla les nuages, et le voyant ainsi, Christophe le quitta.
Rastignac, resté seul, fit quelques pas vers le haut du cimetière et vit Paris tortueusement couché le long des deux rives de la Seine, où commençaient à briller les lumières. Ses yeux s'attachèrent presque avidement entre la colonne de la place Vendôme et le dôme des Invalides, là où vivait ce beau monde dans lequel il avait voulu pénétrer. Il lança sur cette ruche bourdonnant un regard qui semblait par avance en pomper le miel, et dit ces mots grandioses :
- A nous deux maintenant !
Et pour premier acte du défi qu'il portait à la Société, Rastignac alla dîner chez Mme de Nucingen." | |
| | | Cerine
Nombre de messages : 2 Date d'inscription : 09/03/2008
| Sujet: une breve histoire de l'avenir Sam 31 Mai - 18:34 | |
| Une breve histoire de l'avenir
Résumé:
Jacques Attali raconte ici l incroyable histoire des cinquante prochaines années telle qu on peut l imaginer à partir de tout ce que l on sait de l histoire et de science.il dévoile la facon dont évolueront les rapports entre les nations et comment les bouleversements démographiques,les mouvements de population,les mutations du travail ,les nouvelles formes du marché, le terrorisme,la violence,les changements climatique,l emprise croissante du religieux viendront chahuter notre quotidien. Il rélève aussi comment des progrés téchniques stupéfiants boulevarseront le travail,le l éducation,la santé,les cultures et les systèmes politiques ;comment des moeurs aujourd hui concidérées comme scandaleuses seront un jour admises. Il montre enfin qu il serait possible d aller vers l abndance, d éliminer la pauvreté,de faire profiter chacun équitablement des bienfaits de la technologie et de l imagination marchande,de préserver la liberté de ses propres excés comme de ses ennemis ,de laisser aux générations à venir un environnement mieux protégé,de faire naitre,à partir de toutes les sagesses du monde ,de nouvelles facons de vivre et de créer ensemble | |
| | | soleil
Nombre de messages : 3 Date d'inscription : 21/03/2008
| Sujet: Titre : l’attentat Sam 31 Mai - 20:00 | |
| Auteur : Yasmina khadra
Biographie :
Ancien officié algérien, écrit sous un pseudonyme, composé par les prénoms de sa femme, son vrai nom Mohamed moulessehoul, est né en 1955 à kenadsa. Il est l’une des plus importantes voix du monde arabe et un digne ambassadeur de la langue Française, ses romans sont toujours situés aux cœurs des conflits les plus brulants de notre époque, sont traduits dans vingt-deux pays et rencontre un intérêt grandissant, Les hirondelles de kboul, traduit aux USA par John Cullen est soutenu par les plus importants libraires américains et canadiens, été élu meilleur livre de l’année aux USA par le Son-Francisco chronicle et le Christian sciences monitor.
Résumé
Amine chirurgien palestinien très compétent qui s’est naturalisé israélien après avoir passer une journée pénible à l’hôpital dû aux opérations qu’il a fait à un grand nombre de victimes d’un attentat atroce qui a eu lieu dans un restaurant de Tel-Aviv causé par une femme qui s’est fait explosée par un bombe quelle cachait sous sa robe de grossesse, il rentre chez lui, se retrouve seul car sa femme adorée Sihem supposée rendre visite à sa grand-mère à Kafr-Kanna. Au milieu de la nuit est rappelé d’urgence à l’hôpital par son ami Naveed l’officier de la police, pour lui apprendre que la kamikaze est sa propre femme, pour le docteur c’est la brutale descente aux enfers. Le couple semble comblé de bonheur mais Amine ne remarque pas que sa femme prend peu à peu la partie de la résistance palestinienne. La fragile intégration du chirurgien à la société israélienne, chèrement acquise, vole en éclat le jour où sa femme commet l’irréparable, rejeté par la plus part de ses amis. Au début Amine refuse de croire que sa femme est la cause de cet acte, mais finalement doit se convaincre de cette douloureuse évidence, il voit dans le sacrifice de sa femme un acte incompréhensible, alors il décide de partir à la rencontre de ceux qui auraient pu laver le cerveau de son épouse, il plonge alors dans le monde imams appelant au jihad et des miliciens prêts à sacrifier leurs vies pour la cause palestinienne sa quête de vérité le conduit en plein cœur du conflit israélo-arabe, dans des villes à feu et à sang comme Bethleem. Il ne connaitra jamais la puisqu’il sera victime d’un tire d’un israélien, à la place d’un Imam dont Amine soupçonne d’avoir endoctriné Sihem. Yassmina Khadra autopsie le phénomène kamikaze. Le commentaire de Yasmina khadra sur son inspiration de l’attentat. Depuis très longtemps, j’avais l’intention d’écrire quelque chose sur le problème de Proche-Orient. Cette idée à mon éditeur. J’ai fini le roman en deux mois, dans une sérénité que je ne connaissais pas. J’étais comme emportais, fasciné par mes personnages et leur histoire. En fait j’ai toujours eu a cœur d’aborder ce thème car je pence que le problème de l’humanité est a cet endroit. La terre d’Israël est une terre bénie, et tant qu’il n’y aura pas la paix, il n’y aura de répit dans le monde.
Extrait :
J’ai vu des corps mutiléz dans ma vie, j’en ai raccommodé des dizaines ; certains étaient tellement abîmés qu’il était impossible de les identifier, mais les membres déchiquetés qui me font face, là sur la table, dépassent l’entendement. C’est l’honneur dans sa laideur absolue….Seule la tête de Sihem, étrangement épargnée par les dégâts qui ont ravagé le reste de son corps, émerge du lot, les yeux clos, la bouche entrouverte, les traits apaisés, comme délivrés de leurs angoisses. On dirait qu’elle dort tranquillement, qu’elle va soudain ouvrir les yeux et me sourire. Cette fois, mes jambes fléchissent, et ni la main inconnue ni celle de naveed ne parviennent à me rattraper.
Bibliographie : Les sirènes des Bagdad 2006, L’attentat 2005 La part du mort 2004 Cousine K 2003 Les hirondelles de Kaboul L’imposture des mots 2002 L’écrivain 2001 Les agneaux du seigneur 1998 Double Blanc 1998 A quoi rêvent les loups L’automne des chimères 1998 La foire des Enfoirés 1993
Dernière édition par soleil le Sam 31 Mai - 20:02, édité 1 fois | |
| | | élla
Nombre de messages : 12 Age : 36 Localisation : ... Date d'inscription : 21/03/2008
| Sujet: Re: T.P.E Sam 31 Mai - 20:02 | |
| 1-Presentation de la bibliographie et et la biographie et l’auteur
Comtesse de Ségur Saint pétersbourg1799-paris 1874
Fille du comte Rostopchine ,gouverneur de Moscou , la comtesse de Ségur passe son enfance dans cette ville .En 1817 la famille s’exile a paris ou Sophie Rostopchine épouse le comte de Ségur ,Elle achète Le château de nouettes dans l’orne qui deviendra le cadre de ça vie et de ces livres .négligée par son marie elle s’occupe de ses fils et filles Excellente mère, elle devient une merveilleux grand mère c’est pour ces petites enfants qu’elle compose ces charmants récits pour enfants (1856à 1869)qui l’on rendu Célèbre : Les mémoires d’un âne (1860) la trilogie les malheurs de Sophie (1864).Les petites filles modèles (1858) . Les vacances (1859) les deux nigaud (1862) l’auberge de l’ange gardien (1863) Le général Dourakine (1866) etc. . tous ces petits chefs d’œuvre ont un sucée immense et immédiat . Leur renommée fait très rapidement le tour du monde .Ce succès va se prepetuer de génération en génération enfantines
Littérature enfantine :
Les malheurs de Sophie (1864)
Les malheurs de Sophie –ouvrage composé de 22 récits raconte les mésaventures d’une petite fille nommée Sophie .
Titre Les petits poissons Résume du texte Titre : les petits poissons Toute personne étant petite .me pense qu ‘a jouer peu importe les conséquences. Ainsi la petite Sophie ,fille de M Réan cette dernière avait des petits poissons pas plus longs qu’ une épingle et pas plus gros qu ’une tuyau de plumes de pigeon M Rean aimait beaucoup ses petits poissons qui vivaient dans cuvette pleine d’eau et sable . tous les matins elle leur portait du pain et Sophie s’amusait à les regarder se jetaient sur les miettes de pain . Un jour son papa lui offrira un joli petit couteau eu écaille. La fillette enchantée de son couteau ,s’en servait à couper son pain ,ses pommes,ses biscuits , ses fleurs Etc.….... Un matin , la petite Sophie demande à la bonne de Lui donner du sel , du vinaigre, et de l’huile pour faire la salade , mais elle lui refusa par crainte qui elle salisse sa robe et lui donna se seulement du sel . la petite fille le prit , en mit sur la salade , mais il lui restait beaucoup Que faire alors du sel restant se demanda –t– elle ? Et la fille insouciante par ses idées fantasques commença saluer et à découper les petits poissions de sa maman . Pauvre poissons ils sont tous morts alors la fillette devint toute rouge comme une cerise . Que va penser ma maman ? Que vais-je devenir ! et comment cacher tout cela? Elle réfléchit un moment son visage s'éclairât elle avait trouve un moyen excellent pour que sa maman ne s'aperçut de rien elle ramassa bien tous les poissons sales et coupés elle sortit de sa chambre et les reporta dans leur cuvette sans quelle se fasse remarquée en disant que sa maman croira qu'ils se sont battus déchires et tués aussi Sophie a tout remis en ordre sans que la bonne ne s'en aperçoit se remit à sa petite table et continua à jouer avec son ménage de temps à autre elle prit un livre et se mit à regarder les images comme si rien ne s'est passe tout d'un coup elle entendit sa maman lever la voix comme si elle grondait les domestiques Sophie devint toute rouge de peur que sa maman l'inter pelle et la questionne. Mais tout se calme, elle n’entendit plus rien . Un quart , d’heures après la bonne expliqua à Sophie se qui s’est passé ,que tous les petits poissons de sa maman étaient morts . M Rean avait la certitude que sa fille Sophie aurait fait ce coup disait elle a la bonne et qu’elle était prête a parier heureusement pour la fillette la bonne a su convaincre M Réan en lui assurant qu elle ne pourrait faire cet acte. Sophie ne disait rien , elle restait immobile , la tête baissée et les yeux pleins de larmes elle voulait avouer mais le courage lui manquait. Allons au salon lui disait la bonne pour dîner la fillette se laissa peigner laver sans dire un mot elle entre au salon sa maman y était elle a fait savoir à sa fille qu'elle soupçonnait le domestique Simon et elle a puis la décision de le renvoyer. Sophie était très effrayée pour ce pauvre que vont devenir sa femme et ses enfants? Par crainte pour le destin de ce pauvre homme elle avoua à sa maman son mauvais acte et epargna le renvoie de simon. M rean pardonnant sa fille du faite qu’elle a eu le courage d'avouer. ⌠Avouer c'est se faire pardonner ⌡ | |
| | | Lis Actif
Nombre de messages : 279 Age : 35 Localisation : Somewhere Date d'inscription : 25/02/2008
| Sujet: Re: T.P.E Sam 31 Mai - 20:33 | |
| Fiche de lecture: "Eugénie Grandet" Auteur: Honoré de Balzac Genre: Roman Création: 1833 Parution: 1834 Édition Folio intégral: février 1972
La fiche::
- Spoiler:
Présentation de l'auteur: Honoré de Balzac naît en 1799 à Tours. Après une enfance relativement tranquille, il commence sa scolarité à Vendôme, mais son père étant nommé à Paris en 1814, il la finit dans la capitale. Travaillant comme clerc chez un avoué, il commence des études de droit et prend des cours à la Sorbonne. C'est à ce moment que naît sa passion pour la philosophie. Il soutient à sa famille qu'il a une «vocation littéraire» en tente d'écrire une tragédie en 1821. C'est un échec total et Balzac comprend qu'il est sur le mauvais chemin. Il change alors de cap et se consacre alors à l'élaboration de romans. Jusqu'en 1825, il écrit ses quelques livres «au goût du jour», pour commencer à gagner sa vie, et, s'étant un peu enrichi, décide de se lancer dans les «affaires». Il se lance dans la presse, découvre la vie des rédacteurs de journaux, achète une imprimerie à Paris, mais il fait faillite au bout de trois ans. Il conservera longtemps 100 000 francs de dettes qui le préoccuperont souvent dans sa vie. Après cette déroute, il reprend la plume, cette fois avec succès. Son génie est révélé par deux premières œuvres, la Philosophie du mariage et Les Chouans, roman sentimental mêlé à une histoire policière. C'est alors le grand essor de son œuvre: en 20 ans, jusqu'en 1841, il publie 90 romans et nouvelles, une trentaine de contes, cinq pièces de théâtre et trouve quand même le temps de fréquenter les salons mondains. Balzac commence à penser à une carrière politique, qui serait basée sur l'autorité politique et religieuse. En 1833, il commence une longue correspondance avec Mme Hanska, une de ses admiratrices polonaises.
Son œuvre, pendant cette période, se divise en quatre ensembles fondamentaux: les «romans philosophiques» (La peau de chagrin, 1831; Louis Lambert, 1832; etc.); des expositions d'un système économique et social (Le médecin de campagne); il tente également de faire revivre la «verve rabelaisienne» dans les Contes drolatiques (1832-1837); enfin, ce qui constitue la majorité de sa production littéraire, les «romans de mœurs», dont les deux chef d'œuvres sont Eugénie Grandet (1833) et Le père Goriot (1834-1835). Dans cette dernière veine, les livres se recoupent, des personnages reparaissent: c'est la composition progressive d'un travail cyclique. Balzac envisage de rassembler ses scènes et études en une vaste fresque réaliste de la société de son époque, sous le titre Études Sociales. En attendant, il continue d'accumuler des matériaux pour son projet. De 1842 à 1850, il procède à l'union finale de ses livres dans la Comédie Humaine, qu'il divise lui-même en «Études de mœurs» - de loin les plus importantes -, en «Études philosophiques» et finalement en «Études analytiques». En 1850, il peut enfin épouser Mme Hanska, veuve depuis huit ans mais, épuisé par toute une vie de travail spirituel, s'éteint dans la gloire trois mois après son retour à Paris.
Résumé du roman: A Saumur, Félix Grandet (le père Grandet) s'est constitué, grâce à de nombreuses spéculations foncières, une fortune qui n'a d'égal que son avarice. Il règne en tyran sur son entourage : sa femme, sa fille unique, Eugènie, et sa servante Nanon. Il enferme tout à clé, et rationne toute la maisonnée. Lors de ce jour de Novembre 1819, une fête est organisée pour les vingt-trois ans d'Eugènie. Y sont invités les Cruchot et les des Grassins, deux familles rivales qui espèrent marier l'un de leurs fils avec la fille du père Grandet. Survient alors Charles Grandet, le cousin de Paris dont le charme et l'élégance ne laissent pas Eugénie indifférente. Charles est surpris de l'aspect misérable de la demeure de son oncle. Eugénie tombe amoureuse de son cousin, et peu à peu le jeune homme partage ses tendres sentiments. Charles est porteur d'une lettre rédigée par son père et destinée à son oncle, le Père Grandet. On y apprend que ruiné, et poursuivi par ses créanciers, il s'est suicidé. Charles n'a plus un sou, mais ne le sait pas. Il est effondré de douleur d'apprendre la mort de son père. Loin de s'attendrir, le père Grandet méprise ce neveu insolvable. L'insensibilité de son père choque Eugènie. Le jeune homme pleure jour et nuit son père et toute son infortune. Eugènie, émue, fait don à son cousin de tout son argent : des pièces de collection offertes par son père. Ce don a pour but d'aider Charles à réaliser son projet : partir aux Indes pour y faire fortune. Charles pleure de bonheur face à la bonté d'Eugènie et lui donne en échange un nécessaire de toilette en or qui contenait le portrait de sa mère et de son père défunts. Après de grands serments Charles et Eugènie échangent un baiser et se promettent de se marier. Puis Charles s'embarque pour les Indes afin de faire fortune et d'effacer la faillite de son père... La vie reprend, mais le départ de Charles laisse un grand vide dans la vie d'Eugénie. Le jour de l'an 1820, le Père Grandet demande comme chaque année, à voir tout l'or qu'il a donné à sa fille. Quand il apprend sa disparition, il explose de colère. Malgré les menaces de son père, Eugènie refuse de livrer son secret. Le vieil avare décide alors d'enfermer Eugénie dans sa chambre. Madame Grandet, qui adore sa fille, est minée par cette décision. Elle tombe malade et s'affaiblit peu à peu. Apprenant qu'à la mort de sa mère, Eugènie, seule héritière, pourrait exiger le partage de la succession, le Père Grandet décide de se réconcilier avec sa fille. En 1822, après deux ans d'un long martyre, Mme Grandet meurt épuisée. Grandet obtient de sa fille qu'elle renonce à l'héritage maternel. Eugènie accepte et vit à ses côtés en s'occupant de lui. Elle attend en vain des nouvelles de Charles qui ne lui écrit pas. Le père Grandet initie sa file à ses affaires, puis, en 1827, meurt à son tour, en admirant fébrilement ses écus. La riche Eugènie reçoit enfin une lettre de Charles, dans laquelle il lui annonce qu'il a réussi un mariage d'argent. Il a en effet épousé mademoiselle d'Aubrion, qu'il n'aime guère, mais qui a des titres de noblesse. Eugènie se résigne alors à épouser le vieux président Cruchot de Bonfons. Elle ne pose que deux conditions : que ce mariage reste blanc et qu'il paie les dettes de son oncle. A la mort de son mari, Eugénie revient dans la maison de ses parents. Malgré, sa fortune, elle y vit petitement, reprenant les habitudes de son père et consacrant sa fortune à des œuvres de charité. Solitaire, malgré son cœur généreux, elle mènera une existence monotone...
Thème dominant de l'histoire: L'argent est le moteur majeur de la comédie humaine. Il constitue le pivot de cette œuvre Il est la puissance anonyme froide qui déteint sur les êtres, glace les passions et annule l'énergie vitale. Tous les évènements sont liés de loin ou de près à ce grand thème privilégié par Balzac. Pourquoi l'argent est un thème principal.
Balzac a consacré plusieurs écrits à l'argent, parmi lesquels Eugénie Grandet . Cette œuvre n'a pas seulement pour but de traiter ce thème mais d'être un document sur la société contemporaine. Balzac, romancier réaliste, peint une société dominée par l'argent. Pour cela il établit une comparaison sous entendue entre la conception de l'argent chez les Parisiens et chez les provinciaux. La province est le lieu d'accumulation du capital, opposée à Paris, lieu de la dépense et de la prodigalité. L'écrivain a donc constaté que le point de départ en tout est l'argent, surtout qu'il a vécu un problème financier qui l'a obligé à travailler très dur durant le reste de sa vie en vue de payer ses dettes. Donc, Balzac semble très motivé d'attribuer à l'argent une si grande importance dans ses œuvres .
Personnages et argent:
Grandet: Grandet est le symbole de l'avarice dans cette œuvre. A travers lui, Balzac peint un capitalisme rural en plein développement. Il montre l'ascension d'un maître tonnelier qui, à la faveur de la vente des biens nationaux, se constitue une fortune foncière: un opportuniste qui joue de l'offre et de la demande pour vendre ses récoltes, exporte son vin jusqu'en Belgique, place son argent à Paris. A la tête de huit millions au début du livre, il lègue dix-sept millions à sa fille à sa mort. Somme considérable, quand le salaire moyen d'un employé était de deux mille francs par an. Cette avarice est prouvée par ses dépenses limitées et son aspect vestimentaire invariable "Toujours vêtu de la même manière". Ainsi, son comportement reflète entièrement son avarice. Il était à la fois cruel et rusé. Sa cruauté atteint sa fille lorsqu'elle donne son or, sa femme lorsqu'elle tombe malade. L'avarice l'a rendu plus rusé. En utilisant bégaiement et surdité il réussit ses marchés et aboutit à convaincre Eugénie de lui céder son héritage. L'avarice et l'amour ont creusé un grand écart entre Grandet et la religion. En agonisant, il n'évoque que l'argent « Mets de l'or devant moi, ça me réchauffe », « Prends soin de tout ça. Tu me rendras compte de tous ça là bas. » Par l'intermédiaire de Grandet, Balzac montre que l'avarice est une passion exemplaire à laquelle se résume toutes les autres :volonté fixe et illimitée de posséder le monde, de le ramener à soi, de l'absorber et par-là d'échapper à la mort, c'est à dire la dépense vitale.
Charles: C' est encore à cause de l'argent que le personnage de Charles apparaît dans l’œuvre et dans la vie d'Eugénie . Et pour analyser l'argent et son influence sur Charles, il faudrait bien évoquer le milieu ou il est né. Charles Grandet est issu d'une famille riche, donc il a vécu dans un milieu de luxe où l'argent a une grande importance. En outre, Annette avait une influence sur sa personnalité. « Elle le féminisait et le matérialisait ». Le changement de sa situation matérielle, sa faillite l'a poussé à accepter l'argent offert par Eugénie et à partir pour l'Inde. C’est là qu'il a bâti sa fortune grâce au commerce et à la traite des nègres, incarnant ainsi une autre face sauvage, prédatrice du capitalisme. Tout cela contribue à changer son attitude envers l'argent ; donc Charles, devenu arriviste, rejette l'amour d'Eugénie en se mariant avec une autre pour parvenir à une grande fortune et une grande situation politique. L'argent refroidit les cœurs, les contracte, les dessèche.
Les Grassin et les Cruchot: Les deux familles matérialistes envisagent le mariage d'Eugénie avec un membre de leur famille afin d'accéder à la fortune considérable qu'elle héritera car eux seuls peuvent en estimer la valeur. Le président de Bonfon était le plus grand arriviste : il a épousé Eugénie rien que pour sa fortune, ce qui est prouvé par le mariage blanc. Pour eux Eugénie n'était qu'une dot.
Eugénie Grandet: L'argent n'avait pas d'importance pour Eugénie. Son éducation comme femme de province et l'avarice de Grandet ont créé chez elle une indifférence contre tout effet de l'argent. Eugénie, généreuse, aboutit à la satisfaction des gens par l'intermédiaire de son argent : l'or qu'elle donne à Charles, la liquidation, les travaux de charité sans réaliser sa propre satisfaction. Pour elle la fortune n'est ni pouvoir, ni consolation". Son indifférence envers l'argent est prouvée par son mariage blanc avec un époux arriviste qui désirait sa mort. L'argent est bien le masque de la mort. La seule issue qui reste à l'héroïne consiste à dépenser l'argent accumulé, à contredire la loi du père en substituant à la loi de l'accumulation une logique ou les personnages balzaciens espèrent un salut que la terre ne lui a pas donné. « Eugénie marche au ciel accompagné d'un cortège de bienfaits ».
Mme Grandet et Nanon: Mme Grandet et NANON comme femmes de Province n'ont même pas été en mesure d'évaluer l'importance de l'argent. Elles supportent l'avarice de Mr Grandet et ne discutent aucune décision financière de sa part. Donc, elles incarnent une relative indifférence envers l'argent.
Conclusion: Il résulte de ce qui précède que l'argent contrôle les relations entre les personnages, leurs sentiments et leurs ambitions. Il représente l'enfer de la vie moderne et le moteur inévitable de l'égoïsme social. Eugénie Grandet dépeint un monde terrible, froid, d'où la vie est peu à peu bannie par le règne monotone des calculs et de l'intérêt humain. | |
| | | ben sarah
Nombre de messages : 11 Date d'inscription : 13/05/2008
| Sujet: veronika decide de mourir Dim 1 Juin - 0:00 | |
| Roman de l’écrivain brésilien, le plus lu au monde « Paulo Cohélo », Il raconte l’histoire d’une jeune fille qui s’appel Véronika et qui décide de mettre fin à sa vie enuiante. Véronika soufrait de ne pas soufrir, elle était jeune et belle, elle avait un bon travail et un beau appartement , et elle n’avait pas de problèmes avec les hommes ,… bref elle ne manquait de rien . Veronika a beaucoup pensé à la manière qu’elle va employer pour mettre fin à sa vie elle voulait pas avoir mal , c’est pour cela qu’elle a choisi de prendre des somniféres mais elle a été sauvée à la derniére minute . Son suicide raté la conduit dans un hopital psychatrique où elle découvre une population qui ne semble chercher qu’un abri contre la realité et la routine. Le suicide de Veronika n’était pas parfaitement raté mais il allait s’attarder un mois , car selon les medecins de l’hospis ; Veronika n’avait qu’un mois à vivre . Son cœur s’est affaibli à cause des somnifères qu’elle a pris . Dans ce mois Veronika va apprendre beaucoup de choses , et retrouver un nouveau sens à sa vie , en découvrant l’amour . Veronika regreta son acte car elle a découvert d’autre Veronika qu’elle avait pu aimer . Elle décida de s’enfuir de l’ospis avec le garçon qu’elle aime pour passer les jours qu’ils lui restent à vivre . en d’hors des mures de l’hopital psychatrique en igniorant commplètement que les médecins l’ ont monti , et que son coer est en parfaite santé | |
| | | OniZuka
Nombre de messages : 219 Age : 35 Localisation : la terre Date d'inscription : 25/02/2008
| Sujet: Re: T.P.E Dim 1 Juin - 0:03 | |
| 1984
- Spoiler:
de George Orwell (1903-1950)
genre: ça,c'est une dure question,on peu le classer à la fois dans sf(vut que ça as été écrit durant ses dernières années(je sais pas précisément,mais il est mort en 1950,donc...),il as un peu phylosophie et de politique,du thriller,donc je peu pas classer!
biographie de l'auteur: je vais bêtement copier coller la bio qui est dans le bouquin.
Né aux Indes en 1903,d'une famille anglo-indienne,George Orwell,d sonv rai nom Eric Blair,fit ses études à Eton.En 1922,il partit pour la Birmanie,où il entra dans la police impériale des Indes.C'était un travail qui lui convenait mal,aussi,en 1928nlors d'un congé qu'il passait en Angleterre,il donna sa démission et voulut vivre de sa plume.Sans ressources,il vint à Paris où il mena longtemps une véritable existance de clochard avant de devenir plongeur dans un restaurant.C'est de cette période difficle qu'il rapporta son livre de souvernirs Down and out in Paris and in London qui parut en traduction française en 1935,sous le titre La vache enragée,au Editions de la N. R. F..De retour en Angleterre,il fut maître d'école,employé de librairie,puis s'engaea dans les rang du P.O.U.M. lors de la guerre civile espagnole.Blessé en 1937 à Huesca,George Orwell,dégouté du totalitisme stalinien,déçu par la mollesse des démorcates,partit pour le Maroc.En 1939,il fut mobilisé comme sergent,puis reformé,et dut gagner sa vie en travaillant la nuit dans les usines.Enfin,on lui accorda un poste de speacker à la B.B.C. En 1943,il devient directeur de l'hebdomadaire The Tribune,puis,en 1945,envoyé spécial de l'Observer en France et en Allemagne.Atteint de tuberculose depuis des années,il mourrut dans une clinique de la banlieue londonienne en janvier 1950.c'et au cours de ses dernières années,alors qu'il luttait contre la mort,qu'il écrivit son roman 1984 où il exprime la plus grave inquiètude des hommes libres de notre temps.
pfiou,voila la bio qui est faite.....
Histoire: je vais simplement compier lextrait qui est au dos du livre.
De tout les carrefours importants,le visage à la moustache noire vous fixait du regard.Il y en avait un sur le mur d'en face.BIG BROTHER VOUS REGARDE,répétait la légende,tandis que le regard des yeux noirs pénétrait les yeux de Winston...Au loin,un hélicoptère glissa entre les toits,plana un moment,telle une mouche bleu,puis repartit comme une flèche,dans un vol courbe,C'était une patrouille qui venait mettre le nez aux fenêtres des gens.Mais les patrouille n'avaient pas d'importance.Seule comptait la Police de la Pensée.
je vais donner quelques information bonus qui ne dévoilent rien:
Le ministère de la vérité(ou Winston,le héros travaille poru le parti),on change le passé,là des centaine de personne modifie les document,et même une annonce qui dit une baisse des ration de chocolat,le lendemain on dit qu'il as été augmenter(mais la cantité est celle à laquel la ration à été réduite),tout le monde cris de joie......uniquement si vous penser pas ce que vous devez penser,hop éxécuter sans autre forme de proces.....
Mon Avis: PROCUREZ LE VOUS AU PLUS VITE!!!!!!!!!!!!!!c'est un livre magnifique,interresant et très visionnaire poru son époque(il y as des télécrans,qui fon penser au télévisions,et diverses choses captivantes!)
autre livre du même auteur(au édition gallimard): la vache enragéé le catalogue libre essais choisis et vive l'aspidistra la ferme des animaux(il y as un très bon film de ce livre qui se nomme animal
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| | | Ornella.dz
Nombre de messages : 262 Localisation : la mia patria Date d'inscription : 24/02/2008
| Sujet: Re: T.P.E Dim 1 Juin - 1:39 | |
| - Spoiler:
Molière
Les fourberies de Scapin
Titre de l’ouvrage: Les fourberies de scapin Auteur: Molière Collection : Oeuvres immortelles Edition: Dar Sader Beyrouth. Année de parution : 2003 Volume : 1 vol. (64 p.)
Biographie de l’auteur : Jean-Baptiste Poquelin naît à Paris où il est baptisé le 15 janvier 1622. Fils d’un tapissier, Molière fait ses études chez les jésuites avant d’aller étudier le droit à Orléans. Avec Madeleine Béjart, il crée l’Illustre-Théâtre qui est un échec en raison de dettes (en août 1645, Molière est même emprisonné). Cette même année, il quitte Paris pour la province. Il y restera treize ans. En 1658, il revient à Paris pour jouer Nicomède et Le Dépit amoureux devant le roi. C’est la pièce Les Précieuses ridicules (1659) qui lui apporte la célébrité. Molière obtient du roi la salle du Petit-Bourbon puis celle du Palais-Royal (à partir de 1660) où il remporte de nombreux succès en tant qu’auteur, acteur et directeur de troupe. Tartuffe, jouée pour la première fois en 1664 à Versailles, pièce dans laquelle il critique l’hypocrisie des faux dévots, fait scandale. La pièce est interdite par le roi sous la pression des dévots qui se sentent visés. En 1665, Dom Juan suscite également des remous. Malgré son succès, la pièce est retirée. Molière continue cependant de bénéficier de la faveur du roi. Viennent les pièces Le Misanthrope (1666), George Dandin (1668), Le Bourgeois Gentilhomme (1670), L’Avare (1668), Les Fourberies de Scapin (1671), Les Femmes savantes (1672), Le malade imaginaire (1673) le 17 février, au cours de la quatrième représentation de cette comédie, Molière, pris d’un malaise, est transporté chez lui, et meurt presque assez tôt.
Petit aperçu de l’œuvre : Les Fourberies de Scapin est une pièce de théâtre de Molière, créée au Théâtre du Palais Royal le 24 mai 1671. Venant juste après les créations de pièces plus sombres comme Tartuffe ou Dom Juan, Molière revient à la comédie fortement empreinte de comédie italienne. Le spectacle n'obtient pas alors un grand succès public, et Nicolas Boileau lui reproche son côté populaire, Fénelon l'exagération des caractères. De cette œuvre est pourtant passée non seulement à la postérité, mais encore dans le langage populaire, la réplique : « Mais qu'allait-il faire dans cette galère ? » que l'on retrouve jusque dans l'expression triviale « Quelle galère ! »
Personnages : Personnages principaux : Argante: Père d’Octave et de Zerbinette. Géronte : Père de Léandre et d’Hyacinethe. Octave : Fils d’Argante et amant d’Hyacinethe. Léandre : Fils de Géronte et amant de Zerbinette. Zerbinette : Crue égyptienne et reconnue fille d’Argante, & amante de Léandre. Hyacinethe : Fille de Géronte et amante d’Octave. Scapin : Valet de Léandre, et fourbe.
Autres personnages : Silvestre : Valet d’octave. Nérine : Nourrice d’Hyacinethe. Carle : Fourbe. Deux porteurs.
Lieux principaux: Naples.
Résumé
Octave, fils d’Argante et Léandre, fils de Géronte, en l’absence de leurs pères respectifs qui sont partis en voyage, se sont épris l’un de Hyacinthe, une pauvre jeune fille qu’il vient d’épouser, le second de la « jeune Égyptienne » Zerbinette.
Au retour d’Argante, Octave, très inquiet de la réaction paternelle à l’annonce de son union et, de plus, fort à court d’argent, supplie le secours de Scapin, valet de Léandre. Mais cet « habile ouvrier de ressorts et d’intrigues » ne parvient pourtant pas à fléchir le vieillard.
Argante répète à Géronte la nouvelle qu’il tient d’un commérage de Scapin : Léandre a commis une grave sottise. Aussi le jeune homme, fort mal accueilli par son père, corrige vertement le valet pour sa trahison. Mais il quitte bientôt son ressentiment pour le supplier de lui venir en aide : il lui faut payer une rançon pour Zerbinette s’il ne veut pas la voir enlevée par les Égyptiens.
Par de hardies tromperies, l’inventif Scapin ne tarde pas à décrocher la somme aux deux vieillards. Mais Scapin entend encore se venger de Géronte qui l’a desservi auprès de Léandre. Aussi lui fait-il croire qu’un prétendu frère de Hyacinthe est à sa poursuite, résolu à lui ôter la vie pour le punir de vouloir faire rompre le mariage. Afin de le soustraire à ce danger, Scapin cache sa dupe dans un sac... Le coupable paierait cher ses fourberies si une double reconnaissance ne révélait en Hyacinthe la fille perdue de Géronte, et en Zerbinette celle d’Argante.
Scapin qui simule sa mort par suite d’un accident, arrache le pardon des vieillards.
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| | | JAKAL Admin
Nombre de messages : 518 Age : 35 Localisation : HUECO MUNDO Emploi/loisirs : étudiant Date d'inscription : 12/02/2008
| Sujet: Léon L'AFRICAIN Dim 1 Juin - 1:48 | |
| - Spoiler:
I/ généralités de l’œuvre :
Titre de l’œuvre : « Léon l’africain » Auteur : Amin Maalouf Date de publication : 1986 Nombre de pages : 366 Éditions : j’ai lu Amin Maalouf : Amin Maalouf (arabe : أمين معلوف [amīn maʿlūf]) est un écrivain franco-libanais né le 25 février 1949 près de Beyrouth.
Il était le deuxième d'une famille de quatre enfants. il est issu d'une famille originaire du village de la montagne du Liban du nom de l'[EL Ain Kabou]. Il épouse Andrée, une institutrice pour enfants sourds, avec laquelle il a trois enfants : Ruchdi, Tarek et Ziad.
Ses parents étaient originaire d'un village du Mont Liban du nom de EL Ain Kabou. Ils s'étaient mariés au Caire en 1945, où Odette, sa mère, était née d'un père chrétien Maronite, émigré en Egypte, et d'une mère née en Turquie. Le père d'Amin, Ruchdi, était de la communauté de catholique grec Melkite. Un de ses ancêtres était un prêtre dont le fils s'est converti pour devenir un pasteur presbytérien.
Le fils du pasteur (le père de Maalouf) était un "rationaliste, anticlérical, probablement un franc-maçon, qui a refusé de baptiser ses enfants". Tandis que la branche protestante de la famille a envoyé leurs enfants aux écoles britanniques ou américaines. La mère de Maalouf était une catholique dévouée qui a insisté pour l'envoyer à l'école française de jésuite. Il a étudié la sociologie à l'université française de Beyrouth. Rédacteur au quotidien en arabe An Nahar, il couvre notamment la prise de Saïgon. Voyant les atrocités de la Guerre du Liban il s'exile à Paris en 1976 où il devient rédacteur en chef de Jeune Afrique. Il se consacre désormais entièrement à l'écriture.
Les romans de Maalouf sont marqués par ses expériences de la guerre civile et de l'immigration. Ils sont caractérisés (entre autre) par des voyageurs ambulants entre les terres, les langues, et les religions. II/analyse de l’œuvre : Genre : roman Sous genre : récit biographique Thème : voyage et aventures
Résumé : Hassan al-Wazzan est né en 1488, à Grenade en Andalousie musulmane. Après la prise de la ville en 1492 par les Rois Catholiques, Isabelle de Castille et Ferdinand II d'Aragon, sa famille dut se réfugier au Maroc dans la ville de Fès. Hassan y suivra ses études de théologie dans plusieurs madrasas de Fès et à la Quaraouiyine. C'est par son oncle maternel que débutera sa vie de diplomate, car il le conviera à l'accompagner lors d'une mission auprès du souverain de l' Empire Songhai, l'Askia Mohammed Touré. À l'âge de 20 ans, il s'engage définitivement sur les routes et la voie de la diplomatie. Sa vie, sera celle d'un grand voyageur et d'un négociateur : ses missions politiques et commerciales le mèneront à travers tout le Maroc : du Rif au Souss, des Doukkala au Tadla, du Tafilalet aux zones pré-sahariennes… ainsi que dans tous les pays du Maghreb, de l'Arabie, de l'Afrique saharienne, à Constantinople et en Égypte.
En 1518, de retour de l'un de ses voyages, le navire sur lequel il se trouve est attaqué et il est fait prisonnier par des " marins siciliens ". Il est en fait capturé par des chevaliers de l'Ordre de Saint Jean. Ces derniers, impressionnés par son savoir et sa culture l'offrent en présent au Pape Léon X, qui l'adopte comme fils, le fait catéchiser puis baptiser sous ses propres noms, Jean Léon. Il devient alors Jean-Léon de Médicis, dit « Léon l'Africain ». Pendant son séjour en Italie, il s'initie à l'italien et au latin, et enseigne l'arabe à Bologne. Sur demande du Pape, il écrit sa fameuse Cosmographia de Affrica, publiée à Venise sous le titre Description de l'Afrique. Cet ouvrage de référence, qui évite soigneusement de donner des informations à caractère militaire, est la seule source de renseignement sur la vie, les mœurs, les us et coutumes dans le monde musulman du XVIe siècle. C'est en particulier grâce à ce livre que Tombouctou deviendra une ville mythique dans l'imaginaire européen, il sera l'inspirateur de René Caillé parti à sa découverte. Il sera la Bible de tous les diplomates et explorateurs intéressés par l'Afrique. Il est décédé en 1548.
III/jugement personnel : Qualité de l'objet Bonne
Auteur Un auteur talentueux
Originalité Excellente
Récit Captivant
Style Excellent
Documentation Fouillée
Avantages: L' Histoire à travers la vie d' un homme . . . Inconvénients: Difficulté à refermer ce livre une fois commencé . .
Je vous invite aujourd'hui à suivre la vie d' un homme d' Orient et d' Occident, d' admirer le regard qu' il porte sur la plus étonnante époque que fût celle du XVI siècle, période qui laisse encore bien des merveilles et des stigmates de nos jours… car bien au-delà de cette autobiographie imaginaire inspirée d' une histoire vraie, oui bien au-delà de ce carnet de voyages à proprement parler édifiant… c' est tout à fait prodigieux et magique ce que nous propose de vivre et de lire Amin Maalouf à travers son livre Léon L'Africain… Ce livre est constitué de quatre parties comme autant de chapitres ou de livres distincts mais je préfère les voir comme un seul carnet relatant la vie si peu ordinaire mais tellement unique d’Hassan al-Wazzan…La datation de chaque année de son existence est faite selon les deux calendriers : celui des Chrétiens mais surtout celui des Musulmans caractérisé par l' hégire (ère des musulmans qui commence en l' an 622 de l' ère chrétienne, année où Mahomet dut se réfugier à Médine).
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